Sourire

mêlerai plus. Ce seracomme si je n'avais jamais existé.»«Le sourire aux lèvres, il m'a dit "Je t'aime"les larmes aux yeux, il m'a dit "Adieu"»«J'aimerais te donner mon cœur mais j'ai peur qu'il me revienne brisé...» ‎«Les oiseaux ont des ailes pour voler, moi j'ai mon cœur pour t'aimer.» «Le destin a fait un choix, toi et moi faut faire une croix ...» «Fait de ta vie un rêve et de tes rêves une réalitée.» «T'étais la raison de mon sourire, t'es devenu la cause de mes larmes.» «Elle te drague,

Affreux, ce sourire édenté. Non, ne pas avoir peur. Il lui avait dit lui-même qu'elle n'avait rien à craindre, qu'il voulait seulement lui parler et qu'il partirait ensuite. Mais quoi, c'était un fou, il pouvait devenir dangereux. Brusquement, il se retourna, et elle sentit qu'il allait parler. Oui, faire semblant de l'écouter avec intérêt. - Au Ritz, un soir de destin, à la réception brésilienne, pour la première fois vue et aussitôt aimée, dit-il, et de nouveau ce fut le sourire noir où luisait

antidote à la mauvaise humeur et donc, à tout ce qui pourrait nuire au travail de groupe, qu’importe la personne « mal en point ». Illustrons par quelques phrases d’un poème : ... Un sourire c'est du repos pour l'être fatigué, du courage pour l'âme abattue, de la consolation pour le cœur endeuillé... « Le don du sourire » - Auteur inconnu ! ! E ffectivement, le rire est contagieux et gratuit. D’un point de vue plus social, le rire amoindrit les tensions et facilite les rapports entre les personnes

     à toi ma douce ..... mon coeur a pris la forme d'une crêpe au beurre depuis qu'une bretonne a partagé mon quatre heures , elle a pas froid aux yeux et surtout très chaud au coeur elle dégaine un sourire au moins à chaque quart d'heure et son regard de braise m'allume telle une fournaise , son corps est une ficelle que je laisse m'enlacer avec beaucoup beaucoup , beaucoup de volupté elle me parle de gavotte et j'avale toutes ses notes elle m'effleure de ses doigts et je deviens un roi ,

le problème. Quelqu'un de sincère, fidèle et avec qui tu ne vois pas le temps passer. Une personne avec qui tu es toi même, et qui t'aime pour ça ; C'est ça, une vraie amitié. “Te sens-tu vraiment capable d’être cette personne ?” Un sourire n'est rien quand on y fait même plus attention. Mais il peut être très grand pour une personne qui en a perdu la capacité. Nous avons une faculté que certaines personnes ne peuvent plus exploiter ; alors faisons-le profiter. Ce n'est pas un grand

motivation principale : l’argent. Une question demeurait cependant : pourquoi Tom McFarlane avait-il consenti à se faire l’instrument des ambitions d’une femme aussi superficielle, quoique charmante ? Charmante… La réponse était là. Comment résister à un sourire de Candy Harcourt ? Belle, drôle, sophistiquée, elle avait tout pour faire tourner la tête à n’importe quel homme. Et bien qu’il donne l’impression d’être taillé dans le roc, Tom McFarlane n’avait pu être insensible à ses charmes. Si seulement elle

peut-être aimerais-tu partager tes peurs avec le groupe ? – Mes peurs ? – Oui. – J’ai peur de l’oubli, a-t-il répondu sans attendre. J’en ai peur comme un aveugle que je connais a peur du noir. – Futur aveugle, a précisé Isaac avec une ébauche de sourire. – Je suis trop dur ? a demandé Augustus. C’est vrai qu’il m’arrive d’être aveugle aux sentiments des autres. Isaac s’est bidonné, mais Patrick a levé un doigt réprobateur. – Augustus, s’il te plaît. Revenons à toi et à ton combat. Tu as dit que

dire accepter de mourir un peu chaquejour, sous les cris, sous l'hypocrisie, sous la bassesse, juste pour continuer à vivre. Forte ça veut pas dire invincible. Ca veut dire humaine. Juste ça. » Malgré tous les coups durs que j'ai pu endurer, le sourire est là, toujours présent. Certes, il est aussi là pour dissimuler mon malheur, le cacher. Mais, ça, je suis la seule à le savoir. Dans les moments vraiment flippant de l'existence , on est tout seul .On est tout seul quand l'amour s'en va ,Tout

amis de passage. J’avais un frère. Plus beau, plus fort. Un frère aîné, glorieux, invisible. J’étais toujours envieux, en visite chez un camarade, quand s’ouvrait la porte sur un autre qui lui ressemblait quelque peu. Des cheveux en bataille, un sourire en coin qu’on me présentait en deux mots : « Mon frère ». Une énigme, cet intrus avec lequel il fallait tout partager, y compris l’amour. Un vrai frère. Un semblable dans le visage duquel on se découvrait pour trait commun une mèche rebelle ou une

«  le plus bel anniversaire » Oh! une réminiscence ! Un vague, très vague souvenir d'une sensation d'enfance : la sueur au front, le sourire au lèvre, le souffle court, cette tempête de sentiments qui m'emporte. Ces éclats de rire incontrôlable, la hâte de déballer nos cadeaux, le ventre remplie de confiserie, ces heures qui défilent en un battement de cil, cette sensation que tous les enfants ont ressentis quand ils étaient si heureux, qu'ils ne voulaient jamais plus que cet instant s'arrête