Spleen Et Idéal Résumé

avidité, ou encore le verbe « fascine » : l’homme dévisage la femme dont il admire la beauté, s’absorbe avidement dans sa contemplation.   ·        Vers 9 : C’est un vers de transition entre la partie rencontre et la partie méditation. Le vers résume d’un mot, « un éclair », l’expérience fulgurante que vient de faire le narrateur, l’illumination, la révélation qui a accompagné un simple échange de regards. Opposé au précédent, le mot « nuit » exprime la déception de la perte, la disparition de

 Aide pour un commentaire : Les mots pour le dire : Vous pouvez évoquer : Une atmosphère idyllique (idéale), austère (stricte), morbide (où la mort plane), triste, sordide, mystérieuse, onirique (qui fait penser à un rêve), mystique. Une coloration (= une touche de..) sentimentale, romantique, champêtre (qui fait appel à la nature) Une écriture baroque, classique, blanche (écriture qui

: l’union, dans la femme supérieure au divin, de l’amour et de la mort, d’Éros et de Thanatos, en un romantisme noir. Situation dans le recueil : 10ème poème de la section « Fleurs du Mal ». Après l’oscillation entre Spleen et Idéal, cette section met en avant la débauche, place le poète entre fascination et répulsion, entre exaltation et destruction. Pièce condamnée au procès de 1857, le manuscrit portait comme titre « L’Outre de la Volupté » = sens

| |Vous pouvez évoquer : | |Une atmosphère idyllique (idéale), austère (stricte), morbide (où la mort plane), triste, sordide, mystérieuse, onirique (qui fait penser à un rêve), mystique | |Une coloration (= une touche de..) sentimentale, romantique, champêtre (qui fait appel à la nature)

modifiées dans un sens musical, et de même pour les perceptions visuelles. Le mot "cité" est une métaphore, qui exprime un monde idéalisé créé par la confusion de la ville, du ciel, et de la mer. II - Les 18 vers : 4 tableaux L'enchantement résume les images oniriques et ouvre la seconde strophe du poème constituée de quatre tableaux, expression d'un petit art poétique. A. Le premier tableau. Vers 9 - 12 : " Il est doux, à travers les brumes, de voir naître L'étoile dans l'azur, la lampe

- Mouvement littéraire et esthétique du XVIIème siècle (1660 à 1715) inspiré de modèles gréco-latins ; - Il s’oppose au Baroque (style très orné, extravagant) et au romantisme ; - Il se définit par un ensemble de valeurs qui dessinent un idéal s'incarnant dans l’« honnête homme » et qui développent une esthétique fondée sur une recherche de la perfection, - Il se caractérise par la sobriété, le respect du raisonnable et des règles établies. - Les écrivains se font moralistes, ils font

sinon vous vivrez dans le regret. La métaphore des fleurs pour la vie afin de prouver la fragilité de la vie et les fleurs qui fânent dénoncent le temps qui passe, la vieillesse. Cette morale fait également écho au “carpe diem” d'Horace, ce qui se résume à une leçon d'une vie, un recul qu'il faut savoir prendre pour ne pas regretter. Le poéte et la femme aimée y sont autant célébrés, Ronsard a conscience que l'écriture poétique permet de garder le souvenir et d'ainsi immortaliser l'amour. Ce qui est

mal-être, sert de support aux sentiments et sensations de souffrance. La fuite du temps et le malaise existentiel sont des thèmes privilégiés de ce genre. Chez Baudelaire, ce malaise se traduit par le champ lexical de l'ennui, de la lassitude. Dans le Spleen LXXVII, extrait des Fleurs du mal, le poète se compare au "roi d'un pays pluvieux". Il se donne une place importante et enviée où il est pourtant "impuissant" et "s'ennuie". Le vers 4 exprime particulièrement bien cette lassitude puisqu'il comporte

avidité, ou encore le verbe « fascine » : l’homme dévisage la femme dont il admire la beauté, s’absorbe avidement dans sa contemplation. · Vers 9 : C’est un vers de transition entre la partie rencontre et la partie méditation. Le vers résume d’un mot, « un éclair », l’expérience fulgurante que vient de faire le narrateur, l’illumination, la révélation qui a accompagné un simple échange de regards. Opposé au précédent, le mot « nuit » exprime la déception de la perte, la disparition de

avidité, ou encore le verbe « fascine » : l’homme dévisage la femme dont il admire la beauté, s’absorbe avidement dans sa contemplation.   ·        Vers 9 : C’est un vers de transition entre la partie rencontre et la partie méditation. Le vers résume d’un mot, « un éclair », l’expérience fulgurante que vient de faire le narrateur, l’illumination, la révélation qui a accompagné un simple échange de regards. Opposé au précédent, le mot « nuit » exprime la déception de la perte, la disparition de