Somme

peintre allemand ; il nait en 1891 et meurt en 1969. Il fait ses études à l'école des Arts décoratifs de Dresde de 1909 à 1914 ; à la proclamation de la guerre, il s’engage avec enthousiasme dans l’armée allemande et prend part à la bataille de la Somme, puis part sur le front de l’Est en 1917. Il est gravement blessé plusieurs fois. La guerre, qui le traumatise profondément, deviendra le thème majeur de son œuvre, à travers ses toiles, mais aussi par de nombreux dessins et gravures. N de professeur

apprenti du peintre Carl Senff et apprend à peindre ses premiers paysages. Au début de la première guerre mondiale, il s’engage avec enthousiasme dans l’armée allemande. Il devient mitrailleur et combat en France notamment durant la bataille de la Somme puis obtient la croix de fer en 1939 A la fin de la guerre, Otto quitte Gera pour Dresde ou il commence à adopter l’expressionisme et le collage. Il décide de peindre les horreurs de la guerre, notamment des « gueules cassées » les infirmes estropiés

au front. Chaque armée creuse des tranchées pour se protéger de son adversaire : la guerre devient une « guerre de position ». Les principales offensives sont : – la bataille de l’Artois en 1915 – la bataille de Verdun en 1916. – la bataille de la Somme en 1916 Les tranchées Les tranchées apparaissent en 1915 : ce sont des fosses creusées par les soldats pour se protéger et défendre leurs positions. La guerre des tranchées Les nouvelles armes En 1914, l’arme de base des soldats alliés est

Otto Dix, les joueurs de Skat, 1920, Galerie der Stadt Contexte historique : A la proclamation de la guerre, Otto Dix s’engage avec enthousiasme dans l’armée allemande et prend part à la bataille de la Somme, puis part sur le front de l’Est en 1917. Il est gravement blessé plusieurs fois. La guerre, qui le traumatise profondément, deviendra le thème majeur de son oeuvre. Contexte artistique : Cette oeuvre s’ancre dans le mouvement expressionniste. Il ne vise pas à montrer le monde tel qu’il

maréchal de France en 1916. FERDINAND FOCH (1851-1929) Officier général, académicien français et maréchal de France. Foch fut un acteur lors de la victoire de la Marne, un décideur des offensives de l’Artois en 1915 et un meneur dans la Bataille de la Somme en 1916. En Août 1918, il fut gratifié du titre de Maréchal de France. Ferdinand Foch fut reçu à l’Académie de France le jour de la signature de l’Armistice, à laquelle il assista. PHILIPPE PÉTAIN (1856-1851) Militaire, diplomate, homme politique

ui il faut renoncer a nos opinion car, il est fréquent de ne pas partager l'opinion d'un autre individu, par conséquent dans une situation où deux opinions divergent il est difficile de distinguer celle qui est vrai de celle qui ne l'est pas. En effet, l'opinion n'étant qu'un avis personnel ne tenant compte que de l'impression, du ressenti, elle ne peut être une valeur sûre. Mais ce qui est le plus dérangeant dans l'opinion est-ce sa véracité ? L'opinion est un jugement spontané qui n'a pas

Alors que l'Américain se préparait se baladait au bord du pont neuf , il s'arreta devant un magasin pour femme, nomme la belle jardinière , il remarqua qu'il était seul, et que, partant pour la bataille de la somme le lendemain, il aurai aimé faire un cadeau à une femme inconnu, une femme qui ne connaissait ni les souffrances de la guerre, ni la peur de ne pas retrouver un jour sa famille.Il entra dans le magasin, en regardant d'un regard flou, le sillons de l'eau, dessinés par les bateaux naviguant

faire de percée, ils vont user l’ennemi en en tuant le plus. En 1916, les allemands vont faire une offensive sur Verdun pour user les français mais ils ont été défendu par le général Pétain (qui deviendra maréchal après la guerre). La bataille de la Somme en juillet 1916: les anglais contre les allemands. Armes nouvelles pour le guerre des tranchées (les gazes, les lances flammes…). La guerre des tranchées est l’angoisse, l’attente et l’ennuie. Manque d’hygiène (il se lave dans les tranchées qui sont

Agrandissements : mariage, héritage, achat (Sud Alsace, Luxembourg), pressions diplomatiques. Le traité d’Arras en 1435 efface le meurtre de Jean sans Peur par les partisans du dauphin au pont de Montereau : indemnités, clauses territoriales (villes de la Somme données à Philippe le Bon) + clauses morales qui effacent la traîtrise (Charles VII accepte de donner à Philippe le Bon le droit non transmissible de ne plus recevoir l’hommage. Les obligations militaires et financières de Philippe le Bon sont aussi

reculer l’ennemi le plus rapidement possible. Les allemands veulent attaquer pour s’emparer du territoire français ils y sont parvenus, mais l’armée les française le récupéré donc ils instaurent une contre-attaque. Au même moment la bataille de la Somme se déroule en Juillet 1916 à Novembre 1916 Ne parvenant pas à atteindre la ville de Verdun, les Allemands décident d’organiser une simple défense de leurs positions. De nombreux soldats sont envoyés sur le front oriental. L’armée française,