Spinoza Autrui

Mill, l’éthique minimaliste met au premier plan le principe de ne pas nuire à autrui, de ne pas lui porter préjudice et rejoint, dans leurs grandes lignes, les positions libérales et libertariennes. La vie, la mort, l’Etat, plonge alors cette éthique dans le domaine de la bioéthique : l’euthanasie, la gestation pour autrui, le clonage, l’assistance médicale à la procréation, etc., est-ce des pratiques qui nuisent à autrui ? Si la réponse est affirmative, on comprend pourquoi l’encadrement coercitif

de traitements et de tests négatifs... )le bouleversement de la mere porteuse et de l'enfantb) le risque pour les parents adoptifs de ne pouvoir adopter l'enfant à cause des loisc) l'exploitation des femmes Les réfractaires de la gestation pour autrui ne manquent pas d’arguments : on invoque une commercialisation du corps humain et un asservissement de la femme : on oubli qui elle est, ce qu’elle ressent pour se focaliser uniquement sur le service que son corps va rendre. On plaide également une

n’est pas toujours moralement et humainement acceptable, quand bien même l’argument thérapeutique serait mis en avant. La dignité de la personne humaine doit rester au centre des débats. On peut se la posée par exemple a propos de la gestation pour autrui ( les mères porteuses) ,des dons d’organes ou encore de la recherche sur l’embryon. Cependant , il ne faut surtout prendre le risque de confondre « personne humaine» et « la choses, l'objet » , c'est a dire ramener la personne humaine à un objet d'expérience

aussi développé que la France s’épanouisse socialement. Effectivement comparé à d’autres pays européens tels que le Royaume-Uni ou la Hollande qui se sont mis à l’ordre du jour à propos de la gestation pour autrui, la France en est encore loin. Aujourd’hui en France, la gestation pour autrui est passible de 15 000€ d’amendes et un an d’emprisonnement pour des couples qui ne veulent juste faire, ce qui ne peuvent faire d’eux-mêmes : des enfants. Car bien évidement la plus belle chose qui puisse

CONTRAT SUR LES MERES PORTEUSES Introduction = Dans l’impossibilité de tomber enceinte, certaines femmes décident de recourir à la gestation pour autrui, aussi appelée « GPA ». Le principe est de trouver une mère qui consentira à « louer » son ventre, plus précisément son utérus, pendant les neuf mois de grossesse et qui portera donc l’enfant, en lieu et place de celle qui ne le peut pas. On les appelle ainsi mère porteuse ou gestatrice. A la naissance, la mère porteuse remet le nouveau-né à la

homosexuel. Ce ne sont pas les seuls sujets qui divisent les politiques, d’autres droits homosexuels ne sont pas approuvés dans les différents pays européens tels que la procréation médicalement assistée, adoption de l’enfant du conjoint, gestation pour autrui,… En comparaison à cette politique divisée quant au mariage homosexuel et les différents droits qui en résultent, l’Europe l’est beaucoup moins à propos du mariage hétérosexuel et de ses droits. La raison de ce choix peut s’expliquer par un mariage

l'infertilité, ou bien à l'infertilité elle-même, ou bien aux caractéristiques des couples en FIV (âge élevé, parité) ou encore à la fréquence élevée de grossesses multiples. Ouverture : Autorisation de PMA pour les couples Homoparentaux ? Gestation pour autrui autorisée en France ? Dérives possibles ?

La gestation pour autrui Introduction : Dans notre société qui ne cesse d’évoluer, une méthode de procréation médicalement assistée pour concevoir des enfants est apparue ces dernières années en France mais aussi dans le reste du monde. La gestation pour autrui, est considérée comme étant une méthode pour venir en aide aux couples ayant des problèmes d’infertilités. Ainsi cette méthode fait l’objet d’un débat social important puisque la loi est contre celle-ci et est considérée comme n’étant

sens de leur revendication première : le droit à l’adoption, baptisé outrageusement « droit à l’enfant ». Le projet de loi prévoit cette disposition mais interdit la PMA (procréation médicalement assistée pour les femmes) et la GPA (gestation pour autrui pour les hommes c’est-à-dire le recours possible à une mère porteuse). Comment justifier cette contradiction alors que la loi du « mariage pour tous » est présentée comme une extension des droits ? Les récentes manifestations des partisans du mariage

Définition : Tout d'abord l'expression « gestation pour autrui » ou on parle plus communément encore de « grossesse pour autrui » désigne un ensemble de situation dans lesquelles une femme accepte de porter et de mettre au monde un enfant à la demande d'un couple. Différents termes sont utilisés pour qualifier la femme en question, on parle de gestatrice, de mère porteuse, mère de naissance ou encore mère gestationnelle. Il en est de même pour le couple qu'on peut qualifier de couple demandeur,