Sexualité

MRSG La sexualité des seniors Table des matières INTRODUCTION I. Problématisation : 3 A. Les problématiques envisageables : 3 B. La problématique : 5 II. Hypothèses: 6 A. Hypothèse 1 6 B. Hypothèse 2 6 C. Hypothèse 3 6 D. Hypothèse 4 7 E. Hypothèse 5 7 F. Hypothèse 6 7 G. Autocritique : 7 III. Modélisation : 8 A. Explication du Modèle : 8 B. Critique du modèle : 8 IV. Variables et indicateurs : 9 A. Variable contrôlée 9 B. Variable dépendante 9 C. Variables indépendantes

Carrières Sociales, option Animation Socioculturelle. Année 2010 / 2011 Sommaire PARTIE METHODOLOGIQUE 3 Introduction 3 Plan 6 I. Sexualité et handicap moteur : 6 1. Regards sur le handicap : la famille, premier facteur, favorable ou défavorable pour la construction de l’image de soi : 6 2. Un accompagnement nécessaire : 7 II. Sexualité et handicap mental : 8 1. La déficience et la pathologie n’enlèvent pas les désirs. 8 2. Vie affective et sexuelle : 9 3. La stérilisation

15 VIII. Bibliographie 15 I. Introduction et méthodologie Depuis toujours, la sexualité fait partie intégrante de la société. Bien qu’elle ait longtemps été considérée comme une pulsion que la société se devait de canaliser, il apparaît aujourd’hui qu’au même titre que les pratiques vestimentaires et alimentaires, la sexualité est une construction sociale. Contrairement à celle des animaux, la sexualité humaine n’est pas soumise à la stricte dépendance biologique. Et si, chez l’Homme, certains

qui ils le souhaitent. Des slogans comme « Jouissons sans entrave » apparaissent et fleurissent sur les murs de la capitale. Le modèle de la petite fille au partenaire unique disparait pour laisser place à une sexualité d’une autre forme. De nouvelles pratiques apparaissent comme la sexualité orale, l’échangisme … Le plaisir de la femme n’est plus un plaisir coupable. Tout ceci est complété par des représentations artistiques qui viennent appuyer le mouvement. Au cinéma les scènes d’amour ne sont plus

treize mineurs. La question qui mérite d’être posé aujourd’hui est de savoir pourquoi ce phénomène a pris une telle dimension. Une analyse sociologique nous amène à dire que les tabous qui entourent la sexualité sont une cause fondamentale. Les parents parlent peu ou presque pas du tout de sexualité avec leurs enfants. Et comme briser un tabou relève du sacrilège, une frange importante de la jeunesse se retrouve priver d’une éducation à la vie sexuelle. L’école sensée transmettre une certaine éducation

essais sur la sexualité » (1905), Freud rejette le terme de « complexe d’Electre » pour définir cette problématique. Il développe alors un thèse provocante selon laquelle le complexe de castration féminin amènerait à une reconnaissance de la supériorité masculine. Cette théorie est aujourd’hui bien évidemment vivement contestée et pas seulement dans les milieux féministes. Freud envisage trois possibilités dans l’évolution sexuelle féminine. D’abord, le refus de toute forme de sexualité, amenant alors

cette distinction entre ce qu'il y a de naturel et ce qu'il y a de culturel dans notre manière d'être, n'est pas toujours si simple à établir. Faut-il dire par exemple que la sexualité est quelque chose de naturel ou de culturel ? D'un côté, il est bien évident que la reproduction est un phénomène naturel, et que la sexualité y est liée pour de nombreuses espèces vivantes. D'un autre, les comportements sexuels, monogamie ou polygamie, modalités d'approche, frontière entre le licite et l'illicite,

plus facilement. Il a été prouvé d’ailleurs que le cerveau retenait mieux les « choses » agréables ou présentées de manière comique. Le rire permet aussi évidemment de mieux faire passer un sujet difficile ou légèrement tabou (comme par exemple la sexualité) et il est aussi souvent employé pour critiquer sans méchanceté. Molière l’a d’ailleurs utilisé dans un grand nombre de ses pièces (l’Avare, le Bourgeois gentilhomme,…) pour se moquer principalement des bourgeois de son époque. Pour débuter cette

l'acte cannibalesque par lequel le mâle dévore la femelle. Mais tel n'est point le point de vue de la femme qui aime l'homme et jouit du sexe. Ne serait-ce point là l'expression de l'antagonisme foncier qui oppose l'homme et l'essence même de la sexualité ? D'ailleurs la haine et le préjugé de la femme contre l'homme sont plus clairement soulignés encore à la fin de l'histoire. Ici, comme dans le mythe babylonien, il nous faut nous souvenir que la supériorité de la femme consiste en sa capacité

l'antiquité aristote 6/ La bienséance interdit de représenter (sur scene) des actions qui pourrait etre shoquantes par les violence (ex : Actions sanglantes telles que meurtres ou combats) ou leur immoralité (tout ce qui est lié au corps et a la sexualité, tout ce qui ne respecte pas la religion) II/ analyse de la piece 7/ Phedre et hipplyte vont-ils vivre leurs coupable amours ou du moins y survivre ? 8/ L4action se déroule en un lieu unique : le palaise royale de Trézène (Grece : pélopponèse)