Sire

franco-allemande, guerre sanglante pas cet et crâne Kmperour h exposer près du puissant Inconnu les pensées qui l'ont saisi depuis la déclaration d'Allemagne, île la guerre si injuste au brave et intéressant petit peuple de crâne vous sied bien, Hocr. — Oui. Sire, ce qualificatif votre car vous êtes un crâne .Souverain, et c'est justement erânerio peut-être Souverain comme inutile qui espéror que mon exposé pourra l'attention de Votre Majesté. . — D'un frapper ou adorateur du veau d'or oisif et indolent peut

CID ACTE II. Scène 6 DON FERNAND, DON ARIAS, DON SANCHE DON FERNAND Le Comte est donc si vain et si peu raisonnable ! Ose-t-il croire encor son crime pardonnable ? DON ARIAS Je l’ai de votre part longtemps entretenu ; J’ai fait mon pouvoir, Sire, et n’ai rien obtenu. DON FERNAND Juste cieux ! ainsi donc un sujet téméraire A si peu de respect et de soin de me plaire ! Il offense don Diègue, et méprise son roi ! Au milieu de ma cour il me donne la loi ! Qu’il soit brave guerrier, qu’il

Lorenzaccio I 4 « Tenez (Lorenzo paraît ) … et glisse à terre tout d’un coup » Scène d’extérieur : une terrasse 1ère apparition de L non déguisé Scène d’action : provocation en duel de Sire Maurice à L, encouragée par le duc qui veut prouver que L est lâche Scène de paroles aussi, et incisives puisqu’elles provoquent l’action. Le duc est pris entre ses 3 « amis » et Lorenzo Enjeu : portrait de Lorenzo. Est-il ou non « un homme à craindre » ? Pour le duc, avant, L est un poltron, une ombre /

vivement le czar. — Il est là, sire, répondit le général Kissoff. — Tu as trouvé l’homme qu’il fallait ? — J’ose en répondre à Votre Majesté. — Il était de service au palais ? — Oui, sire. — Tu le connais ? — Personnellement, et plusieurs fois il a rempli avec succès des missions difficiles. — À l’étranger ? — En Sibérie même. — D’où est-il ? — D’Omsk. C’est un Sibérien. — Il a du sang-froid, de l’intelligence, du courage ? — Oui, sire, il a tout ce qu’il faut pour

Ta gueule! Tend les doigts! ... (il le tape sur les doigts, le valet pleure) LE VALET: Aïe! Sire, s’il vous plaît ... Aïe! Aïe! LE ROI: (il continue à le frapper avec la baguette, tout en criant) Je ressemble à quoi, dis? À un cochon? Ou à un crocodile? LE VALET: Aïe! (il tend l’autre main) LE ROI: (le tapant sur les doigts de l’autre main) Crocodile? (tout répète jusqu’à l’épuisement) LE VALET: Sire, si vous permettez ... ne voudriez-vous pas me frapper ailleurs ... sinon, je ne pourrai plus

mais qui êtes-vous? D'où venez-vous? - S'il vous plaît sire une question à la fois! Lui répondit la princesse Élisabeth un peu perdue. - Ah, oui veuillez m’excuser milady … dit Lancelot un peu gèné. - Ce n'est pas grave, je suis la fille du roi Arthur, il m'a beaucoup parlé de vous! Oh on me demande, au revoir sire on se reverra sûrement! Dit Élisabeth. -Eh, milady! Quelle est votre prénom? Hurla le chevalier Lancelot. -C'est Élisabeth sire ! Lui répondit-elle en hurlant.» Une nuit de rêve pour

par Valori la défense de L par le duc qui donne lieu à un portrait du personnage faible et féminisé. 2) L’arrivée de Lorenzo : confirmation du portrait fait par le duc portrait physique de L échange verbal entre L et sire Maurice > L a le dessus la provocation en duel > l’effondrement de L Etude du texte des soupçons pèsent sur L accusation du pape rapportée par Valori Valori, émissaire épiscopal, rapporte au duc les soupçons qui pèsent

_______________________________________________ SCENE VI DON FERNAND,DON ARIAS,DON SANCHE DON FERNAND Le comte est donc si vain et si peu raisonnable ! Ose-t-il croire encore son crime pardonnable ? DON ARIAS Je l'ai de votre part longtemps entretenu. J'ai fait mon pouvoir, sire, et n'ai rien obtenu. DON FERNAND Justes cieux ! ainsi donc un sujet téméraire A si peu de respect et de soin de me plaire ! Il offense don Diègue, et méprise son roi ! Au milieu de ma cour il me donne la loi ! Qu'il soit brave guerrier, qu'il

-Laquelle souhaitez-vous, sire -Celle où se trouvent le plus de radis me plairait fort bien. -Je vais de ce pas appeler les compteurs de radis royaux . -Les compteurs de radis royaux ! -Les compteurs de radis royaux ! -Les compteurs de radis royaux ! -Votre majesté, bon appétit, j'ai à faire, dit Dominik. -Comptez moi ces radis ! -Bien reçu votre altesse. -173, 174 -Ce plat-ci est le plus fourni en radis. -Pfff sortez, vous m'avez coupé l'appétit ! Quelques minutes plus tard.... -Sire ! -Monsieur ? -Le

ai une si grande envie ! Ma foi, advienne que pourra; il faut que je la mange toute. » L'attente dura si longtemps que la dame se rassasia. Mais voici venir le vilain ; il pousse la porte et s'écrie : « Dis, les perdrix sont-elles cuites ? — Sire, fait-elle, tout va mal, car les chats me les ont mangées. » A ces mots, le vilain bondit et court sur elle comme un fou. Il lui eût arraché les yeux, quand elle crie : « C'était pour rire. Arrière, suppôt de Satan ! Je les tiens au chaud, bien couvertes