Sire

Esc : Les aventures d’haroun al-Rashid. Shérazad :-Sire, un jour comme vous l’avez peut-être était vous-même, je suis d’une humeur profondément triste .Je ne voulais ni entendre personne. Dinazade :Ah ! J’aime les histoires du sultan Haroun-al-Rashid et de son vizir Giafar. -Sharirar :-Laisser raconter votre sœur ! Je n’ai pas beaucoup de temps ! -Donc Giafar : « -Commandeur des croyants, VotreMajesté, d’où vous vient cette tristesse si inhabituelle ?  Giafar Je suis sans envie, c’estvrai

apprentissage de chevalier chez le puissant seigneur Guillaume. Mais curieusement, c'est son frère Thibaud qui accueille Michel ; le seigneur Guillaume et sa femme, dame Morgane, vivent en effet à l'écart, dans le donjon... D'ailleurs, depuis que sire Guillaume est rentré des croisades en Orient, personne ne l'a plus vu ! Pour quelle raison se cache-t-il ainsi ? Michel compte bien percer ce mystère... D'autant plus qu'un soir, le cadavre du maître d'oeuvre est retrouvé au pied du donjon ! Tout

Martin de sa fenêtre aperçois une fumée et il se rend compte de c’est une armée qui attaquent il essaie de crier « on nous attaque » mais personne n’écoute. Alors il sauta de la fenêtre de sa tour et alla sonner la cloche d’alarme. Après avoir combattu sire Guilhem Arnal a gagné. Chapitre 6 Le village a été brulé mais Martin a réussi à s’échapper. Il a peur de sortir de chez lui. Sa mère en allant cuire son pain au four du seigneur appris que le fauconnier avait été blessé dans la bataille. Quand Martin

décapitation. Première surprise immédiatement suivie dès le vers 2 d’un autre effet de surprise avec l’énonciation à la première personne (je) ; ici Apollinaire fait le choix de parler au nom de Salomé. Première personne avec apostrophe tout de suite, « Sire » et utilisation d’un conditionnel. Après Jean-Baptiste, évocation de la danse, on est vraiment dans la figure biblique et dans du potentiel avec ce conditionne qui projette le texte tout de suite sur un futur envisagé. Le « encore une fois » du 1er

Lorenzo tombe dans l’eau). Certaines personnes abusent de leur titre pour faire preuve d’audace et d’arrogance. Je présente la scène de l’évanouissement de Lorenzo devant l’épée qu’on lui présente pour défier son adversaire. Acte I, scène 4 Sire Maurice: Votre esprit est une épée acérée, mais flexible. C'est une arme trop vile ; chacun fait usage des siennes. (Il tire son épée.) Valori: Devant le duc, l'épée nue ! Le Duc: (riant). Laissez faire, laissez faire. Allons, Renzo, je veux

sociale, on peut voir cette scène comme parallèle dans la scène 2 et 3 cela marque une opposition entre deux valeurs. La cour est désordonné car il y a corruption, mais Alexandre prend la défense de Lorenzo, alors que tout le monde prend pour coupable, Sire Maurice le provoque en duel ce qui amuse bien LE Duc. Cette scène constitue un événement comique car les personnages se rient entre eux , il y a un comique de situation lorsque Le Duc, dit à Valori . « Votre éminence a-t-elle reçu ce matin des nouvelles

ire, une nouvelle dépêche. – D’où vient-elle? – De Tomsk. – Le fil est coupé au-delà de cette ville? –Il est coupé depuis hier. –D’heure en heure, général, fais passer un télégramme à Tomsk, et que l’on me tienne au courant. –Oui, Sire» répondit le général Kissoff. Ces paroles étaient échangées à deux heures du matin, au moment où la fête, donnée au Palais-Neuf, était dans toute sa magnificence. Pendant cette soirée, la musique des régiments de Préobrajensky et de Paulowsky

politique contre le souci de la gloire et l'appétit des conquêtes. Fénelon reviendra sur les | | |thèmes défendus ici avec clarté et hauteur dans les Aventures de Télémaque (1699).] | |  La personne, Sire, qui prend la liberté de vous écrire cette lettre, n'a aucun intérêt en ce monde. Elle ne l'écrit ni par chagrin, ni | |par ambition, ni par envie de se mêler des grandes affaires. Elle vous aime sans être connue de vous; elle regarde Dieu en votre

     SCÈNE VI - DON FERNAND, DON ARIAS, DON SANCHE       DON FERNAND  Le comte est donc si vain et si peu raisonnable !  Ose-t-il croire encor son crime pardonnable ?    DON ARIAS  Je l'ai de votre part longtemps entretenu.  J'ai fait mon pouvoir, sire, et n'ai rien obtenu.    DON FERNAND  Justes cieux ! ainsi donc un sujet téméraire  A si peu de respect et de soin de me plaire !  Il offense don Diègue, et méprise son roi !  Au milieu de ma cour il me donne la loi !  Qu'il soit brave guerrier, qu'il

     SCÈNE VI - DON FERNAND, DON ARIAS, DON SANCHE       DON FERNAND  Le comte est donc si vain et si peu raisonnable !  Ose-t-il croire encor son crime pardonnable ?    DON ARIAS  Je l'ai de votre part longtemps entretenu.  J'ai fait mon pouvoir, sire, et n'ai rien obtenu.    DON FERNAND  Justes cieux ! ainsi donc un sujet téméraire  A si peu de respect et de soin de me plaire !  Il offense don Diègue, et méprise son roi !  Au milieu de ma cour il me donne la loi !  Qu'il soit brave guerrier, qu'il