Stagflation

cette indépendance en deux points. Jusque dans les années 70, les banques centrales étaient soumises aux autorités politiques. Le keynésianisme prévalait et laissait à penser qu'il y avait un lien à long terme entre inflation et croissance. La stagflation qui s'en est suivie a remis en cause ce lien et l'aptitude du pouvoir politique à contrôler la conjoncture laissant le champ libre aux préceptes du monétarisme ajouté à la théorie des anticipations rationnelles de la NEC. La lutte contre l'inflation

aucun n’est capable d’interpréter l’ensemble des faits stylisés qui caractérisent les dernières décennies. En outre, le problème de la théorie keynésienne est qu’elle peut expliquer l’inflation et le chômage, mais qu’elle ne peut pas expliquer la stagflation : c’est l’objet de la critique de Friedman et des monétaristes. Dans les années 60, la critique monétariste est d’affirmer que les interventions de l’Etat sont néfastes, alors que pour les classiques, il faut laisser faire les marchés. Pour

Mitterrand : -P. Bérégovoy : ministre de l’économie et des finances. S’agit-il d’une branche particulière du néo-keynésianisme ? Arguments en défaveur : -Il s’agit d’une « contre-révolution libérale ». -Elle est permise par une situation de « stagflation ». Faible croissance économique et persistance d’une inflation importante. Accroissement du chômage. -On assiste à une remis en cause des outils néo-keynésiens. IS-LM Courbe de Philips Arguments en faveur : -Le raisonnement reste inséré dans

place en 83, 66 et surtout en 68. Le SMIG a été augmenté de 25 % et d’une manière générale les salaires ont étés augmentés de 10%. Au début des années 70 apparaît un concept : celui de la stagflation(baisse de la croissance et prix augmentent). Cause principal le coût du pétrole multiplié par 5. Cette stagflation met en cause la symétrie entre le chômage et l’inflation. Le chômage qui été de 100,000 en 70 passe à 600,000 en 74. L’inflation va devenir une inflation à 2 chiffres entre 70 et 74. A partir

apparemment simple s'est retrouvée au centre de controverses touchant à des évolutions fondamentales de l'économie de la seconde moitié du XXe siècle, en particulier la question des politiques économiques et des anticipations. Au niveau empirique, la stagflation des années 1970 inflige un cruel démenti aux résultats antérieurs et confirme l'analyse monétariste : chômage élevé et forte inflation paraissent être deux phénomènes qui peuvent coexister pendant une période assez longue. Un débat a également

l’arbitrage entre inflation et chômage n’existerait qu’à court terme, à long terme le taux de chômage est indépendant du taux d’inflation. Pour Lucas anticipations parfaites, plus d’illusion monétaire, passage direct de A à C puis à E. 3) Stagflation, Choc d’Offre Pour expliquer le déplacement ou la déformation des courbes de Phillips, certains auteurs keynésiens insistent sur les conséquences opposées des chocs d’offre subit par une économie et des chocs de demande. Un choc d’offre modifie

sont indépendants, rien ne s’oppose alors à ce qu’un fort taux d’inflation aille de pair avec un fort taux de chômage : c’est ce phénomène qui allait être constaté dans de nombreux pays européens au cours des années 1970 et prendre le nom de « stagflation ». Celle-ci fut largement interprétée comme la victoire des théories monétaristes. 3. La synthèse des nouveaux keynésiens : le modèle WS-PS Ce modèle vise à la détermination d’un équilibre général : l’intersection de la courbe des salaires WS

Gilder : théoriciens de l’offre = la nouvelle école classique R.F. Lucas B- les mauvais résultats des politiques keynésiennes au moment des chocs pétroliers ont entraîné une remise en cause de ce type de politique au début des années 90. = stagflation = France 1981 échec politique de relance = inflation , chômage et déficits publics Si au moment où Milton Friedman annonçait « Nous sommes tous devenus keynésiens » cette assertion pouvait sembler en partie fondée, étant donné la diffusion massive

l’équilibre de plein emploi. De 45 au début des années 70 Jacques Généreux ( Les politiques économiques ) parle d’âge d’or de la politique économique dans un contexte de croissance économique importante et de quasi plein emploi. Depuis les années 70 la stagflation et la globalisation financière remettent en cause les politiques keynésiennes ( autres paradigmes, désengagement de l’Etat ) Objectif = Mesgrave en 1954 ( Théorie des finances publiques ) attribue 3 fonctions aux politiques économiques :

interest rates for bank loans, the nation plunged into recession (unemployment…) * 1982, 1983: unemployment… 1983: + farmers suffered from falling crop prices, debts at high interest rates. * But the Federal Reserve Bank’s plan to end stagflation worked: high interest rates helped drop inflation from 12 percent in 1980 to less than 7 percent in 1982. * The eco also benefited from OPEC’s 1981 decision…. * 1984: the GNP rose and unemployment fell. * Mondale * Reagan: “It’s