Sociocritique Littéraire

Problématique : Définition du fantastique : Ancrage dans un monde réel : « habitants de Paris » l1 « Luxembourg » l3 « Jean de la lune » l5 « Benoit XIII » l5 « les historiens » l8 « pendant toute une semaine » l31 « la noce du sergent » l78 Intrusion de l’insolite : « Depuis fort longtemps […] les voisins » l10 à 12 Indices : « cliquetis de verres mêlé de rires stridents » l14 « il semblait » l18 « le soleil dissipa les ombres » l20 « le bruit venait des catacombes » l21 « le soir était venu

peuvent pas forcément comprendre, ou interprété ces procédé, ces idées caché, ils vont donc soit être guidé par de fausse idées, et aller dans le sens inverse de l’auteur, soit être distrais par l’ironie et le conte, ils utiliseraient donc les œuvres littéraires pour se divertir, et l’objectifs des philosophe, étant de faire évoluer la société, aura totalement échoué. La majorité des lecteurs ne peuvent pas analysé plus profondément la littérature, ils ne voient que l’histoire, ce qui leur devient un

suivantes : Le poids de la fatalité et du destin ( pas fait ) des personnages prisonniers de leur existence ( pas fait ) L'impossible alliance entre raison et passion Un lecteur partagé entre terreur et pitié. La tragédie est œuvre littéraire dramatique qui évoque une situation où l'homme prend douloureusement conscience d'une fatalité ou d'un destin qui pèse sur sa vie, sa nature ou sa condition même. Les caractéristiques de la tragédie sont : -Les personnages illustres et de

I – 1 : Le ton employé est dépouillé et le « nègre » est évoqué dans sa prostration « un nègre étendu par terre », comme condamné à végéter à même le sol. Puis son état physique est énoncé avec neutralité comme un constat : « il manquait ce pauvre homme … droite ». Aucun adjectif qui ne manifeste la pitié, mais la brutalité même du fait. 2 : La relation Maître / Esclave est pleinement affirmée : le rapport de soumission est fortement marqué dans « j'attends mon maître ». De plus, le nom-portrait

Le registre tragique présente des personnages hors du commun aux destins marqués par la fatalité, montrant une solution sans issue qui repose sur l'intervention d'une force supérieur ou sur l'emprise d'une passion. En effet, Zola, dans son célèbre roman La Bête humaine, de la série des Rougons-Macquart, publié en 1890, met en scène un personnage tragique, d'une famille type, victime de forces qui le dépassent contre lesquelles il ne peut pas lutter. Celui-ci tient une relation amoureuse avec Séverine

En 1942, Albert Camus fait paraitre un roman L'Étranger, qui décrit les fondements de la philosophie camusienne: l'absurde. Meursault, étant le personnage principal, nous raconte au fil de ce roman les épisodes successifs qui les ont conduit à sa mise à mort. Camus créé un personnage étranger à la vie, au monde qui l'entoure. Un personnage qui cherche à fuir le malheur en étant indifférant à l'amour, à la mort, etc. Nous pouvons alors nous demander comment Camus dans son roman justifie son titre

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Année :2008/2009 1/8 1)Définition de la notion de « genre littéraire » de façon générale. Le genre littéraire est un regroupement d’œuvre ayant des caractéristiques commune. Le genre littéraire indique à quel genre d’écrit appartient le texte . Il précise le genre de l’ouvrage . On distingue généralement cinq grands genres littéraires :

I- La colère face au travail des enfants. Victor Hugo montre son attachement pour les enfants « doux êtres pensifs » tout en dédaignant le monde de l’usine. L’auteur emploie de même des adverbes de temps qui raffermissent la sombre idée qu’est le travail « éternellement, même mouvement ; quinze heures sous des meules ». Le travail est donc dur, pénible, répétitif et monotone.Victor Hugo utilise des verbes forts pour exprimer son désaccord « haï des mères ; qui tue ». Il pense aux conséquences que

a poésie est un genre littéraire très ancien aux formes variées, écrites généralement en vers, mais qui admet aussi la prose, et qui privilégie l'expressivité de la forme. Sa définition se révèle difficile, et varie selon les époques, au point que chaque siècle peut lui trouver une fonction et une expression différente aussi d'un poète à l'autre. Le mot « poésie » vient du grec ποιεῖν (poiein) qui signifie « faire, créer » : le poète est donc un créateur, un inventeur de formes expressives, ce que