Sifflement

musique est jouée par une guitare électrique et une batterie. La guitare prend toute la place dans la musique, la batterie n'arrive pas à suivre l'improvisation de Jimi. Il utilise son beaucoup son vibrato et fait des saturations qui rappelle le sifflement des bombes, les explosions et des rafales meurtrières des fusils. Le tempo est lent, la nuance est fortissimo et l'atmosphère, quand il fait durer les notes devient inquiétante et les bruit aigu font peur. C'est de l'improvisation, il n'y a pas

Tout d’abord, l’extrait de Les trois Mousquetaires, met en scène Milady, comme s’il s’agissait d’un tableau. En effet, Milady est un personnage féminin qui meurt, dans une mise en scène violente, c’est une exécution publique : « on entendit le sifflement du cimeterre », « y jeta la tête », ... . La mort de cette femme est également théâtralisée, de part par la disposition des personnages (Milady est entourée par les hommes, puis elle meurt de l’autre côté de la rive), par le décor, mais également

personnages. Donc registre merveilleux + opposition entre la beauté et la bestialité : blâme antithétique. I2- 2 figure en opposition : Un seigneur bestial (« le monstre » proposé comme un synonyme, « je ne suis qu'une bête » + hyperbole « un sifflement si épouvantable.. ») contre une belle invitée craintive (« en tremblant », « frémir »...). Des figures d'oppositions renforcent les contradictions:antithèse « la Belle lui dit le monstre »... I3-Des frontières brouillées entre humanité et bestialité :

(originellement en russe) ont étés retranscrites en français par Joseph Kessel et son neveu Maurice Druon, durant la seconde guerre mondiale en 1943. Ce chant est diffusé à la BBC sous le nom « Honneur et Patrie » sans les paroles semblable à un sifflement. Cette Marseillaise de la résistance » est considérée comme l'Hymne officieux de la France libre. Cet hymne est chanté par les résistants en prison ou au moment de leur exécution. Cet hymne à la résistance est composé de quatre strophes (quatrain)

mur de ciment le plus rapidement possible a fin qu'il ne deviennent une vitre par balle, je toque. Apres un petit temps affreusement long et douloureux la porte s'ouvre revelant la personne devant nous garder et nous enseigner jusqu'à ce que le sifflement liberateur de la sonnerie ne se fasse entendre ou des fois meme juste toucher du bout des doigt. Je feins un sourire non bien reussit, et compatit, reflechissant a la force que la personne doit avoir pour peut être ce demander chaque matin si il

ressemble au sommet boisé d’une haute montagne. - Son œil unique = le cratère. Mention aussi de la fumée. - Il mange les hommes. - Lorsqu’Ulysse l’aveugle, du sang jaillit : de la lave ? - Vapeurs de la pupille en feu. - Bruits : grésillements, sifflements, rugissement. - Polyphème lance un rocher. C- Un non respect des dieux et de la loi sacrée de l’hospitalité Quand survient Polyphème, les Grecs ne l’agressent pas et, au contraire, le supplient. Là se manifeste l’opposition entre le cyclope

c es s erpents qui s ifflent dans vos têtes  Ici, l’allitération imite le sifflement du serpentUn son doux évoque le rêve alors qu’un son dur évoque la violence, la colèreAnaphoreRépétition d’un mot ou d’un groupe de mot à la même placeJe veux, sans que le mort ose me secourir Toujours aimer, toujours souffrir, toujours mourrir

-Deuxièmement il utilise une forme d’allitération en s basée sur la répétition des adjectifs possessifs son, sa, ses, qui fait penser au sifflement d’un serpent. «… à son crédit, à sa puissance, à son autorité absolue, à sa grandeur, à son avarice, à ses frayeurs, à ses vengeances. » On retrouve enfin l’ironie par le procédé de l’antiphrase : « tel fut le sage ». Saint Simon dit le contraire

effet d’échos et de fluidité comme dans « Charlerroi » (p.137, II poèmes paysage Belges)citer des vers et expliquer ce qu'il y a de remarquable. L’écrivant peut ainsi plus facilement transmettre des perceptions diverses comme des murmures et de sifflements. Alors qu’ordinairement l’alexandrin et l’octosyllabe enfermaient le poète dans une rigueur absolue, comme dans la poésie romantique de Lamartine, le recours au vers court permet à Verlaine de déstabiliser le lecteur. Ainsi, les vers impairs vont

« roulent » * Dimensions verticales : les arbres * Profondeur : la « mer » * Jeu de couleur : « ruisseaux argentées » « verdure » « mer » « ananas » « oranger » C. Les sens sont satisfaits Vue : paysage plein de couleurs Ouïe : sifflement implicite du vent Goût : profusion de fruits Odorat : « parfumé », « plus douces odeurs », odeur « de fruits et de fleurs » Toucher : la « main » de la nature Vision du jardin d’Eden où la nature comble l’homme : « que nous faut-il de plus