Sines

Castrador car le béké va arriver. L’heure de l’eau nous rassemblait aussi : nous dûmes apprendre à ne pas se gourmer, à limiter nos prises, à respecter – 192 – celui qui remplissait ses bombes. Nous récupérions de l’eau de pluie dans des bas sines et des tonneaux posés dessous nos tôles ; elle nous servait à la vaisselle. L’eau bonne à boire se répartissait en carafes, jarres, bouteilles, dames-jeannes qu’il fallait chaque jour nettoyer et remplir sitôt béké parti. C’étaient de purs trésors

pareils éléments rassu-rent les capitaux craintifs et appellent les capitaux intel-ligents ! » La Compagnie aurait pour elle les comman-des de l’État, puis les chemins de fer, la marine à va-peur, les établissements métallurgiques, le gaz, les cui-sines bourgeoises. « Ainsi, nous chauffons, nous éclai-rons, nous pénétrons jusqu’au foyer des plus humbles ménages. Mais comment, me direz-vous, pourrons-nous assurer la vente ? Grâce à des droits protecteurs, cher monsieur, et nous les obtiendrons ; cela

lectrification et de signalisation sont en cours. Les objectifs de ces amé nagements sont : assurer un trafic plus fluide, augmenter la capacité et la fiabilité de la ligne et ré duire les temps de parcours. Sur l’itiné raire Castro Verde/Ermidas-Sines/Pê go, certaines phases du projet sont en cours d’achè vement, comme l’é lectrification du tronç on Entroncamento-Abrantes/Mouriscas (au nord), ou la construction de l’embranchement d’accè s à la centrale thermoé lectrique. D’autres travaux ont

Chants de Tseu-ye (poèmes), p. 131, n. 3. 2 1609-1671. SUNG-NIEN HSU — Anthologie de la Littérature Chinoise 288 En cueillant des lotus. En cueillant des lotus, ne chantez que le Chant des Lotus ; Surtout, n’échangez pas de confidences avec vos voi sines, Car au bord de la rivière s’attarden t les admirateurs Qui contemplent à la lois les fleurs et les cueilleuses. Caché dans les touffes de fleurs, on ne sent guère leur arôme, Mais quand on s’éloigne leur exquis parfum se répand, Ainsi j’ai découvert

see a heavy dependence on the table for the exposition of complex calculations in al-Samaw’al; but in al-K¯ sh¯ they are a i everywhere, as he admits. There are the standard tables (multiplication, conversion from decimals to sexagesimals and back; sines, and so on); tables of currency conversion, of the properties of metals and other substances; tables of the areas of polygons, and more usefully (one might think), of different kinds of arches used in architecture (see Fig. 1). Almost always the numerical