Société Générale Maroc Back Office Bancaire Rapport Stage

professionnelle. C’est dans cette optique que, dans le cadre de mon stage de 2éme année, j’ai eu l’occasion d’effectuer deux mois au sein de deux différentes entreprises, l’une publique, l’autre privée. Une expérience fortement bénéfique qui m’a permise de m’ouvrir sur le monde du travail et de palper la difficulté de la réalité professionnelle. Cette année, dans une prospective d’élargir mon champs d’apprentissage, j’ai choisi de passer mon stage au sein d’un centre d’affaires. Ce choix est loin d’être fortuit

2009 Rapport de stage LYDEC Réalisé par : Ayoub SLITH Encadrant pédagogique : Mme Nouzha BAGHAR Encadrant professionnel : M Nour El Kods ELBERHDADI Durée : du 7 Juillet au 6 Aout 2009 * AVANT PROPOS * REMERCIEMENTS * SUJET DE STAGE PARTIE I / : aperçu sur LYDEC ; DO²P/DGC * Identification de la Lyonnaise des eaux de Casablanca * La direction Grands Clients / Direction des opérations (DOP/DGC)

informatiques ainsi que l’optimisation des canaux de distribution. Dans un environnement économique difficile, la BMCI a ainsi affiché de bons niveaux de résultat avec un Produit Net Bancaire qui s’accroît de 3,2 %. Le cabinet Fitch Ratings a confirmé en 2012 les notations délivrées à la BMCI, F1+ et AAA, les meilleurs ratings au Maroc, reflétant la gestion dynamique de la BMCI et sa bonne maîtrise des risques, ainsi que sa capacité à se conformer aux standards internationaux. La BMCI a par ailleurs obtenu

risques de la bancassurance……………………………76 La deuxième partie : La bancassurance en Algérie, réalité et perspectives de Développement……………………………………………….82 Chapitre I : Evolution du secteur d’assurances en Algérie……………………….86 Section 1 : Présentation générale du secteur des assurances en Algérie…….……...87 Section 2 : Evolution du marché algérien des assurances…………………...…....101 Chapitre II: La bancassurance en Algérie « réalité et perspectives de développement »………………………………………...121 Section 1 : Le

risques de la bancassurance……………………………76 La deuxième partie : La bancassurance en Algérie, réalité et perspectives de Développement……………………………………………….82 Chapitre I : Evolution du secteur d’assurances en Algérie……………………….86 Section 1 : Présentation générale du secteur des assurances en Algérie…….……...87 Section 2 : Evolution du marché algérien des assurances…………………...…....101 Chapitre II: La bancassurance en Algérie « réalité et perspectives de développement »………………………………………...121 Section 1 : Le

|1 | |Présentation du CPM |7 | |VALEURS IDENTITAIRES DU CREDIT DU POPULAIRE DU MAROC |8 | |Structure & organisation |11 | |B.P.R

Plan Introduction générale………………………………………………………………..… 4 Partie I : DESCRIPTION ET PRESENTATION DE MEDZ  I. Présentation de MEDZ……………………………………………………………...6 1. L’historique…………………………………………………………7 2. Missions…………………………………………………………….8 3. MED en chiffre…………………………………………………..…8 4. Engagements……………………………………………………..…8 II. Structure & Organisation………………………………………………………….10 1. L’organisation au sein de MEDZ……………………………………10 2. Stratégies…………………………………………………………….16 3. Politique

Sommaire Remerciements : 5 INTRODUCTION 6 I. Présentation du groupe BMCE BANK 7 1. Fiche signalétique : 7 2. Vue d’ensemble : 8 3. Historique : 8 4. Les filiales : 10 5. BMCE Bank en chiffre : 12 6. Distinctions : 13 II. Fonctionnement de l’agence bancaire BMCE ROCHES NOIRES : 14 1. Présentation de l’agence : 14 2. Structure : 15 2.1. La caisse : 15 2.1.1. Présentation du service : 15 2.1.2. Opérations exécutées: 15 A. Le versement : 15 B. Le Retrait : 15 C. La Mise à dispositions : 16 D. Le virement :

Analyse de la rentabilité client : Quel impact sur le contrôle de gestion bancaire ? Cas Attijariwafa Bank Mlle ALAOUI ABDELLAOUI Charafa Mémoire de fin d’études Encadré par : Mr. Biad JUIN 2010 Table des matières Avant propos ............................................................................................................................... 4 Introduction .....................................................................................................................

dans le sens du développement économique. Au Maroc, on s’accorde aujourd’hui à dire que cette fameuse épargne n’a jamais été, et n’est toujours pas utilisée de la meilleure manière qui soit. Héritage de générations anciennes qui privilégiaient la thésaurisation pour faire face aux aléas futurs ? Ou bien une simple peur de tout ce qui présente ne serait ce qu’un minimum de risque ? Les avis sont partagés, mais une chose est sure : le Maroc gère toujours mal son épargne. Toutefois, et depuis