Spiritualité

« populaire » renvoi une nouvelle fois aux exploités, en opposition avec l’élite. Marx poursuit son développement en disant que la religion le «  point d'honneur spiritualiste" de la société, c'est-à-dire qu'elle est chargée d’ouvrir la voie de la spiritualité à un monde matérialiste qui en est fortement dénué. Par la suite, le philosophe allemand définit la religion comme « la réalisation fantastique de l’homme, parce qu’il ne possède pas de vraie réalité ». Pour lui, l’homme n’est pas intemporel.

qu'il est capable de faire compte tenu de son environnement économique. A ce niveau d'investigation, il convient de se rappeler nos origines opératives et la notion de bel ouvrage qui y est lié. La spiritualité maçonnique est inscrite dans cette origine, elle est avant tout une spiritualité du travail. Le parie maçonnique est de faire prendre conscience aux Frères que leur réalisation ne se ferra pas en loge mais hors de la loge, dans leur activité quotidienne. C'est à mon avis le sens profond

de ce même système d'habitude ou encore ouverte lorsque certaines personnes dites "exceptionelles" ont la faculté de création de valeurs universelles comme le Christ par exemple. La religion dynamique est désintéressée et est dépositaire de la spiritualité religieuse. Elle est d'essence mystique. C'est la foi qui soulève les montagnes, l'aspiration à l'absolu. Telle est la véritable religion aux yeux de Bergson. L'élan vital est un processus spontané et créateur qui introduit la liberté et l'indétermination

chair, que trop avons nourrie », qui encore met en relief la passé de la vie. D’ailleurs, Ici, l’adverbe « trop » peut être interprété dans deux sens, l’auteur veut dire que les pendus sont trop occupés de leur être de chair au détriment de leur spiritualité ou cela exprime plutôt la durée trop courte de leur vie. Leur chair était bien nourrie, mais leur vie était si courte qu’elle n’a pas besoin d’être nourrie si bien, c’est « trop nourrie ». Le dernier sens nous présente encore une fois la tristesse

Pour qui n’approfondit pas, l’alchimie est associée au monde des charlatans, des sorciers , des transformateurs de métaux grossiers en or !!!! Mais l’alchimie ou le grand uvre, appelé également, “l’art royal” ! est une élévation vers la spiritualité par un travail sur soi en même temps qu’une recherche sur la composition des matières. le travail des métaux n’étant que la représentation matérielle et symbolique des différentes TRANSFORMATIONS de l’homme qui cherche à comprendre le monde et

Amiens, ou encore carré comme dans l’abbaye de Saint Butin à Saint-Omer. Il a parfois été nommé « chemin de Jérusalem » figurant ainsi la Jérusalem céleste descendue sur terre. Jusqu’à la Renaissance les labyrinthes seront un objet de spiritualité qu’on ne trouve que dans les édifices religieux. Ce n’est qu’à partir du XVIème siècle que des méandres de bosquets vont se répandre dans de nombreux jardins d’Europe apportant alors au labyrinthe une dimension profane : le plaisir de se perdre

aspirations que celles, bassement matérielles, de l'animal. Ce signe d'ordre nous rappelle aussi que cette prédominance est fragile et que dans l'accomplissement de sa destinée l'Homme doit, à chaque instant, se prémunir de cette brisure entre spiritualité et matérialité, entre Dieu et sa création que la colonne brisée nous indique. Cette brisure, ce chapiteau gisant au sol, nous conduit immanquablement à évoquer une décollation, une décapitation, et plus encore à la décapitation de Saint Jean le

Elles se réunissent plusieurs fois par mois.
 Autres activités maçonniques Hormis les initiations, d’autres activités sont: -des conférences présentées par des Frères sur des sujets variés : éthique, psychologie, esthétique, philosophie, spiritualité, culture, …. Ce ne sont donc pas des exposés théoriques et académiques, c’est avant tout le fruit d’un travail personnel et de l’expérience du Conférencier qui peut s'accompagner d'autres modes d'expression tels que la musique, la poésie, le chant

la mort de nombreux colons. Il sera plus tard capturé et tué sur le bûcher. Les esclaves croient cependant que son esprit reste éternel et le souvenir de Mackandal n'est pas exterminé par les flammes. Mackandal représente donc le lien entre la spiritualité et l'histoire : il est l'inspiration qui manquait aux natifs pour la rébellion, et est le premier à utiliser la technique du réel merveilleux comme une arme de résistance. De par son habilité à se transformer aisément, Mackandal est considéré comme

seule fois pour être pleinement satisfait. Nous pouvons donc à présent identifier le besoin que l'art vient satisfaire : il s'agit d'un besoin spirituel et non corporel, le besoin de se contempler soi-même, c'est-à-dire aussi d'attester sa propre spiritualité. De même que je ne peux voir mon propre visage qu'en passant par l'intermédiaire d'un miroir, de même l'homme ne peut prendre conscience de sa nature spirituelle que par la médiation de l'œuvre. Dans la contemplation des œuvres d'art, l'homme comprend