Société mutualiste étudiante régionale

coopérative de microfinance et de crédit, ainsi que de gestion des épargnes. C’est une association régie par l’ordonnance 60-133 et par la loi du 04 septembre 1996, portant réglementation des activités et organisation des Institutions Financières Mutualistes. Pour sa création, par les fonds propres du Développement International Desjardins (DID), un projet pilote a démarré à Toamasina en 1992. En 1997, les antennes d’Antananarivo et celles dans le Nord Est ont été ouvertes. En 2000, une nouvelle

sous toutes ses formes et dans toutes les étapes de gestion | |des ressources humaines que sont notamment l’embauche, la formation, l’avancement ou la promotion professionnelle des collaborateurs. | |3. Chercher à refléter la diversité de la société française et notamment sa diversité culturelle et ethnique dans l’effectif et aux | |différents niveaux de qualification. | |4. Communiquer

d'intérêt pour cette économie. Un double constat, que nombre de chercheurs et de journalistes peuvent aisément faire. Cependant, demeure la douloureuse question de la définition de l'ESS, et peut-être pll;lS encore de son rôle raisons, alors que la société industrielle est parvenue à maîtriser des technologies et des savoirs de haut niveau bute-t-elle encore et toujours sur la question de la répartition d'une richesse matérielle et immatérielle qui est (paradoxe à part) le fruit d'un travail collectif

mesures visant à développer la prise en charge des patients en soins palliatifs Section 1 L'organisation régionale au service du développement des soins palliatifs 1-1 Les objectifs prioritaires en matière de soins palliatifs 1-2 L'intervention des instances de tutelles 1-2-1 CNAMTS au titre du FNASS 1-2-2 ARH La Commission technique Régionale des Soins palliatifs A partir d’un projet d'établissement A partir d’un projet médical, projet de soins

Promotion 2007 Rapport d Apprentissage Année Scolaire 2006 - 2007 NOM DE L ÉTUDIANT : Sylvain LAPORTE LCL Le Crédit Lyonnais Demandez plus à votre Argent 2 SOMMAIRE Remerciements .......................................................................................................................4 I. Le Secteur Bancaire......................................................................................................5 A. L Industrie Financière ...................

: près de 700 étudiants Des difficultés pour la région à conserver ses jeunes diplômés Les diplômes "jeunesse et sports" : 445 diplômés en 2011 L’insertion professionnelle des diplômés "jeunesse et sports" : un taux d’accès à l’emploi globalement élevé La formation professionnelle continue : plus de 100 stagiaires pour l’activité sports, plus de 700 pour l’activité animation La formation à destination des demandeurs d'emploi : 55 places de formation financées par le Conseil régional Un faible recours

des sociétés de capitaux (BNP Paribas, Société Générale, LCL) : 32 millions de comptes à vue et 57 millions de comptes à terme. Les clients de ces réseaux sont porteurs de parts sociales. C’est la différence essentielle avec les banques commerciales (Crédit Mutuel, Caisse d’Épargne, Crédit Agricole). 71 millions de comptes à vue, 147 millions de comptes à terme. Banques coopératives ou mutualistes 3 Fiche 1 • L’organisation du système bancaire Catégories d’établissement Sociétés financières

| | | |Étudiants s’initiant à l’informatique graphique au Centre multimédias. | |

………………………………………………………… 5 Présentation du Groupe Banque Populaire ……………………………………….……… 6 Gouvernance de l’Entreprise : Le comité Directeur du CPM ……………………………………………………………… 8 La Banque Centrale Populaire …………………………………………………………. 9 Les Banques Populaires Régionales ………………………………………………. 9 CH. II : Missions au sein de la Division Communication Groupe. 2-1. Dans les coulisses de la Division Communication Groupe : ………………….. 10 Directeur de Communication Commerciale, c’est quoi ? …………………... 11 Chargé de Relations

distingue par son système coopératif et mutualiste, basé sur les notions de confiance, d’entraide et de solidarité. Il occupe aussi une place très particulière dans le système bancaire marocain, Sa structure organique a trois niveaux, homogènes, hiérarchisés et autonomes. Elle combine ainsi une instance dirigeante (comité directeur), un organisme central à capital étatique et assimilé (banque centrale populaire) et des banques populaires régionales (sociétés à capital variable), entièrement décentralisées