Soif

texte : ce texte est un extrait de l’acte V scène 2de la tragédie de Pierre Corneille « Médée »4) projet de lecture :comment ce monologue délibératif met-il en scène le dilemme de Médée ?5) annonce des mouvements :l1 à 8 : une soif de vengeance qui n’a pas encore était assouviel9 à 14 : tentative de légitimation d’un vengeance infanticidel14 à 25 : tuer ou ne pas tuer, tel est la question 2) explication linéaire1er mouvement :l1 anaphore : est-ce assez l1 permet de souligner

Piéton de l'air, une pièce de théâtre. En 1962 également, paraît sous le titre Notes et contre-notes une collection d'articles et de conférences de Ionesco sur son théâtre. En 1964, Düsseldorf est une fois de plus témoin d'une première de Ionesco : La Soif et la faim. Pour la première fois dans la même année, une de ses pièces, Rhinocéros est mise en scène dans son pays natal, la Roumanie. Les dernières décennies Tombe d'Eugène Ionesco au cimetière du Montparnasse. Un peu malgré lui, Ionesco

religieuses ou encore conventions sociales. Elle évoque même une opposition de classes sociales. Dans un autre domaine, M. Huretet N. Czerwinski montrent que les nouvelles générations rejettent un modèle familial fondé sur le secret et soulignent la soif de transparence actuelle: F. de Singly oppose justement à ces . anciens modèles fondés sur l'autorité et la soumission de nouvelles familles qui respectent davantage les individualités. Pourtant, le sondage commenté dans Libération montre que les jeunes

| | |un, vingt-deux, vingt-trois. Fifine continuait tranquillement ses révérences de grande dame. | | |« Quel poseur ! » murmura en ricanant Bec-Salé3, dit Boit-sans-Soif. | | |Et Gervaise, en face de la Gueule-d’Or, regardait avec un sourire attendri. […] | | |Goujet comptait toujours.

EX : « Ma soif est un esclave nu… » (terme compare = ‘’ma soif’’, terme comparant = ‘’un esclave nu’’)

l’appétit des enfants (vers 3-4). Mais surtout et aussi l’appétit des adultes : « prunelles ardentes » dénote un désir d’état physique, spirituel, et qui est adressé au ciel (vers 7-8). C’est donc une soif d’idéal, d’absolu qui rend évident le parallèle entre les bohémiens et le poète. Cette soif de l’idéal qui ne peut être assouvit, cet appétit prisonnier du corps qui désire retrouver le ciel. Cette situation paradoxale est rendue par l’antithèse du vers 7, le premier hémistiche est un mouvement

y a eu une mise en application. Pas de prétention, énonce aussi bien les points positifs que négatif (Latin + et grec - ). conclusion : l'esprit humaniste qui caractérise Montaigne , c'est à dire cette vénération pour la culture antique , cette soif d'apprendre , ce désir de varier les méthodes. Cette reflexion reste ouverte , c'est juste une proposition que fait Montaigne et la manière de l'énoncer caractérise l'éssaie (faire relation avec Pennac comme un roman ) pour les autres questions

naturaliste, mais il n'a pas réussi a être élu a l'Académie française et a subi des attaques xénophobes. Son personnage public ne fait donc pas l'objet d'un consensus: il va, avec l'Affaire, choisir de radicaliser ses préférences républicaines et sa soif de verite. Fort engagement personnel (anaphores du "jeu") dans une lettre signée: "respect" (dernière phrase) mais prise de risques assumée (l.41-43); lexique des valeurs morales (l.36 et surtout l.37-43); revendication de sincérité ("le cri de mon

allusion à Napoléon au 2e vers :« Je vivais à l'époque où finissaient les rois » tout au long du poème, références aux guerres de Napoléon (« J'ai soif villes de France et d'Europe et du monde Venez toutes couler dans ma gorge profonde ») métaphore du raisin : tout au long du poème il est question de cette métaphore, qui représente la guerre : la « soif » de Paris correspond au besoin de soldats, ces soldats sont envoyés par les villes (« Et Rennes répondit avec Quimper et Vannes ») : « Ces grappes

et des croyances qui ont animé ce siècle humaniste. Soif de connaissance / croyance en le progrès Le programme de Ponocrates donne à entendre cette soif de connaissance. On y découvre l’intérêt porté aux anciens, notamment Cicéro et Plutarque, qui sont comme des références. Rabelais souligne aussi la multiplicité et l’importance des langues. Ces éléments apparaissent comme des poncifs du programme culturel humaniste. Cette soif s’entendait plus encore dans la lettre à Pantagruel dans le