Sittelle torchepot

et les anciennes variétés d’arbres depuis les dernières décennies. L'attention prêtée notamment au bois mort, aux gros arbres et à la variété des espèces a permis notamment l’accroissement des populations de nombreuses espèces de pics, de la sittelle torchepot, de la chouette hulotte et d’autres rapaces comme la bondrée apivore et l'autour des palombes. Tandis que le nombre d’espèces augmente dans les forêts les plus anciennes, les espèces qui vivent dans les forêts humides mais aussi celles typiques

(bois du fort) Rougequeue à front blanc Phoenicurus phoenicurus P XX 2004 2011 M Rougequeue noire Phoenicurus ochruros P XX XX XX (25) (100) 2008 NHM Rougegorge Erithacus rubecula P XX XX XX NHM Serin cini Serinus serinus P XX XX XX NHM Sittelle torchepot Sitta europaea P XX (1999) Tarier des prés Saxicola rubetra P (VU) XX (8) 2010 Tarier pâtre Saxicola torquata P XX XX NM Tarin des aulnes Carduelis spinus P 2009 (5 le 26/03/09 Suivi de l'évolution de la faune sauvage du plateau des Grandes

parcelles 12, 13 et 14 du C.H.T., par ordre décroissant de densité. On retrouve les hôtes logiques de la chênaie (MULLER, 1985) : Mésange bleue, Parus caeruleus ; Mésange charbonnière, Parus major ; Etourneau sansonnet, Sturnus vulgaris ; Sitelle torchepot, Sitta europaea ; Grimpereau des jardins, Certhia brachydactyla ; Pic épeiche, Dendrocopos major ; Loriot d’Europe, Oriolus oriolus 41 et le Gros-bec casse-noyaux, Coccothraustes coccothraustes. Mais aussi, les espèces qui sont typiques des

porteurs de maladies ou destructeurs d’environnement. Peuvent ainsi être citées parmi les espèces les plus fréquentes les passereaux et certains rapaces (comme le Faucon crécerelle), le renard, le rat surmulot, plusieurs espèces d’abeilles, la Sittelle torchepot ou encore le Martinet noir. Les impératifs d’entretien des bâtiments, les réfections des façades, les techniques de fertilisation des sols des espaces verts, les pollutions atmosphériques, lumineuses et du sol, sont autant de pressions qui

de la Bergeronnette grise, m. a. subpersonata. Les contreforts montagneux hébergent la Fauvette passerinette et la Fauvette de l'Atlas, ainsi que la Fauvette à lunettes. Le Roselin à ailes roses est habituel et vous remarquerez également la Sittelle torchepot et le Grimpereau des jardins. Des zones de haute altitude peuvent abriter l'Accenteur alpin, le Chocard à bec jaune, le Crave à bec rouge, le Traquet rieur, le Monticole merle-bleu, et la race marocaine du Traquet motteux, o.o. seebohm. 3ème