Spleen 4 Baudelaire Problématique

la satire. Ecrit au XVIème siècle. Roman et œuvre argumentative indirecte. Humaniste. Le roman débute par un objectif éducatif qui est interrompu par la guerre Picrocholine. Problématique  : En quoi ce texte présente t’il la satire de l’église ? I- La lâcheté des moines ( l. 1 à 4)Le pacifisme serait une qualité mais ici elle est proche de la couardise, de la veulerie, de la lâcheté. Enumération : « Psaume […] litanies […] répons »Ironie : « Belle procession »Jeu

porte, pour avoir enfin la joie de véritablement le rencontrer. […] De tous ces gens-là qui m'entourent, m'emportent, me heurtent et me poussent, de cette foule parisienne qui coule, me contenant sur les trottoirs devant La Samaritaine (4) , combien seraient capables de recommencer les gestes essentiels de la vie s'ils se trouvaient demain à l'aube dans un monde nu ? Qui saurait orienter son foyer en plein air et faire du feu ? Qui saurait reconnaître et trier parmi les plantes

............................................................. 5  1.3 Analyses avec et sans hypothèse ................................................................................................................ 5  1.4 Analyses avec et sans problématique.......................................................................................................... 6  1.5 Typologie des propriétés dégagées par l’analyse ..................................................................................

Seuil totalement arbitraire ne correspond pas à la définition du pauvre, du misérable, ou des travaux de de la Roncière. La perception de la pauvreté reste en réalité très subjective & c’est pour cela que la quantification de la pauvreté reste problématique. Pour Juvénal, on n’est pauper avec un revenu < 20 sesterces. Pour Sénèque c’est lorsqu’on se contente de quelques esclaves. Pour Valère Maxime, c’est lorsqu’on a 160 dizzards de terrain (lot attribué à chaque citoyen dans les distributions politiques)

concentration, l'horreur trop atroce porte parfois les déportés à douter de leur condition… Et si c'était un cauchemar ? Alors il leur arrive de provoquer des rêves pour supporter ce cauchemar bien réel. (Cf. Photocopie Les Racines du Ciel de Romain Gary). 4 En grec Ontos c'est l'être, Logos le discours. L'ontologie est donc "le discours (qu'on tient) sur l'Être". 5 La lecture du texte de Freud dans le manuel page 264 est facultative, mais la notion de rébus comme fonctionnement du rêve est particulièrement

Giovanni de J. Losey H. de Montherlant, La Mort qui fait le trottoir 26 26 28 28 29 30 31 32 34 Le mythe de Don Juan, du théâtre au cinéma 4 S O M M A I R E Lecture de La Leçon E. Ionesco, Rhinocéros Exercices d’approfondissement 1 Molière, Le Tartuffe 2 E. Labiche, Un chapeau de paille d’Italie 3 Beaumarchais, préface du Mariage de Figaro 4 E. Ionesco, Notes et contre-notes Prolongements 34 34 35 35 36 J. Racine, Bérénice A. Cabanel, Phèdre Mise en scène de Phèdre Extrait du

-Organisation et Programme- 2ème année LMD (L2) -2009 / 2010- (Avec révision et modification du programme 2008/2009) SOMMAIRE Avertissement ……………………………………………………………………………………………..…………………………………….……p 4 L’équipe pédagogique ……………………………………………………………………………………………….…………………..………p 4 I - PRESENTATION DU SYSTEME LMD …………………………………………………………………………………………………….p6 I 1. Quelle est l'origine du système LMD ? ………………………………………………………………………………………………p6 I - 2. Qu'est ce que le LMD ? ……………………………………………………………………………………………………………………p6

les élèves à distinguer dans la narration de grandes unités narratives constituées de séquences (à déterminer en s’appuyant sur les indices spatio-temporels) et les conduit à s’interroger sur le déclencheur de la narration. – Première unité (l. 1 à 4, p. 39) : réflexion générale qui introduit le thème de la mort et du souper en intertextualité avec Dom Juan (présent de vérité générale). – Deuxième unité (l. 5 à 138, p. 39-44) : la soirée à l’opéra. • Séquence 1 : l. 5 à 13 (« Tout à coup »). Le narrateur

.....................114 Liste des illustrations Figure 1: Nadar (Félix Tournachon, dit). Portrait de Charles Baudelaire. 1859. Photographie n/b. (Reproduction tirée de Aaron Scharf, Art and Photography, New York: Pelican Books, 1979, p. 64 )...............................................................................86 Figure 2: Manet, Édouard. Portrait de Charles Baudelaire. 1865. Eau-forte. (Reproduction tirée de Aaron Scharf, Art and Photography, New York: Pelican Books, 1979, p. 64)

| SEQUENCE 1 (séquence majeure) : La fuite du temps en poésie. Problématiques : – en quoi la fuite du temps est-elle une source constante d'inspiration poétique ? – Quelles sont les spécificités du langage poétique ? Lectures analytiques : 1- Pierre de RONSARD, Sonnets pour Hélène, « Quand vous serez bien vieille », 1578. 2- Charles BAUDELAIRE, Les Fleurs du Mal, « L'Horloge », 1861. 3- Guillaume APOLLINAIRE, Alcools, « Le Pont Mirabeau »