Souffrance Et Désillusion

description plus réaliste. Ici, Vallès dépeint une jeunesse froide, une jeunesse téméraire qui ne craint pas d’affronter les dangers pour l’honneur, pour sauvegarder des idées ou encore par intérêt personnel. On en vient à parler d’une jeunesse de la désillusion  « j’ai toujours étouffé dans des habits trop étroits et faits pour d’autres, ou encore dans des traditions qui me révoltaient ou m’accablaient » lignes 18 à 19. Cette jeunesse est déterminée comme le montre l’utilisation des phrases exclamatives

manque, alors il est nécessairement lié à la souffrance aussi longtemps         qu’il n’est pas satisfait. Il y a l’attente : nous n’arrêtons pas de nous projeter dans le futur et oublions de profiter de l’instant présent, ce qui provoquera inévitablement des frustrations.    « Ce n'étais pas ce à quoi je m'attendais" est une réaction habituelle à la déception causée par l'illusion du désir. Dès lors, nous retombons très vite dans la désillusion. Cette souffrance naît d'un conflit entre la volonté, nos

vie heureuse ? En quoi désirer est-ce chercher à combler un manque, qui implique alors une souffrance pour le sujet désirant ? La nature du désir ne réside-t-elle pas dans une tension qui fait plaisir, le plaisir s’opposant à la souffrance ? Enfin, n’y a-t-il pas derrière la notion de désir celle de la volonté qui nous pousse à agir pour donner un sens à notre existence et ainsi s’arracher à la souffrance ? “Le désir est manque”. Telle est la pensée de Platon. Tout d’abord, nous désirons ce

mort des artistes, La mort des amants, Le voyage). B. L’unité intérieure du recueil Le schéma des Fleurs révèle une architecture bien définie car Baudelaire a voulu montrer les différentes étapes de son esprit, depuis les illusions et les désillusions de la jeunesse jusqu’à la mort. Il y retrace l’histoire de la nature humaine partagée entre l’attrait maléfique du mal et l’aspiration à l’idéal pour atteindre un Bonheur perdu. De là ce malaise de vivre, ce spleen, auquel Baudelaire ne peut échapper:

Une poésie de la simplicité Les Regrets est un recueil de poèmes de Joachim du Bellay (1522-1560), écrit lors de son voyage à Rome de 1553 à 1557 et publié à son retour en 1558. On observe dans ce recueil la désillusion du poète par rapport à la « capitale de l’antiquité », idéalisée par les humanistes, et dont il s’aperçoit qu’elle n’est plus que ruine et débauche. Cependant ce recueil est une véritable révolution poétique : d’abord par sa forme toute nouvelle : un recueil de sonnets portant

de garder une vie décente même à travers une maladie extrêmement destructrice physiquement et moralement. Il y a aussi les pays subissant la guerre. Les conflits ne regardent souvent que les politiques mais ce sont les peuples qui endurent les souffrances, attendant patiemment que les pouvoirs stoppent les hostilités. Il est possible que l’illusion soit inhérente à l’homme car cela lui permet de corriger une réalité désagréable. III) L’homme face à ses illusions Pour ne pas être séquestré par

se déroule durant les années 40. * des chapitres décrivent les conditions d’enterrement avec les fosses, les morts entassés, les fours crématoires qui peignent les conditions dans les camps de concentration. * les émotions éprouvées (la désillusion, le désespoir, désespérance, la peur, l’isolement…) peuvent représenter les réactions du peuple durant la Guerre. * il y a aussi les luttes (médicale, morale…) des concitoyens qui font penser à la résistance. Avis personnel Personnage

s’intégrer dans une société qui ne lui ressemble pas. L’homme se définit ainsi comme un « loup des steppes », animal solitaire, égaré dans un monde qui lui semble incompréhensible. Sa rencontre avec plusieurs personnages lui permettra de faire face à sa désillusion, notamment grâce à un « voyage » initiatique (thème cher à Hermann Hesse) qui s’achèvera dans un théâtre, « seulement pour les fous » dont « l’entrée coûte la raison ».Il lui permettra de découvrir les différentes facettes de sa personnalité. A

mal du siècle du a cette grande désillusion, aussi appelé « Le spleen ». A travers des vers, de rimes et des strophes ces poètes font sortir leurs malheurs et les partages avec le monde littéraire. C'est alors que le symbolisme apparut avec Charles Baudelaire qui a écrit « Les Fleurs du Mal » en 1858. On peut dire bien sûr qu’il est le précurseur du symbolisme. Dans ce recueil poétique Baudelaire nous fait partager le drame qui se joue en lui et aussi la souffrance et la fatalité du péché. A la page

encyclopédique d’un homme complet en « savoir et vertu ». Du Bellay, était un poète français, du XVIème siècle. Dans les années 1550, il suit son oncle à Rome, où il n’obtiendra qu’un simple poste d’intendant au Vatican. Ce sera pour lui une source de désillusion et la France va beaucoup lui manqué. C’est dans ce contexte qu’il rédige Les Regrets en 1558. Il déplore la chute de l’empire romain, pour lui grandiose, puis il revient sur lui-même pour déplorer une autre chute, à savoir l’euphorie connue à Paris