Sommet mondial sur le développement durable

pour leurs loisirs, leurs affaires ou d’autres raisons précises ». (Organisation Mondial du Tourisme) L'Organisation Mondiale du Tourisme prévoit en 2020 un milliard et demi de touristes dans Ie monde, soit 21% de la population mondiale. Le triplement anticipé des flux touristiques en 1995 - 2020 I'espace d'une génération ( ), ainsi que la forte croissance de la population des régions en voie de développement (qui devraient accueillir près de la moitié des touristes internationaux en 2020)

mer Le Schéma de mise en valeur de la mer ou SMVM est un document de planification qui a pris naissance le 7 janvier 1983. Son but premier est l’intégration et la valorisation du littoral afin de l’intégrer dans une démarche globale d’aménagement durable du territoire français. Il se valide par l’état plus précisément les préfectures et à une influence sur le sol mais aussi la mer. La Commission européenne a estimé que 3 à 5% du PIB de l’Europe est généré par les activités du secteur maritime, dont

villes-test ………………………………… .p.24 1.2.2. Les outils novateurs en termes de participation citoyenne…………………………………………………………..p.28 3. Les différentes conceptions des collectivités et associations interrogées sur les stratégies et enjeux du développement durable et de l’Agenda 21……………………………… ..p.33 2. Les limites de la démarche…………………………………………p.41 2.1. L’Agenda 21 : une pratique encore expérimentale……….p.41 2.1.1. Une implication des élus encore trop hésitante……………

comme un droit et un bien commun non marchand et veulent appuyer les déshérités des bidonvilles qui en sont privés. Ils dénoncent l’oligarchie mondiale de l’eau et le contrôle des agences de l’eau par le politique, le lobby agricole ou certaines multinationales. De l’autre, les multinationales de l’eau ainsi que les agences d’aide, notamment la Banque mondiale, mettent en avant l’efficacité et la rentabilité de la gestion d’activités très capitalistiques. Les multinationales capables d’apporter la logistique

collaboration avec le Programme des Nations Unies pour le développement Chaque année, quelques 3,4 millions de personnes, essentiellement des enfants, meurent de maladies liées à une insuffisance d’alimentation en eau, d’assainissement et d’hygiène. Plus de la moitié des lits d’hôpitaux dans le monde sont occupés par des personnes souffrant de maladies associées à l’eau et à l’assainissement. Les participants au Sommet mondial sur le développement durable qui s’est déroulé en 2002 à Johannesburg en Afrique

politique de responsabilité sociale par les entreprises suppose une étude des parties prenantes. La responsabilité sociale d’entreprise est l’application des principes de développement durable à l’entreprise. A l’origine e développement durable s’est appliqué aux Etats et aux collectivités territoriales. Le concept s’est élargi au sommet de la terre de Johannesburg en 2002 pour inclure les entreprises. L’Union Européenne a publié un livre vert pour définir les principes de RSE. L’entreprise doit elle

Introduction On observe depuis de nombreuses décennies un appauvrissement considérable de la diversité biologique que ce soit au niveau mondial, européen, national et local, et ce à la suite des activités de l'homme (perte d'habitats ou diminution de la diversité biologique). S’inquiéter de la perte de biodiversité est donc aujourd'hui une nécessité. D’abord la nature est un patrimoine que l’Homme se doit de respecter et de préserver pour la léguer aux générations futures. Ensuite parce que

politiques de développement local. Elle n'est qu'un des enjeux du développement durable, au même titre que la maîtrise de l'énergie par exemple. Les réunions et sommets internationaux des ces 20 dernières années (Sommet de la Terre de Rio en 1992, Protocole de Kyoto en 1997, Sommet de la Terre de Johannesburg en 2002...) traduisent concrètement la mobilisation de la communauté internationale en matière de lutte contre le changement climatique, de protection de l'environnement et de développement durable

PIB canadien. Au Québec, les marchés publics du gouvernement provincial représentent plus de 14 Mds $, soit près de 5% du PIB. La communauté internationale s’est dotée d’un plan d’application (sommet de la terre de Johannesburg en 2002) afin de promouvoir et favoriser la prise en compte du développement durable dans la commande publique.„ En 2009, 72% des acheteurs corporatifs indiquaient que leur organisation avait implanté une politique formelle ou informelle d’achats verts. Il s’agit,, malgré un

Cadre international Les « Sommets de la Terre » : Ils ont constitué jusqu’à aujourd’hui le principal moteur de l’action internationale concernant le développement durable. Ce sont des rencontres organisées par l’ONU tous les dix ans entre les principaux dirigeants politiques mondiaux, pour trouver les moyens de stimuler le développement durable au niveau mondial. Le premier sommet eu lieu à Stockholm (Suède) en 1972, le deuxième à Nairobi (Kenya) en 1982, le troisième à Rio de Janeiro (Brésil)