Statut Du Valet

Marivaux la plus axée sur l’analyse d’un mécanisme sociale. Elle se distingue de ses autres comédies par la nouveauté du rapport qui s’y noue entre maîtres et valets. Ceux-ci ne vivent plus une histoire d’amour parallèle à celle de leur maître, mais entremêlent l’histoire de leur maître avec la leur. En effet, ici, les frontières entre maîtres et valets s’estompent et se brouillent. On ne sait plus qui est qui. Le serviteur gagne en autonomie, sert avec dévouement son maître, mais il est,malheuresement

    2) Autorité du maître est perceptible ­ désigné par son statut social, tutoie son valet (l­15). Jacques  le vouvoie et l’appelle “monsieur” Le maître semble s’amuser par son valet et n’exerce pas de réel  autorité sur eux.     II) 1) Registre comique qui domine l’extrait   Accumulation de verbes d’action au présent de narration “on se sauve”, “on est poursuivi”, “ chacun  pense à soi “ qui parodie le registre épique.        Le valet utilise une hyperbole = le nombre de mots est prodigieux. Les interjections et modalités 

Le texte que nous avons à commenter est de nature juridique, en effet, il s'agit d'un règlement ou un statut d'une communauté de métier, c'est-à-dire, un texte administratif unilatéral auquel sont soumis les membres d'une société ou d'un groupe. Le texte est extrait du Livre des métiers repris dans l'ouvrage Documents relatifs à l'Histoire de l'industrie et du commerce en France. C'est le roi Philippe le Bel qui a demandé à Boileau de rédiger ce livre. Il a recueilli la parole des maîtres pour rédiger

La relation maître/valet Un peu d'histoire : Entre le XVIIe et le XVIIIe le serviteur, d'origine populaire, est presque toujours un migrant sans qualification, venu de la campagne proche pour tenter sa chance à la ville. Une fois placé, il est immergé dans l'univers des privilégiés de la naissance et de l'argent. Il manifeste alors un véritable désir d'identification. Il adopte les manières de son maître, copie ses vices et ses tics. Il suit l'évolution de la mode et s'adonne à de nouvelles

L’objectif de Dubois est, dans ce passage, de convaincre son ancien maître de la réussite de son projet. Il est à noter que Dubois est devenu le valet d’Araminte et qu’à ce titre son devoir consisterait à servir les intérêts de la jeune femme. Dorante est dubitatif et oppose des arguments pertinents à son valet. Au début de la scène, il mentionne la différence de statut social : « Cette femme-ci a un rang dans le monde » à quoi Dorante oppose en un parallélisme qui pose les bases des obstacles qu’il doit

doit le marier ; mais le mariage a déjà eu lieu. Octave s'inquiète de la manière dont la nouvelle pourrait être reçue par son père et se trouve, dans le même temps, tout à fait fauché. Il demande alors de l'aide à Scapin, qui est le valet de Léandre. Fort de son statut d'« habile ouvrier de ressorts et d’intrigues », il entreprend la manoeuvre ; mais ne parvient finalement pas à infléchir la position du vieillard. Argante communique à Géronte une information qu'il a obtenue d'une indiscrétion

la fois en fuite et en chasse (il vient de quitter son épouse Done Elvire qu’il avait eu pourtant bien du mal à sortir du couvent). Cette tirade se situe à la fin de la scène d’exposition, deux personnages en présence, Sganarelle le valet de Don Juan et Gusman le valet de Done Elvire. Par ses questions, Gusman pousse Sganarelle à faire une longue tirade qui va présenter Don Juan. ((Lecture)). Il est possible de se demander en quoi cette tirade présente un double portrait. Pour répondre précisément

scéniques – les portraits, la lettre-, « vraies-fausses » pièces à conviction dont se sert Dubois pour entretenir son stratagème. Dans la scène 10 de cet acte, une querelle éclate au grand jour entre Dubois le stratège de la pièce et Arlequin, un valet de la même maison au sujet d'un portrait d'Araminte accroché dans les appartements de Dorante. Dubois, en serviteur « zélé » d'Araminte veut le décrocher au prétexte qu'il est indécent mais Arlequin en serviteur zélé de Dorante s'y oppose car :

comme pièce + réussie. Extrait : scène1-acte1 : exposition. Sganarelle répond quest° Gusman, valet Elvire, dresse portrait Dom Juan peu reluisant. Nous nous demanderons dans quelle mesure cette scène remplit sa fct d'exposition. Le portrait de Dom Juan par Sganarelle Sganarelle explicite discours. Longue tirade → exposit°, présente perso hors-scène mais protagoniste, titre donne statut « Dom » : précise rang. Sganarelle l.71-72 « ce n'est là qu'une ébauche du perso, et pour en achever

dans l’intérêt de voler Turcaret. Mais Frontin n’est pas un pion : il fait preuve d’un vrai talent de comédien, face à un Turcaret. Le face-à-face du maître suspicieux et du valet naïf : en embauchant Frontin, Turcaret signe sa ruine! I - Le numéro du valet A. La comédie de l’innocence C’est le numéro préféré des valets car il permet d’écarter tous les soupçons et de « travailler » tranquillement. Frontin est d’ailleurs très crédible en niais. On remarque qu’il parle peu (rare, chez lui), que