Sorcellerie

EXPOSE DE FRANÇAIS LES SORCIERES DE SALEM La sorcellerie ne date pas d’hier. Les sociétés antiques ont souvent eut recours aux pouvoirs de divination de personnages comme la pythie de Delphes, les augures et les devins : ces praticiens des arts divinatoires exercent donc des fonctions religieuses officielles. Mais, parallèlement, les pratiques occultes débordant du cadre institutionnel sont sévèrement réprimées en Grèce comme à Rome. De même, la loi de Moïse condamne toute magie noire : « Tu

Diable et sorcellerie XIV-XV Texte proposé : « le marteau des sorcières », qui est un manuel pour les inquisiteurs XIIIe : naissance de l’inquisition XIVe : Nicolas Eymerich écrit un manuel des inquisiteurs avant celui du marteau des sorcières. Comment et pourquoi à un moment donné, l’inquisition s’occupe de la sorcellerie ? D’un point de vue théorique, du moment qu’une sorcière fait un pacte avec le démon elle devient hérétique. La sorcellerie est une apostasie (crime contre la foi). Les

sorcières Une chasse aux sorcières désigne la recherche hystérique et la répression de personnes accusées de pratique de la magie noire. La répression des pratiques magiques intervient à diverses époques. Après l'Antiquité, la répression de la sorcellerie est interdite par l’eglise catholique, puis est autorisée à partir du XII siecle. Des chasses aux sorcières, essentiellement tournées vers les femmes, ont lieu en Europe avec des hauts et des bas jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, principalement entre

les êtres supérieurs en quatre catégories : dieux, démons, héros, âmes. Jusqu’à la fin de XIIIº siècle, peu d’intérêt était porté aux démons. Le Traité sur le mal de saint Thomas d’Aquin en 1272 rappelle que le diable est un hérétique, et la sorcellerie un crime d’hérésie. Les théologiens vont alors se retourner sur les entités du Mal. La théologie va se diviser en une angéologie (théodicée) qui est l’étude de Dieu, et une démonologie. La démonologie était conduite sous les auspices et avec les

colonnes, aux titres et aux interlignes qui aides à lecture et qui met le type d’information en évidence. Ce texte est de type d’informatif dont le propos directeur est le droit de l’enfance en nous donnant les violences faites aux enfants accusés de sorcelleries. 2. Ce texte est aussi de genre non littéraire car c’est un essai. Ce texte nous met en évidence deux opinons c’est donc un texte argumentatif. Le propos directeur est lui aussi le droit de l’enfance en nous dénoncent l’influence des adultes

développa dont, premièrement, la sorcellerie. En effet, la sorcellerie connut un développement spectaculaire surtout en Europe. Les populations étant ignorante, les escamoteurs virent là un bon terrain de jeu pour pratiquer leur tours. Mais ils prenaient le risque d’être considéré comme sorciers car ils ignorait l’existence du « trucage ». C’est pourquoi de nombreux escamoteurs finirent leur vies sur le bûcher.( Voir gravure ) Au début l’homme accusé de sorcellerie n’était pas condamné mais au fur

Les sorcières et les sorciers de nos jours A la fin du 17eme siècle, et au début du 18eme siècle, la sorcellerie s’éteint grossièrement, parce que le regard de la société change, il est moins rattaché à la religion. A l’époque, la sorcellerie était considérée comme une religion maléfique, qui est liée au diable. Le gouvernement devient plus rationaliste et freine la chasse aux sorcières. Les mentalités ont changé, les gens se rendent compte que les sorcières sont des inventions du gouvernement

indiquée est : 11-17 février 2006. 2 : Identification des genres, des types et extraction du propos directeur 2.1 Le premier document est un article de presse et, est de type informatif. Cet article traite essentiellement d’enfants accusés de sorcellerie à Kinshasa (Congo) et en Angola. 2.2 Le second document est un résumé de documentaire télé, et est de type informatif, explicatif. Ce documentaire traite essentiellement d’exorcisme et de condamnation des enfants « sorciers ». 2.3 Le troisième

« croupir » conclusion : parias 2) Les croyances et superstitions du Moyen Age : 1. La sorcellerie (puisque associer au diable et aux forces obscures) => Retrouve dans la Cour des miracles Esméralda et sa chèvre : Djali confondue à un bouc = figure de la sorcellerie la feuille de bouleau soit disant échangée contre écu qui symbolise là encore la sorcellerie Djali par tous les tours qu'elle exécute => sorcellerie ex : la première fois qu'elle écrit Phoebus chez Fleur de Lys où elle est qualifiée

un accident de voiture. Le jour de ses 11 ans, un demi-géant du nom de Rubeus Hagrid vient le chercher pour l’emmener à Poudlard, une école de sorcellerie, où il est attendu pour la rentrée. Hagrid lui révèle qu’il est un sorcier comme ses parents et que ses parents ont en réalité été tués par l'un des plus grands mages noirs du monde de la sorcellerie, Voldemort, surnommé "Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom". Voldemort a cherché à tuer Harry, mais ce dernier a survécu, en gardant une cicatrice