Solidarność

par le nouveau pape (1978) polonais Jean-Paul II. | |- En 1989, des élections législatives libres marquent le triomphe du syndicat libre “Solidarnosc” : pour la 1ère fois depuis 1947, un | |régime non-communiste est constitué en Europe de l’est. Lech Walesa, président de Solidarnosc est élu président de la République (1990). | |- L’URSS n’a pas bougé (à l'opposé de 1956 en Hongrie et 1968 en Tchécoslovaquie).

populaires et en Occident, la Charte se pose en force morale face à l’Etat communiste discrédité. b) Le syndicat Solidarité en Pologne En 1980 les chantiers navals de Gdansk se mettent en grève, mouvement qui aboutit à la création du syndicat Solidarnosc dirigé par Lech Walesa. Pour la première fois dans les démocraties populaires une organisation ouvrière indépendante du pouvoir est reconnue officiellement. Même si le syndicat est suspendu en 1981 à cause de l’état d’urgence décrété par le pouvoir

communes (dont celle entre allemagne et Pologne) et l'URSS et ses satellites s'engagent à respecter les droits de l'homme ce qui ouvre une fenêtre, petite mais décisive aux dissidents qui mènent la contestation de l'intérioeur? D'où Charte 77, Solidarnosc etc. Autre aspect que vous pouvez développer, l'élection de Jean Paul II (1978), pape Polonais, très attaché à son pays et à la lutte contre le communisme. Réconciliation #Déclenchement = 11mars 1985, Gorbatchev élu secrétaire du P.C. De

pour dénoncer le régime. Après le printemps de Prague , il s’engage résolument dans l’opposition. Il est l’un des principaux artisans de la révolution de velours en 1989. Solidarnosc (leader Lech Walesa) : en 1980, les ouvriers de Gdansk en Pologne se mettent en grève et créent le premier syndicat indépendant Solidarnosc. Le mouvement est brisé en 1981 par le général Jaruzelski qui décrète « l’état de guerre ». 10000 personnes sont arrêtées. L’Eglise catholique soutient la contestation en Pologne

résolument dans l’opposition. Il est l’un des principaux artisans de la révolution de velours en 1989. Solidarnosc (leader Lech Walesa) : en 1980, les ouvriers de Gdansk en Pologne se mettent en grève et créent le premier syndicat indépendant Solidarnosc. Le mouvement est brisé en 1981 par le général Jaruzelski qui décrète « l’état de guerre ». 10000 personnes sont arrêtées.

Pacte de Varsovie intervient. ➢ III – Pourquoi et comment les démocraties populaires s’effondrent-elles ? 1- En quoi la contestation polonaise au début des années 1980 crée-t-elle une rupture importante ? Présentation de Solidarnosc : Syndicat polonais indépendant et auto-géré qui refuse le contrôle de l’Etat. Mouvement qui va prendre un essor considérable : 10 millions de salariés vont y adhérer. Mouvement fondé en 1980 sur un mouvement de grève dans les chantiers navals

mal à franchir les frontières. -raisons économiques (anciens combattants, réfugiés politiques, juifs ou intellectuels, menacés dans leur liberté, militants de Solidarnosc…) : Polonais : émigrés pour des raisons économiques (anciens combattants, réfugiés politiques, juifs ou intellectuels, menacés dans leur liberté, militants de Solidarnosc…) Les derniers émigrés en date sont à nouveau des exilés économiques qui fuient la pauvreté et viennent tenter leur chance à Paris. -1990 chassés par l’intégrisme

hausse des prix de la viande, et les grèves, partis des chantiers navals de Gdansk, le | |gouvernement communiste polonais finit par céder. Il signe les accords de Gdansk avec Lech Walesa, ouvrier-électricien et leader du | |syndicat indépendant Solidarnosc. celui-ci sera dissout par le général Jaruzelski en 1982, puis relégalisé en 1989. Lech Walesa | |deviendra alors le premier président polonais élu au suffrage universel direct. | |Voir

prix entraine des grèves où le syndicat livre Solidarnosc, soutenu par l'Eglise catholique, et fort de 1,5 million d'adhérents s'impose. Aux accords de Gdansk en août 1980, il obtient la reconnaissance du droit de grève et l'existence des syndicats indépendants. - Mais la contestation ne faiblit pas, et, en décembre 1981, le général Jaruzelski secrétaire du POUP, proclame l'« état de guerre ». Réunions et syndicats libres sont interdits et Solidarnosc, qui compte 11 millions de militants, est dissous

affiche son soutien aux différents mouvements dissidents (notamment le syndicat Solidarnosc) et organise plusieurs visites dans son pays natal (en 1979, 1983 et 1987) qui sont autant  de  rassemblements  d’opposants  au  régime  de  Jaruzelski.   Les   milieux   ouvriers   constituent   enfin   un   vivier   d’opposants.   Ce   fut   particulièrement   le   cas   en   Pologne   autour de Lech Walesa et du syndicat Solidarnosc. Les premiers éléments de la contestation naissent sur les bords de la mer