Si Tu Veux être Toi Même Change

Et qu'est-ce qui se passe si tu tombes amoureuse ? - Non, me dis pas que tu crois à ces trucs-là ! - Attends je te parle d'amour là, pas du Père Noël.  On sait qu'on a trouvé quelqu'un de spécial quand on peut la boucler et partager un silence pendant toute une éternité. En fait tu te donnes des airs comme ça, mais t'es un gentil toi. - Ta gueule. "C'est quoi ce bordel avec l'amour là ? Comment ça se fait qu'on devient dingue à ce point ? T'imagine le temps qu'on passe à se prendre

l’impression qu'elle a disparu. STEPHANIE BERTOLET. Ce n'est pas la première fois qu'elle s’en va sans explication. MICHEL BERTOLET. Cette fois c’est différent. STEPHANIE BERTOLET. Elle ne peut pas disparaitre comme ça. MICHEL BERTOLET. Bien sûr que si. STEPHANIE BERTOLET. Elle est Juste partie faire un tour et toi tu t’inquiètes. MICHEL BERTOLET. Je ne crois pas qu’elle soit partie faire un tour. Je crois qu’elle est partie pour de bon. STEPHANIE BERTOLET. Qu'est-ce que tu vas imaginer ? Ne

de la convaincre de vivre et s'efforce d'obtenir ainsi, au nom de leur amour, ce que Créon n'a pas obtenu.    Hémon, Antigone, puis un garde. Hémon. - Quelle est donc, Antigone, cette fièvre qui t'anime ? Polynice est mort et tu n'y peux rien changer. A présent, la mort te menace à ton tour, mais tu peux dire le mot qui te délivre. Antigone. - La mort, je l'ai compris, est ma seule délivrance. Je retournerais encore - s'il le fallait - la terre de mes ongles, et la déposerais sur le cadavre de

l’amour. Et que si on a peur, c’est parce qu’on ne se donne pas la permission de ressentir l’amour. L’amour, qui selon moi, est notre façon d’être naturelle. Amour, joie, reconnaissance, toutes ses émotions qui nous font nous sentir bien. La peur, l’inquiétude, l’anxiété : des émotions déplaisantes dont nous allons nous libérer. Si vous décidez de ‘tapoter’, soyez pleinement responsable de votre choix. (Point Karaté) Même si j’ai peur, je choisis de m’aimer et de m’accepter. Même si j’ai peur, je choisis

Marivaux pour lui en parler. Ils se rencontrent donc en ce jour dans un petit café près de la mer. Ce jeune homme commence à critiquer l’œuvre de ce dramaturge célèbre… -Bonjour mon cher monsieur, -Bonjour jeune homme, que voulez –vous me dire ? Je veux vous parlez de votre pièce et de son soi-disant côté comique Je ne comprends pas ce que vous dites, c'est-à-dire, expliquez moi Vous parlez de comique pour parler de votre pièce mais en aucun cas quand j’ai pu la lire je n’ai pas trouvé ça très

n’entendez pas ce que je dis ! Je ne veux pas avoir une liberté de mouvement mais je ne prétends pas non plus consentir à répéter sottement ce texte, je désire composer, donner à Winnie ma fougue, l’enlever de cette monotonie. Richard Dupin : Mais tu ne peux pas changer toute la pièce de Samuel Beckett ! Il faut respecter l’auteur. Si on modifie le moindre détail dans son écrit, on porte atteinte à son œuvre. Marguerite du Lac : Mais le théâtre est fait pour être révolutionné, il faut vivre son

dire qu’une personne avec une certaine quantité d’argent serait complètement différente si la quantité de sa richesse était différente. Une personne pourrait dire que cela n’a aucune différence et que l’homme est ce qu’il est à la naissance et qu’aucune richesse ne le changera. Par exemple, s’il y avait un enfant qui est très gêné étant enfant, cela ne changera pas si le montant d’argent qu’il possède change. Par conséquent, puisque cet enfant est né de cette façon, il n’y aurait aucune façon par

petit moi, qui font que je suis, moi, aujourd’hui ici et maintenant. Exercice de style : déterminer les limites non tangibles entre l’amitié et l’amour, hormis le désir ? Amitié : ce rapport sans arrières pensées entre deux personnes du même sexe. Mais l’amitié entre un homme et une femme est il vraiment possible ? Réel et sincère ? Quand l’intelect va bien, quand le feeling est bon, les échanges faciles et agréables, n’y a t il pas un moment ou l’esprit pense à davantage. Plus de contact

que c'est là votre pensée profonde. Car, vous le savez aussi bien que moi, l'homme... JEAN, l'interrompant. L'homme... Ne prononcez plus ce mot ! BÉRENGER. Je veux dire l'être humain, l'humanisme… JEAN, L'humanisme est périmé ! Vous êtes un vieux sentimental ridicule. (Il entre dans la salle de bains.) BÉRENGER : Enfn, tout de même, l'esprit... JEAN, dans la salle de bains : Des clichés ! vous me racontez des bêtises. BÉRENGER : Des bêtises ! JEAN, de la salle de bains, d'une voix très rauque

sont pas comme les parents normaux ? - Oui, c'est vrai ça. Dis-moi Hâyat, ils ont quoi tes parents ? - Pourquoi vous parlez de ces parents, ils ont quoi ? - Son père il a les yeux bizarre et sa mère elle a une tâche sur la joue. - Hâyat tu veux te marier un jour ? - Pourquoi tu lui poses la question, qui oserai aller voir des parents comme les siens ? [ FIN DU FLASH-BACK ] On est souvent blessant dans nos paroles, lorsqu'on est enfant, et souvent on ne s'en rends pas compte. . Je