Sittelle bleue

intercommunalité     5.1 Les schémas de services collectifs 5.2 L'émergence de territoires de projet 5.3 L'intercommunalité : une révolution silencieuse 6 Années 2000 : l'aménagement par la recherche de la compétitivité, et par la trame verte et bleue 7 Vers un aménagement du territoire européen ? 8 Notes et références 9 Voir aussi o 9.1 Bibiliographie o 9.2 Articles connexes o 9.3 Liens externes o o o Une notion essentiellement française[modifier] L'aménagement du territoire est avant tout

ayant valeur de schéma de cohérence territoriale, dans l'hypothèse où un PLU élaboré par un EPCI n'est pas situé dans le périmètre du schéma de cohérence territoriale. Le nouvel article R 371-16 du Code de l'environnement définit la Trame verte et bleue , créée par la loi no 2010-788 du 12 juillet 2010 dite « Grenelle II », comme étant « un réseau formé de continuités écologiques terrestres et aquatiques identifiées par les schémas régionaux de cohérence écologique ainsi que par les documents de l'État

font partie des infrastructures et réseaux de transport, comme les ouvrages d'art (ponts, tunnels ..) et les bâtiments (gares, parkings ...) associés. Elles contribuent au phénomène dit de fragmentation écopaysagère qu'en France la Trame verte et bleue cherche à compenser. Le transport motorisé est par ailleurs une des sources majeures de pollution, avec par exemple en France 30 % environ des émissions de gaz à effet de serre3 Un secteur économique et une industrie du transport, se sont fortement

relative à la solidarité et au renouvellement urbains du 13 décembre 2000), dite loi SRU. La loi d'engagement national pour l'environnement ou « Grenelle II », du 12 juillet 2010, a modifié plusieurs aspects du PLU : prise en compte de la trame verte et bleue, orientations d'aménagement et de programmation, PLH (programme local de l'habitat) voire PDU (plan de déplacement urbain) intégré dans celles-ci... De plus, lorsque l'EPCI (Établissement public de coopération intercommunale) a la compétence intercommunale

thème de « la nature en ville ». Le rapprochement de ces communautés scientifiques a permis de développer des approches et des concepts utiles pour de futures perspectives de recherches (CERTU, 2009). Par ailleurs, l’instauration de la trame verte et bleue comme outil d’aménagement du territoire par le Grenelle de l’environnement a modifié profondément les principes de planification et de gestion des espaces verts. Désormais, le végétal devrait être pris en considération de l’échelle supranationale à

(Hirundinidés) Hirondelle rustique (Hirundinidés) Pie-grièche grise (Laniidés) Bergeronnette grise (Motacillidés) Pipit farlouse (Motacillidés) Rouge gorge familier (Muscicapidés) Mésange charbonnière (Paridés) Mésange bleue (Paridés) Moineau domestique (Passéridés) Accenteur mouchet (Prunellidés) Sittelle torchepot (Sittidés) Fauvette à tête noire (Sylviidés) Fauvette grisette (Sylviidés) Fauvette des jardins (Sylviidés) Troglodyte mignon (Troglodytidés) Grive musicienne (Turdidés) Merle noir (Turdidés) Phoenicoptériformes

fluviatis P XX 2004 Locustelle tachetée Locustella naevia P VUm XX 2005 Martinet noir Apus apus P XX (60) M Merle noir Turdus obscurus XX XX XX NHM Mésange à longue queue Aegithalos caudatus P XX (2003) (2007) (2010-2011) XX (2003) XX (2003) N Mésange bleue Parus caeruleus P XX XX XX NH Mésange charbonnière Parus major P XX XX XX NH Milan noir Milvus migrans P niche à Feyzin XX (12) 2008 M Suivi de l'évolution de la faune sauvage du plateau des Grandes Terres 2011 APUS décembre 2011 15(67) 2009 ESPECE

consommer de grandes quantités d’eau. • La richesse faunistique des arbres têtards est connue : l’exploitation régulière des rejets provoque la formation de cavités abritant de nombreuses espèces parmi lesquelles les chouettes, hiboux, mésanges, sittelles, pics, chauvesouris, micro-mammifères… sont les plus représentatives. Principales espèces recommandées La plantation d’arbres têtards suppose de choisir des espèces ayant la faculté de produire de nombreux et vigoureux rejets : si la plupart

couples aux 10 hectares (cf. fig. 3). Figure 3 : Densité aux dix hectares des 21 espèses nicheuses des parcelles 12, 13 et 14 du C.H.T., par ordre décroissant de densité. On retrouve les hôtes logiques de la chênaie (MULLER, 1985) : Mésange bleue, Parus caeruleus ; Mésange charbonnière, Parus major ; Etourneau sansonnet, Sturnus vulgaris ; Sitelle torchepot, Sitta europaea ; Grimpereau des jardins, Certhia brachydactyla ; Pic épeiche, Dendrocopos major ; Loriot d’Europe, Oriolus oriolus

10 J’apprends à extraire des informations et à les classer, exercice d’application Réponses attendues : corps jaune. Caractère différent : le dessus de la tête (bleu ou noir). b. A : mésange nonnette ; B : mésange charbonnière ; C : mésange bleue. Animal : goéland argenté. Végétal : herbe (sur la falaise). Minéral : roche, sable, eau. Manifestations de l’activité humaine : barrière, mur, poubelle et détritus, constructions au sommet de la falaise. 2 1 La répartition des êtres vivants