Sommes Nous Responsable De Nos Actes

N’est-il pas possible d’en ébranler les assises ? Par exemple, si l’on admet avec Freud que « le moi n’est pas maître dans sa propre maison », que la souveraineté de la conscience est une illusion, y a-t-il sens à demander à un sujet de répondre de ses actes ? (Thèse : le freudisme ébranle en profondeur les fondements de la responsabilité).    Pourtant (renversement dialectique) si le freudisme peut fonctionner pour certains comme l’alibi de l’irresponsabilité, Freud met clairement les choses au point

de certaines personnes, c’est avoir des morts sur la conscience. Interdire le commerce des droits de garde d’enfants, refuser l’appropriation des espèces animales vivantes ou l’appropriation de la nature environnante, etc., c’est interdire certains actes d’appropriation et d’échange au nom d’une morale, mais c’est aussi créer des situations de désordre social particulièrement dramatiques quand elles conduisent à la disparition d’espèces vivantes ou à des souffrances inutiles. Or, quelle justification

fait-t-on si l’on n’a plus conscience et que l’on perd la mémoire. Cela veut-il dire que l’on est plus. Cela veut donc dire qu’il nous est impossible de se connaître? Du moins, éternellement.  La connaissance de soi n’est pas possible puisque nous sommes toujours en changement, que ce soit physique ou psychologique. Le dualisme de Parménide et d’Héraclite est un bon exemple. Héraclite appui le fait qu’on est constamment en changement que rien ne reste, donc il est impossible de se connaitre soi-même

sujets de droit responsables. Pourtant, il arrive que le caractère d’un homme se modifie au point que l’identité de celui-ci soit altérée: on parle alors d’aliénation, littéralement le fait de devenir un autre. L’homme devenu fou perd sa capacité juridique: il n’est plus un sujet. Amener la problématique: Pouvons-nous parler d’une permanence du sujet (énoncé de la question de la dissertation)? Le sujet, entendu comme l’être humain conscient et responsable de ses pensées et de ses actes, manifeste en

ses actes. Sans aucun doute, l’acte est un fait, dans la mesure où elle est une action accomplie par l’être humain. Nous vivons tous avec certaines obligations, mais aussi dans un système économique qui se manifeste sur l’échelle international. Le capitalisme est, et sera toujours, une idéologie de maintenance radicalement extrémiste. Opposé par le communisme, c’est deux concepts se confrontent depuis de longues années. Serait-il possible de dire que l’être humain est responsable de ses actes et des

façon ? Mais aussi sommes-nous déterminés à faire quelque chose, devenir quelqu’un ? Et nos choix sont-ils déterminés par des choses inconnus, destin , dieu.. ? L'expression « d'etre ce que l'on est », semble dans un sens évidente, nous sommes ce que nous sommes, nous pouvons pas être quelqu'un autre. Cette expression fait appel à l'identité du sujet. Mais alors, chaque personne possède sa propre identité c'est à dire que nous savons ce que nous sommes et pouvons être ce que nous sommes. Mais, dans ce

naturalisme de Zola mais ils reprochent à l’Existentialisme d’être naturaliste. Ce qui ne les choque pas chez Zola est le fait que les horreurs sont déterminés , on ne peut pas y échapper. Ce qui les choque dans l’existentialisme ; c’est que l’homme est responsable de sa médiocre condition. Enfin , il ne comprend pas qu’ils soient choqué par l’existentialisme et qu’ils adorent les proverbes , qui sont peu optimiste et qui brise la solidarité. Il y a dans la culture commune des éléments beaucoup plus porteur

Introduction Le jugement est une des dimensions fondamentales de la morale. Or, celui-ci n'est possible que si la personne est considérée comme l'auteur responsable de ses actes. Dès lors, tout ce qui semble contester cette possibilité semble ruiner la morale. N'est-ce pas le cas justement des explications de notre conduite par le recours à l'inconscient ? Cette notion désigne des phénomènes psychiques qui se produisent en nous sans que notre volonté le décide. Il semble donc que nous soyons commandés

rien. C’est son existence qui, d'acte en acte, de choix en choix, déterminera ce qu’il deviendra et donc se qu’il sera. Nulle pensée ne peut arriver à ce résultat, seuls les actes déterminent une existence. Les rêves ne sont que des rêves, les pensées ne sont que des pensées et seuls nos actes déterminent ce que nous sommes. Ce que nous voudrions être n’a aucune valeur. Pour les existentialistes, l'homme est totalement libre de ses choix et rien ne le conditionnerait. Il n'y a pas de « nature humaine

famille. Frantz a participé à la Seconde Guerre mondiale, et est devenu un tortionnaire, et depuis il se séquestre, dans l’impossibilité d’assumer les conséquences de ses actes. C’est ce que ce passage met en tension : la liberté ou le déterminisme (familial et social) et la responsabilité ou la non responsabilité de ses actes. Frantz est séquestré physiquement, mais comme on le verra, tous les membres de la famille sont aliénés, séquestrés dans une impossibilité d’agir « pour eux », librement, en