Srebrenica

formulées à l’encontre de l’ONU après la génocide en Rwanda et la chute de Srebrenica, ainsi que l’incapacité de l’ONU d’articuler une réponse collective face aux événements au Kosovo ont poussé le Secrétariat de l’ONU à engager une réflexion approfondie sur son rôle dans les conflits internes et a ressuscité le débat sur la question d’intervention militaire. Pour le Secrétaire général de l’ONU, « la principale leçon de Srebrenica est qu’une tentative délibérée et systématique de terrifier, d’expulser

de septembre 2002 au 13 août 2003. Elle renvoie l’affaire en jugement devant une chambre de première instance. 26 février 2007 La CIJ conclut à la non-responsabilité de l'Etat serbe dans le massacre de Srebrenica en Bosnie-Herzégovine. La Cour confirme qu'un génocide a bien eu lieu à Srebrenica en juillet 1995, comme l'avait jugé le TPIY (Tribunal pénal international pour l'ex Yougoslavie) mais elle exonère cependant l'Etat serbe de sa responsabilité, estimant que seules les troupes séparatistes

membres et de les rallier au bloc communiste. Après la fin de la Guerre froide, l’ONU montre ses limites par son incapacité à résoudre rapidement les conflits : les casques bleus se montrent incapables d’empêcher les massacres de la guerre en Bosnie (Srebrenica en 1994) et le génocide rwandais (1994). 2) D’une remise en cause à un poids accru dans un monde multipolaire (1990-aujourd’hui) (1990Vidéo Villepin 34 TE : Durant les années 90, la chute du mur de Berlin et l’écroulement du bloc soviétique

personnes ayant subi des licenciements économiques (Les yeux rouges pour les employés de Lip ; 501 blues pour ceux de Levis). Puis sont apparus des spectacles témoignant des horreurs des génocides de la fin du xxe siècle : Olivier Py et son Requiem pour Srebrenica, ou encore Jacques Delcuvellerie avec Rwanda 94. La mise en scène Le metteur en scène au théâtre prend une réelle dimension à la fin du xixe siècle. Il acquiert la place de « maître du plateau ». Ce bouleversement est notamment provoqué

de la Croatie. L’indépendance de la Macédoine en 1991 est acquise plus calmement (mais conflits avec la Grèce). En 1992, débute aussi la guerre en Bosnie-Herzégovine qui cause des dizaines de milliers de morts : siège de Sarajevo, massacre de Srebrenica, etc. les accords de Dayton signé après l’intervention des Etats-Unis de Blinkington mette fin à la guerre. La Bosnie-Herzégovine donc devient un état divisé en 2 entités. En 1999, l’OTAN intervient au Kosovo pour mettre fin à la répression des

des abus sexuels ont été recensés ce qui a abouti à un renforcement de la surveillance. Pour résumer, l’ONU et les casques bleus sont confrontés à un cercle vicieux. En effet, l’organisation n’a pas réussie à éviter les génocides du Rwanda et de Srebrenica ce qui a provoqué des réactions virulentes à leur égard forçant ce conseil de sécurité à donner l’impression d’agir et donc de prendre des décisions importantes. Ces décisions obligent à envoyer des soldats partout dans le monde donnant donc aux

qu'ils réagissent ? À Sarajevo, l'auditoire criait plus fort que l'acteur sur la scène. Au cours d'une représentation de la performance Lâcheté en Serbie, au moment où un acteur annonce qu'ils allaient énumérer les noms de 500 personnes tuées à Srebrenica, un spectateur a commencé à crier : « Ne faites pas ça ! » La communication dans le théâtre ne doit pas être unilatérale. Je trouve cette pensée très oppressante. C'est comme la télévision, où vous devenez un réceptacle passif. Je pense que ce

interfèrent dans les affaires des nations islamistes et a recours au terrorisme pour se faire entendre - l'indépendance de la Yougoslavie déclenche guerre civile entre trois groupes ethniques (Bosniaques/Musulmans, Croates et Serbes) -> massacre de Srebrenica - Les USA, 1ère puissance mondiale représentent aussi les gendarmes du monde et interviennent dans la plupart des conflits (Bosnie en 1995, Kosovo 1999, Afghanistan 2001, Irak 2003..) - 11 septembre 2001 attentats du World Trade Center, Pentagone

des DH commises dans le cadre de conflits interne, s’étant déroulé ou en cours. Les peines étaient définies avec une grande latitude donnée au juge mais exclusion de la peine de mort. Le TPIY a fonctionné activement et a qualifié les massacres de Srebrenica comme un génocide commis contre un groupe de musulmans bosniaques. Le TPIR lui aussi a contribué au renforcement de la justice pénale internationale allant au-delà de son bilan qualitatif et intègre le viol dans la notion de génocide, même si ses

de George H. Bush sous mandat de l’ONU semble dessiner une organisation du monde sous domination américaine absolue. Cependant, les nombreux conflits et crises (Balkans, Afrique, Proche et Moyen-Orient, Asie) marqués par deux génocides (Rwanda, Srebrenica), l’apparition de nouvelles menaces globales (prolifération nucléaire, terrorisme islamiste), qui agitent la planète depuis le début des années 1990 sont autant de facteurs d’incertitude et de déstabilisation. C’est surtout au début des années 2000