Souffre-douleur

mental et social. Ceci étant, comment pourrons nous définir alors la dépression? Qu’est-ce que la dépression ? Avoir des idées noires, se sentir triste , être déprimé ou avoir des difficultés à dormir ne veut pas forcément dire que l’on souffre de dépression. Les moments de doute ou de questionnement font partie de la vie. Chacun de nous a certainement déjà eu des gammes de sentiments allant de la tristesse à l’optimisme. En effet nous avons certainement connu a un moment de notre vie

dans la vie quand on a parfaitement compris qu’il n’y a pas d’affres après cette vie. Il faut donc être sot pour dire avoir peur de la mort, non pas parce qu’elle serait un événement pénible, mais parce qu’on tremble en l’attendant. De fait, cette douleur qui n’existe pas quand on meurt, est crainte lors de cette inutile attente ! Ainsi le mal qui effraie le plus, la mort, n’est rien pour nous, puisque lorsque nous existons la mort n’est pas là et lorsque la mort est là nous n’existons pas. Donc

regrette t-il juste après et souffre t-il d’être malade ? Le bien-être, ce n’est pas souffrir, ni subir une douleur ou une sensation particulière, mais n’est-ce pas aussi risquer de tous perdre sans avoir pris conscience de ce bien-être maintenant passé ? C’est-ce que soutient Arthur Schopenhauer dans cet extrait du Monde comme volonté et comme représentation. « Ainsi la possession accroît la mesure de nos besoins, et du même coup la capacité de ressentir la douleur. » déplore-t-il. Si le bien-être

Lison. -impression de souffrance face à l’accident, grâce au champ lexical de la douleur : « une affreuse plaie », « des râles furieux », « « râler », « agonisante » c) La métaphore animale. -La Lison est dotée de sentiments humains mais se trouve également comparée à l’animal : une métaphore emploie l’image de la baleine « Une baleine blanche en sortait… » -l’agonie de la Lison est mise en parallèle avec la douleur du cheval : « Justement, près d’elle, le cheval, qui n’était pas mort, gisait lui

« ventre » (l.1), « les reins » (l.1), « une haleine » (l.2), «ses entrailles » (l.4), «l’âme » (l.7) l’utilisation de ce champ lexical dans l’extrait caractérise et décrit plus la machine personnifier. Enfin l’humanisation est montrée de même par la douleur ressentie l’auteur veut provoquer un sentiment de pitié et de compassion chez le lecteur car il use d’un registre pathétique « pareils a des râles furieux de géante… » (l.3). La phrase «… par ou l’âme continuait de sortir… » (l.8, 9) est comme une

« Les personnes atteintes de diabète sont exposées au risque de troubles nerveux, neuropathie et de problèmes au niveau de l’alimentation sanguine des pieds, une ischémie. La lésion au niveau des nerfs entraîne une diminution de la sensibilité à la douleur et, souvent, la personne ne se rend pas compte qu’elle a une blessure au pied. La neuropathie comme l’ischémie peuvent causer des ulcères aux pieds et des blessures difficiles à soigner. L’infection de ces blessures peut entraîner l’amputation. »[1]

polyarthrite rhumatoïde depuis 20 ans, et hospitalisée dans ce service pour un bilan de sa situation, avec plusieurs examens tout au long de la semaine. Avant de venir dans le service Madame R vit chez elle de façon autonome avec son mari, mais souffre de douleurs chronique aux mains, aux lombaires et aux cervicales. Nous sommes à J3 de son hospitalisation, lorsque nous faisons la visite quotidienne avec l’interne, et nous remarquons que depuis 3 jours la patiente ne s’est pas levée de son lit. Inquiet

différentes pertes comme de réflexes, de mouvements, d’expression et de vision. Après la larme salvatrice, c’est un doigt qu’Angèle Lieby peut bouger. Cela lui permet de communiquer avec son mari. Et alors de débuter une rééducation longue et synonyme de douleur. Elle ira dans différents établissements, notamment en unité de surveillance continue puis en centre de réadaptation fonctionnelle. Des efforts incommensurables sont réalisés. Elle doit réapprendre à respirer, à parler, manger, marcher et accepter

s'assombrir, «  Jour noir »  où il utilise un oxymore; « Plus triste que les nuits », on peut retrouver ici une comparaison. Son état mental devient douloureux, « chauve-souris » ; « esprit gémissant » ; « longs ennuis », il utilise le champs lexical de la douleur, tout cela pour accentuer le coté désespéré, angoissant. La victime devient alors hors contrôle, « en proie à », le je est différent du sujet de l'action. Son univers devient oppressant et d'autant plus angoissant, ce que montre le champ lexical de

l’oiseau que fut mon Premier Amour » (v.13). Cependant, cette femme aimée, cet amour perdu, reste très imprécise, n’étant abordée que sous la forme d’allégories ou d’une métaphore, formes abstraites. Tout le long du poème, Verlaine nous décrit une douleur lancinante qui le subjugue, dû à l’apparition brutale des souvenirs sous la forme d’oiseaux. L’utilisation de l’adjectif ‘criard’ provoque la sensation désagréable d’un bruit sourd et accablant, renforcé par la dissonance du mot. La répétition de