Sourire

amis de passage. J'avais un frère. Plus beau, plus fort. Un frère aîné, glorieux, invisible. J'étais toujours envieux, en visite chez un camarade, quand s'ouvrait la porte sur un autre qui lui ressemblait quelque peu. Des cheveux en bataille, un sourire en coin qu'on me présentait en deux mots : « Mon frère. » Une énigme, cet intrus avec lequel il fallait tout partager, y compris l'amour. Un vrai frère. Un semblable dans le visage duquel on se découvrait pour trait commun une mèche rebelle ou une

tout à l’heure comme ça après je pourrai jouer avec toi !». Emmy la regardait en lui faisant de grands sourires, poussa quelques petits rires et agitait de plus en plus ses petits membres, puis regarda sa sœur Eva, tout en souriant et gesticulant. Sa sœur la voyant sourire, à son tour, lui sourit et la pris sur ses genoux face à elle. Eva la faisait tenir debout continuait à lui faire grands sourires ainsi que quelques grimaces pour continuer à la faire rire. Sa mère regardait Emmy, toujours du canapé

classe. Soraya s'avança vers la première liste, et je savais que son cœur battait aussi vite que le mien. Amy, à ma droite, me donna une petite tape sur l'épaule. Lorsque je vis nos quatre noms sur la liste qu'elle me montrait, je ne pus retenir un sourire. Qui se transforma en grimace lorsqu'après avoir parcouru les autres noms, je remarquais celui d'Andrew Stoney. Avec un grognement, je m'écartai de la liste afin de laisser les autres la regarder. __- On est toutes ensembles ! S'écria Soraya en

n'est sourd de rien. Voilà ma différence. » http://http.cdnlayer.com/phcross/46570829_img13054124571506.jpg | « Le problème, c'est pas le fait de partir. Partir, au contraire, ça a du bon, "partir", ça fait penser aux vacances, au soleil, à un sourire, à un regard, à de nouvelles odeurs, de nouveaux paysages, de nouveaux visages. Le problème, c'est de réaliser que finalement, le présent n'est pas si pourri, et que, malgré tout ce qu'on a pu dire, on ne veut pas spécialement le quitter. Le plus

et ils finirent par se sourire. « -Je… Je suis vraiment désolé. » Finit t-il par dire. « -Ne t’inquiètes pas ce n’est pas grave je n’ai pas eu mal. -Je m’appel David et tu dois être la nouvelle de ma classe Mélissa ? -Oui c’est moi. Répondit –elle avec un large sourire. -Heu sa te dirait qu’on fasse le tour du lycée ? Vu qu’on n’a pas cours je pourrais te montrer l’emplacement des salles si tu veux. -Avec plaisir, allons-y » acceptât-elle non sans un grand sourire.

la main pour saisir la sienne, fraîche et ferme cette poignée de main me troublai quelque peu. Lorsque je me relevais je vis un jeune homme déstabilisamment beau, musclé dont les yeux émeraude et dont le sourire éclatant me fit sourire moi-même.  « Je suis Elena Pierce » lançai-je avec un sourire discret mais décelable. Le jeune homme resta muet, et je me senti de plus en plus mal à l'aise. L'autre, toujours assis sur sa jument était plus vieux que le premier, de quelques années sans doute, ses traits

de l’objet, enfin le rôle du bébé dans l’interaction. Expressions et discriminations affectifs précoces Les expressions faciales, notamment le sourire, et les manifestations de peur et d’anxiété, sont les plus étudies au niveau des modalités d’expression de la vie affective du bébé. Le sourire, selon Spitz, est le premier comportement social. Le sourire est universel. Il est bien évidemment un comportement extrêmement efficace et gratifiant du bébé à l'égard de sa mère ou d'une figure parentale

la maladie, « pâle », « lit », puis « malade » et enfin l’adjectif « froid » souligne ce malaise. La répétition du verbe dormir à trois reprises, dont une fois dans un rejet et de l’expression « fait un somme » attire l’attention du lecteur. Son sourire, comparé à celui d’un enfant malade avec l’insistance due au contre-rejet ne rassure pas non plus. Le trou de verdure devient les bras d’une mère (encore une personnification destinée à unir la nature et l’homme) Le verbe bercer renvoie à un plus

la « lumière pleut  Position étrange : tête dans l’eau, « nuque baignant », verbe puissant, ancre perso dans état d’abandon Visage du soldat avec « pâle » en tête de vers 8, et « sourire » bien présenté au vers 9 mais reprise « sourirait », effet de redondance, comparaison avec « enfant malade » casse le beau sourire, « bouche ouverte », détente maximale peut être trop, Maladie accentuée par « il a froid » qui conclut le 1er tercet. -Chaleur semble inutile Dans 2e tercet, semble privé de respiration

fonction sociale. Le rire a une fonction très importante dans nos rapports avec les autres. Que l’on y pense ou non, un simple sourire, qui implique donc (ne serait-ce déjà que par le nom) une forme de rire, peut tout de suite définir la qualité et l’appréciation d’un contact. Une première rencontre avec quelqu’un sera généralement toujours bonne si elle est marquée d’un sourire et d’autant plus si les individus concernés sont capables de rire ensemble. En conclusion, le rire est donc quelque chose