Stanley Williams

SCORSESE PAR SCORSESE de Michael Henry Wilson Présentation du livre Depuis de nombreuses années maintenant, Martin Scorsese incarne à mes yeux (avec Stanley Kubrick et Brian de Palma) l'un des plus grands cinéastes de l'histoire. Il existe plusieurs autres livres sur lui, mais c'est celui-ci, par son approche plus originale, qui m'a particulièrement attiré. En effet, il ne s'agit pas d'un livre biographique à proprement parler, car il est essentiellement composé d'entretiens avec le réalisateur

INTRODUCTION Bien des auteurs ont été inspirés par les différents conflits qu’a connut l’humanité. Stanley Kubrick ne fait pas exception. Dans le film Docteur Folamour, le réalisateur nous fait part de son opinion à propos de la Guerre Froide grâce à une histoire humoristique et à des personnes parfois dégénérés. Le Docteur Folamour, qui est en fait un personnage, n’est pas du tout l’une des pièces principales du long métrage. Ne faisant que quelques apparitions suspectes et emplit de gestes nazis

Par quoi fut-il connu ? En tant que membre des Canadiens de Montréal de la (LNH) de 1942 à 1960, il est l'ailier droit de la punch line avec Elmer Lach au centre et Hector toe Blake à l'aile gauche et permet à son équipe de remporter huit coupes Stanley, dont cinq consécutives de 1956 à 1960.Il marque son premier but dans la LNH le 8 novembre 1942 et est le premier joueur à marquer 50 buts en 50 matchs lors de la saison 1944 à 1945, à une époque où la LNH est constituée de six franchises qui disputent

écrite par Arthur Freed et composée par Nacio Herb Brown, publiée en 1929. Elle est troisième au classement « 100 ans ... 100 chansons » de l'American Film Institute (AFI). Chantons sous la pluie (Singin' in the Rain) est un film musical americain de Stanley Donen et Gene Kelly, sorti en 1952. Il dépeint joyeusement le Hollywood des années 1920 et la transition du film muet au film parlant à travers le parcours de trois artistes interprétés par Gene Kelly, Debbie Reynolds et Donald O'Connor. Le film

Montréal de la Ligue nationale de hockey. Dès 1955-1956, sa troisième saison dans la LNH, il remporte la Coupe Stanley mais également le trophée Art Ross du meilleur pointeur avec 88 points et le trophée Hart du meilleur joueur de la ligue. Cette Coupe est en réalité la première de cinq victoires consécutives. En 1961, il devient capitaine de l'équipe et remporte encore cinq autres Coupes Stanley entre 1965 et 1971, la dernière saison à laquelle il participe. À peine à la retraite, sa carrière est

Comme dans Docteur Folamour, l’ironie habille le propos. « I have told you, we run two basics stories here. Grunts who buy toothbrushes and deodorant for gooks. Winning of hearts and Mind. And combat action resulting in a kill. Winning the War. ». Stanley Kubrick souligne ainsi le décalage entre l’image de la guerre du Viêt Nam et la réalité. Entre l’illusion et la conscience.  Pendant le conflit, lors d’un reportage sur la découverte d’un charnier d’une vingtaine de dépouilles, un gradé l’interroge

remarquable, surtout aujourd'hui, au XXIe siècle. Comme souvent, ce n'est pas tant la conception d'un outil qui pose parfois problème, mais bien son utilisation. Expérience de 1960 : L'obéissance à l'autorité Psychologue social Américain, Stanley Milgram ( 15 août 1933 - 20 décembre 1984) est connu par son expérience sur l'obéissance à l'autorité. Cette expérience s'est déroulée en 1960 à New Haven sous la tutelle de l'université Yale : elle était présentée aux participants comme une expérience

Seals de Saint-Boniface, il rejoint les Maple Leafs de Toronto en 1938 et remporte avec eux une première Coupe Stanley en 1942. Sélectionné dans la première équipe d'étoiles de la LNH en 1941, il met en pause sa carrière professionnelle pendant un peu plus de deux ans en raison de la Seconde Guerre mondiale entre 1942 et 1944. De retour dans la LNH, il remporte trois nouvelles Coupes Stanley avec Toronto en 1945, 1947 et 1948. Échangé après cette nouvelle Coupe, il termine sa carrière dans la LNH

Anti-Héros : Peu importe le film, peu importe le genre, les héros de Stanley Kubrick sont toujours anti-héros. Selon lui, l’homme ne doit pas réussir ce qu’il entreprend ou plutôt, il ne conçoit pas que le fait que l’homme puisse tout contrôler. C’est d’ailleurs l’une des raisons pour laquelle il est fasciné par Napoléon, car celui-ci à accomplit de bonnes et grandes chose, mais il a aussi subit une chute. Donc, pour Kubrick la conception de c’est héros est très réaliste. Ils ont souvent des

Les Sentiers de la Gloire, de l’histoire à l’historicité En 1957, Paths of glory (Les sentiers de la gloire) commençait une assez belle carrière d’indésirable. Aujourd’hui encore accompagné d’une légende tenace et sulfureuse, le quatrième film de Stanley Kubrick revenait sur certains épisodes de la Première guerre mondiale, et développait une vision très noire du conflit, qui lui valut autant d’admiration que d’hostilité. Le film est très caractéristique des ambiguïtés qui marquent toute création