Souffre-douleur

c’est vers cette personne que l’on se tourne Un jour tu sentiras peut-être Le prix d’un cœur qui nous comprend, Le bien qu’on trouve à le connaître; Et ce qu’on souffre en le perdant. Alfred de Musset saisit ce qui lui manque, les bienfaits de parler à quelqu’un qui nous comprend, le bien que cela apporte, ainsi que la douleur lorsque cette personne part. Dans cette citation, l’emphase est mise sur la valeur d’un confident; son prix, ces bienfaits et la souffrance lorsqu’on le perd. Le poète

« ma vie est à sa vie » mais non pas « sa vie est à ma vie » . Le personnage est la proie de Diane et il le sait « Ou l'ire, ou la pitié de ma divinité ? » mais c'est une sorte de jeu macabre et sensuel entre eux car le poète nous dit « mon cœur souffre en son cœur » il aime donc la femme qui le fait souffrir . Regardons maintenant plus attentivement chaque partie du sonnet , nous constatons certains effets de parallélisme entre les éléments plus particulièrement dans la stylistique des strophes

souffrance dans l'écriture « lorsqu'il est sans blessures, il garde son trésor. Il faut qu'il est au cœur une entaille profonde Pour épancher ses vers, divine larme d'or » (v.14 à 16). La souffrance est exprimée à travers la douleur, il y a d'ailleurs la présence du champs lexical de la douleur : « plaie » (v.4), « larmes » (v.5), « douloureux » (v.8), « blessé » (v.12), « entaille profonde » (v.15). Dans « L'Albatros », est un poème du spleen exprimé a travers le champs lexical du ridicule : « gauche

tous été confrontés un jour à un enfant qui pleure, qui a mal, qui souffre...et nous sommes tous impuissants face à ce genre de situation. En tant qu'infirmière nous avons le devoir de participer à la prévention, à l’évaluation et au soulagement de la douleur, quel que soit l'individu, et la population. Notre formation nous a permis d'apprendre les différents moyens thérapeutiques mais aussi non thérapeutiques pour prévenir la douleur grâce aux cours théoriques que nous avonc reçus mais également au

mais bien souvent aucune raison particulière n’est trouvée et la douleur s’arrête ; en effet, pour 90 % des personnes, une amélioration des symptômes a lieu au cours des deux mois suivant le déclenchement des douleurs, sans qu’une raison particulière soit trouvée. Dans tous les cas, chaque patient doit discuter de ses symptômes avec son médecin qui saura alors établir un diagnostic et lui conseiller le meilleur traitement. La douleur est qualifiée d’aiguë si elle est présente depuis moins d’un mois

visée commune a ces tois texte Sur le plan des registres on constate , que tout trois utilisent le registre pathétique En effet , le premier texte, Mélancolia, est marqué par un lexique de la compassion à l aide de termes evoquant la misére et la douleur ""maigre";"bleme" "vers 2,"pas de pain", "pas d 'argent"vers 7 associé à un vocabulaire afectif , la tristesse , avec les terme:"coeur qui se déchire"vers10 et "deuils, et pleurs" vers47 et religieux notamment avec l'expression" grand dieu"vers43

arrivent à retranscrire leurs douleurs, leurs angoisses et leur vie d'une manière assez similaire. Nous nous proposerons d'étudier ces différents recueils sous trois angles différents : nous verrons tout d'abord que les poètes ont une expérience commune de la douleur, nous nous intéresserons ensuite à l'amour qui est exprimé de différentes manière dans chaque recueils, et enfin au détournement de la réalité que nous pouvons observer. I/ Une expérience commune de la douleur Une adéquation de la

l’intrépide Hyppolite voit voler en éclats tout son char fracassé » utilise une personnification de « l’essieu » avec « crie » pour faire ressentir une perte de contrôle progressive, au fur et à mesure de son combat. Puis un aparté de Théramène «excusez ma douleur : cette image cruelle sera pour moi de pleurs une source éternelle», qui fait office de transition avec la troisième partie. Celle-ci raconte l’agonie d’Hyppolite « portent de ses cheveux les dépouilles sanglantes », «ouvre un œil mourant » et enfin

considère comme un modèle qui montre ce qu’il convient de faire. Le Stoïcisme : Doctrine philosophique qui préconise de rester impassible, imperturbable, de marbre face à la souffrance et à la mort. En effet, un stoïcien estime que manifester sa douleur s’humilier, s’avouer inférieur à l’adversité. Dans la prosopopée, chaque mot compte. « Si tu peux » implique que le stoïcisme n’est pas accessible à n’importe qui. Il est réservé à une élite. « A force de rester » montre qu’il faut de la patience

que ces malades qui vivent sous sérum ne sont plus maitre de leur vies et la voit confier a leurs proches ? N’allez vous rien faire pour stopper ces hommes qui décident délibérément de mettre fin a la vie d’un malade sous prétexte qu’il ressent sa douleur ? Allez-vous rester les bras croisés pendant qu’ils abusent de la compassion pour celer un destin ? Nous devons peut être comprendre que certains d’entre nous sont medium ? Cela est bien triste lorsque pendant ce temps là certains médecins et infirmières