Speakerine

Joyce, dit « Lord Haw-Haw », un américain d'origine nord-irlandaise, anima des émissions de propagande pro-allemande à destination du Royaume-Uni, que captèrent des millions d’auditeurs. Les Japonais utilisèrent également les services de diverses speakerines nippo-américaines ou anglophones, désignées par les GI sous le nom collectif de Tokyo Rose (« la Rose de Tokyo »). Inversement, le Ml Paulus, le vaincu de Stalingrad, parla à la radio de Moscou. Cinq volumes de chroniques françaises de la BBC

pour des Arabes et celles qui les poussent le plus à la xénophobie.         Exemple : la chaîne de télévision al Arabiya, montée par le gouvernement saoudien pour faire contrepoids à al Jezira (qui accordait trop de place à Ben Laden, utilisait une speakerine sans voile, etc.), a rapidement dû, elle aussi, faire le maximum de sensationnel et de nationalisme arabe pour obtenir une part d'audience.   Les rares informations dont disposent les masses arabes sont filtrées dans un sens antiaméricain et antijuif

français pouvaient suivre quelques émissions sportives sur leur poste noir et blanc. En effet à cette époque le sport remplissait les cases vides des grilles de télévision. Ainsi la finale de Roland Garros pouvait subitement être arrêtée par une speakerine pour annoncer le début du feuilleton à la mode de l’époque. En effet les revenus télévisuels n’existent pas encore, et donc la publicité est interdite. Cela aura pour conséquence un scandale, car les sponsors, eux, sont déjà dans les stades de foot

n’ont pas de féminin : le corbeau, le moineau, le blaireau, le dindonneau. Quelques cas particuliers : le compagnon- la compagne ; le favori-la favorite ; le héros- l’héroïne ;le tsar- la tsarine ; le serviteur- la servante ; le speaker- la speakerine ; le vieillard- la vieille ; l’empereur- l’impératrice. Le Féminin des noms d’animaux: le canard-la cane le bélier- la brebis le daim- la daime le mouton- la brebis le doge- la dogaresse

Joyce, dit « Lord Haw-Haw », un américain d'origine nord-irlandaise, anima des émissions de propagande pro-allemande à destination du Royaume-Uni, que captèrent des millions d’auditeurs. Les Japonais utilisèrent également les services de diverses speakerines nippo-américaines ou anglophones, désignées par les GI sous le nom collectif de Tokyo Rose (« la Rose de Tokyo »). Inversement, le Ml Paulus, le vaincu de Stalingrad, parla à la radio de Moscou. Cinq volumes de chroniques françaises de la BBC ont

briquet à la réunion où l'on fêtait son départ aux USA pour deux ans, cinq minutes après une parade d'adieux particulièrement expansive où l'on évoquait les cartes postales et l'empressement des amis à retrouver le “lâcheur” à son retour… De même, la speakerine de télévision maintenue à l'antenne par erreur technique, après le rituel de séparation («bonsoir et à demain») crée généralement une certaine gêne. Le trait commun à ces situations est que le rituel de fermeture est frappé de nullité par l'événement

fin des années 1950, ou alors contre les jupes droites unies en Tergal de Sylvie ou Françoise, ou encore la jupe écossaise de Sheila. Celles-ci n’arrivent pourtant pas encore plus haut que les genoux, car on montre ses mollets, pas ses cuisses. La speakerine Noëlle Noblecourt sera même remerciée de la télévision pour avoir dévoilé ses genoux aux téléspectateurs en 1964. Certes, il existe déjà des pantalons pour les filles, des fuseaux, avec une bande élastique qu’on passe sous les pieds, mais ce

briquet à la réunion où l'on fêtait son départ aux USA pour deux ans, cinq minutes après une parade d'adieux particulièrement expansive où l'on évoquait les cartes postales et l'empressement des amis à retrouver le “lâcheur” à son retour… De même, la speakerine de télévision maintenue à l'antenne par erreur technique, après le rituel de séparation («bonsoir et à demain») crée généralement une certaine gêne. Le trait commun à ces situations est que le rituel de fermeture est frappé de nullité par l'événement

Joyce, dit « Lord Haw-Haw », un américain d'origine nord-irlandaise, anima des émissions de propagande pro-allemande à destination du Royaume-Uni, que captèrent des millions d’auditeurs. Les Japonais utilisèrent également les services de diverses speakerines nippo-américaines ou anglophones, désignées par les GI sous le nom collectif de Tokyo Rose (« la Rose de Tokyo »). Inversement, le Ml Paulus, le vaincu de Stalingrad, parla à la radio de Moscou. Cinq volumes de chroniques françaises de la BBC

Joyce, dit « Lord Haw-Haw », un américain d'origine nord-irlandaise, anima des émissions de propagande pro-allemande à destination du Royaume-Uni, que captèrent des millions d’auditeurs. Les Japonais utilisèrent également les services de diverses speakerines nippo-américaines ou anglophones, désignées par les GI sous le nom collectif de Tokyo Rose (« la Rose de Tokyo »). Inversement, le Ml Paulus, le vaincu de Stalingrad, parla à la radio de Moscou. Cinq volumes de chroniques françaises de la BBC