Sonate

que de n'importe quel autre musicien. Son activité s’est exercée dans les domaines de la musique instrumentale, particulièrement au violon, et de celui de la musique lyrique, et elle a donné lieu à la création d’un nombre considérable de concertos, sonates, opéras, pièces religieuses : il se targuait de pouvoir composer un concerto plus vite que le copiste ne pouvait le transcrire2. Prêtre catholique, sa chevelure rousse le fit surnommer il Prete rosso, « Le Prêtre roux », sobriquet peut-être plus

mort du musicien Bach et par la mort de Ludwig Van Beethoven. * La musique classique est caractérisée par l’ordre et la clarté. Les principales distinctions musicales sont : -la symphonie : c’est la création majeure de cette époque. -la sonate classique : elle comprend désormais trois mouvements (allegro, adagio, allegro) -l’écriture thématique : avec l’invention d’un 2ème thème, dans l’exposition, qui domine le premier après vient le développement avec des morceaux plus ou moins proches

musique instrumentale l’opportunité d’élaborer ses propres structures ce que les compositeurs de cette période s’empressent d’exploiter. C’est ainsi que de nombreuses formes musicales sont créées durant cette période telles que le concerto grosso et la sonate. Le concerto grosso évoluera entre les mains de Corelli puis de Vivaldi, Corelli composant une succession de 4 à 5 mouvements en alternant lent et vif, Vivaldi le modifiant avec le principe de la division tripartite : 1er vif (allegro), 2nd lent

Köchel), qui embrasse tous les genres musicaux de son époque. Selon le témoignage de ses contemporains, il était, au piano comme au violon, un virtuose. On reconnaît généralement qu’il a porté à un point de perfection le concerto, la symphonie, et la sonate, qui devinrent après lui les principales formes de la musique classique, et qu’il fut un des plus grands maîtres de l’opéra. Son succès ne s’est jamais démenti. Son nom est passé dans le langage courant comme synonyme de génie, de virtuosité et de

de Vivaldi que d’aucun autre musicien. Son activité s’est exercée dans les domaines de la musique instrumentale — particulièrement violonistique — et de la musique lyrique ; elle a donné lieu à la production d’un nombre considérable de concertos, sonates, opéras, pièces religieuses : il se targuait de pouvoir composer un concerto plus vite que le copiste ne pouvait le recopier[4]. Comme ce fut le cas pour de nombreux compositeurs du XVIIIe siècle, sa musique, de même que son nom, fut vite oubliée

également l’histoire de la belle Maguelone et du chevalier Pierre, que plus tard il mettra en musique). Le 21 septembre 1848, il donne som premier concert, qui inclut une fugue de Bach.Un deuxième concert suivra le 14 avril 1849 : Brahms y joue la sonate opus 53 de beethoven et des variations de sa composition. La critique commence à le remarquer en lui reconnaisant un talent un peu ordinaire. En 1853,Brahms à vingt ans ; Il rencontre un violoniste hongrois Eduard Reményi, a qui il doit son premier

adapté et transcrit plus d’œuvres de Vivaldi que d’aucun autre musicien. Son activité s’est exercée dans les domaines de la musique instrumentale et de la musique lyrique ; elle a donné lieu à la production d’un nombre considérable de concertos, sonates, opéras, pièces religieuses : il se targuait de pouvoir composer un concerto plus vite que le copiste ne pouvait le recopier. Comme ce fut le cas pour de nombreux compositeurs du XVIIIème siècle, sa musique, de même que son nom, fut vite oubliée

propriété de campagne de sa famille, Ivanovka, le concerto est achevé le 23 septembre 1909. Rachmaninov a écrit cette pièce dans le but de montrer ses propres talents de compositeur mais également de pianiste. Le concerto est contemporain de sa première sonate pour piano et de son très célèbre poème symphonique L'Île des morts. Le concerto est respecté, même craint, de tous les pianistes. Josef Hofmann, le pianiste à qui l'œuvre est dédicacée, n'a jamais tenté de la jouer, disant d'elle que « ce n'était

Köchel), qui embrasse tous les genres musicaux de son époque. Selon le témoignage de ses contemporains, il était, au piano comme au violon, un virtuose. On reconnaît généralement qu'il a porté à un point de perfection le concerto, la symphonie, et la sonate, qui devinrent après lui les principales formes de la musique classique, et qu'il fut un des plus grands maîtres de l'opéra. Son succès ne s'est jamais démenti. Son nom est passé dans le langage courant comme synonyme de génie, de virtuosité et de

Haydn, avec notamment les onze symphonies nos 82 à 92 destinées à Paris, les dix-neuf quatuors à cordes op. 42 (1785), op. 50 (1787), op. 54-55 (1788) et op. 64 (1790), la version originale pour orchestre des Sept Paroles du Christ (1787), les deux sonates pour piano no 58 (1789) et no 59 (1789-90), cette dernière dédiée à Marianne von Genzinger, et treize trios pour piano, violon et violoncelle. Durant ces six années, qui marquèrent un premier apogée du style classique viennois, Haydn et Mozart se