Spermicide

fécondation, à empêcher la nidation de l’oeuf fécondé. Dans les deux cas, le résultat est l’absence de grossesse. Schématiquement, on distingue quatre méthodes : les moyens mécaniques (préservatifs, diaphragme), les méthodes chimiques (crèmes, éponges, spermicides), les dispositifs intra-utérins (stérilet) et les méthodes hormonales. Les méthodes hormonales inhibent l’ovulation par action sur l’hypophyse, qui ne libère plus de gonadotrophines, et modifient la muqueuse utérine et la glaire cervicale, rendant

mycose vaginale :  L'emploi récent d'antibiotiques  Les changements hormonaux associés à la grossesse, l'allaitement et la ménopause  Les douches vaginales et les produits d'hygiène féminine tels que les bombes et les serviettes vaginales  Les spermicides  La suppression du système immunitaire résultant de médicaments (comme les stéroïdes) ou d'une maladie (infection à VIH/SIDA)  Un diabète mal contrôlé.  Bien que les mycoses vaginales ne soient pas des MST, les rapports sexuels sans préservatif

retrait, l’étreinte réservée, l’abstinence périodique. Les techniques mécaniques sont le préservatif, le diaphragme, l’implant et le stérilet ou DIU. Les techniques chimiques comprennent les pilules, les injections, le spermicide, mousse ou gelée. Les techniques chirurgicales quant à elles sont des méthodes permanentes car sont irréversibles. Ce sont notamment la vasectomie pour les hommes ou la ligature des trompes pour les femmes. Enfin

ne seront pas utilisés avant la sixième semaine du post-partum. La pose d’un dispositif intra- utérin est possible, sans risque particulier, dès la quatrième semaine du post-partum, même en l’absence de retour de couches. Les préservatifs ou les spermicides peuvent être utilisés en sachant que leur efficacité contraceptive est moindre. XIII. CONCLUSION ET PERSPEC TIVES DE RECHERCHE Le groupe de travail indique qu’il est souhaitable de mettre en place des mesures organisationnelles telles que l’allongement

gestation Mécanismes agissent au niveau : ovogénèse et maturation follicule : stérilet pilule œstro-progestérone macro-pilule progestative rencontre des gamètes : toutes les méthodes naturelles préservatifs masculin et féminin stérilet spermicide pilule œstro-progestérone micro-pilule progestative macro-pilule progestative réceptivité de l’utérus à la nidation : pilule œstro-progestérone micro-pilule progestative macro-pilule progestative 2) Méthodes naturelles : méthode des

production d’ovules. On s’intéresse ensuite aux méthodes qui empêchent la rencontre des gamètes lorsqu’ils ont été produits. Deux solutions sont envisagées : une barrière mécanique formée par un préservatif et une méthode combinée, associant un spermicide et un diaphragme. Enfin, la dernière séquence montre les méthodes qui empêchent la nidation de l’embryon dans l’utérus. On s’intéresse ainsi aux pilules microdosées et au stérilet, sans décrire tous les modèles existants (imprégnés d’hormones ou

comprenant la stérilisation féminine et la stérilisation masculine, la pilule, le stérilet ou DIU (Dispositif Intra Utérin), les injectables, les implants (Norplant), le condom masculin, le condom féminin, le diaphragme, les méthodes vaginales (spermicides, mousses et gelées) et la pilule du lendemain ; les méthodes traditionnelles, comprenant, l’Allaitement la continence périodique et le retrait ; les méthodes, dites «populaires », comme les herbes, les gris-gris, les tisanes et autres méthodes pouvant

source de culpabilité. Problème épineux que celui du contrôle des naissances : les femmes du XXème siècle n’ont que très difficilement accès aux moyens de contraception tels que les préservatifs, appelés « produits français » ou encore les crèmes spermicides, désignées sous le chaste nom de « produits d’hygiène féminine ». Les moins informées s’épuisent par des grossesses trop nombreuses ou risquent leur vie en pratiquant des avortements dans d’effrayantes conditions. Des pionnières comme l’Américaine

consultations médicales. Elle se trouve durant quelques années hors-la-loi en délivrant des contraceptifs. En 1960, l'association prend le nom de Planning Familial. Le premier centre ouvre à Grenoble en 1961, où il y a un atelier clandestin de crème spermicide. En 1982, le Planning Familial se déclare féministe dans ses statuts. A Brest, le Planning Familial voit le jour en 1964. Cependant, l'association brestoise a connu des périodes assez longues d'inactivité, et a dû être remontée par des militantes

(Leridon et al., 1987). Cette « première révolution contraceptive » se produit sans qu’il y ait eu d’innovations majeures dans le domaine de la contraception, outre les quelques méthodes parfois utilisées (diaphragme, préservatif masculin, crèmes spermicides). Le report du mariage représente, à l’époque, une solution pour limiter la taille de la descendance (4), dans un contexte où les naissances hors mariage sont mal acceptées par la société (5). Mais le principal « instrument » de la première révolution