Steinlauf

ceci n'était pas qu'un mauvais rêve le détruit. Il rencontre les premiers problèmes d'hygiène, vit la première distribution de pain qui deviendra vite sa monnaie d'échange. Mais alors que Primo perd pied et se laisse couler, un ancien détenu, Steinlauf, lui dit qu'il faut continuer de se respecter pour rester un Homme; phrase dont il se souviendra toujours. Les jours passent et se ressemblent au camp, mais une après-midi, durant son travail à l'usine, il se blesse au pied. La douleur étant

contraire. Dans cet extrait, Null Achtzehn s’est perdu et pour lui la vie a perdu son sens et est toute noire, comme dans l’expression « la vie n’est pas tout noir ou tout blanc ». il n’a pas su grader un état d’esprit équilibré. (Page 60) Sensé : « Steinlauf m’aperçoit, me dit bonjour, et de bu en blanc me demande sévèrement pourquoi je ne me lave pas. Et pourquoi devrais-je me laver? Est-ce que je vivrais un jour, une heure de plus? Mais pas du tout, je vivrais moins longtemps parce que se laver représente

quelques jours, Levi est affecté au Block 30. Là, il découvre deux paramètres fondamentaux de la vie au camp : le mélange des langues, ainsi que la valeur du pain, non seulement nourriture, mais aussi unique monnaie d’échange. Il rencontre également Steinlauf : celui-ci s’obstine à se laver afin de ne pas se laisser abêtir par le système concentrationnaire pour pouvoir rester vivant et témoigner. Levi s’interroge cependant : cela vaut-il la peine d’appliquer un système de valeurs alors que le Lager est

soupe à Primo Levi et réussi même à écrire à sa famille et à lui donner une réponse. C’est un personnage important qui rappelle au narrateur que l’homme, dans sa beauté et sa grandeur d’âme existe. Cet optimisme est aussi visible en la personne de Steinlauf, car ce dernier est porteur d’espoir de part ces discours, il faut lutter pour rester un homme dans le camp « mais le sens de ses parole, je l’ai retenu pour toujours : c’est justement, disait-il, parce que le Lager est une monstrueuse machine à

son incarcération Primo Levi fera de nombreuses rencontres, certaines de ces rencontres donneront lieu à des amitiés naissantes mais dans un lieu comme celui-ci l’attachement est impossible car on peut voir partir un ami du jour au lendemain. Steinlauf, un détenu qui est déporté depuis plus longtemps que l’auteur et qui va lui donner des conseils de survie : il est important de se laver, de cirer ses chaussures, de continuer à se respecter pour rester un homme. Après son passage à l’infirmerie

prisonniers sont écartées en faveur des efforts développés quotidiennement pour survivre au camp d’extermination. Les Nazis arrivent donc a parfaitement réprimer tous les prisonniers et seules quelques exceptions sont mentionnées dans le roman comme Steinlauf, improvisé distributeur de leçon de morale. Au cours des deux romans les auteurs critiquent leur societe. Georges Orwell écrit son roman fictif en 1949 et vise à critiquer les régimes dictatoriaux naissant un peu partout dans le monde à cette

car il retrouve ce dans quoi il est bon, ce qu’il sait faire, autre que de faire la bête. Enfin, il y a des amitiés qui se créent au sein de ce camp, une certaine solidarité qui les aide à avancer. Ils se conseillent et s’entraident. Ainsi, Steinlauf a dit : "C'est justement parce que le Lager est une monstrueuse machine à fabriquer des bêtes, que nous ne devons pas devenir des bêtes; puisque même ici il est possible de survivre, nous devons vouloir survivre, pour raconter, pour témoigner; et

maniser l’homme. Son intention est de faire appel à  l’imagination du lecteur pour qu’il conçoive la réalité  des camps et son horreur. Chapitre 3 Affecté au Block 30, il fait l’expérience de la promiscuité et de la faim. Un détenu plus ancien, Steinlauf, lui donne des conseils de survie pour continuer à ses respecter en tant qu’homme. - Chapitre 4 k.B abreviation de Krankenbau :infirmerie Epuisé par son travail, le narrateur se blesse au pied et perd la notion du temps. Un infirmier polonais

différents pays d’Europe et il leur est difficile de communiquer entre eux. Il y évoque la première nuit dans le Block, le réveil, les problèmes d’hygiène, la distribution du pain qui devient une véritable monnaie d’échange. C’est alors qu’apparaît Steinlauf, un détenu qui est déporté depuis plus longtemps que lui et qui va donner à Primo Lévi des conseils de survie : il est important de se laver, de cirer ses chaussures, de continuer à se respecter pour rester un homme. CHAPITRE 4 : K.B Le narrateur

« deux mains gauches » car il est très maladroit et il n’est pas efficace pour la réalisation des travaux manuels qu’on lui imposait. D'autres personnages ont joué leurs rôles dans la vie de Primo qu'ils soient bons ou mauvais, comme par exemple Steinlauf qui est un homme doté d’une grande sagesse qui a fait partie de l’armée austro-hongroise. Il occupait le poste de sergent. C’est lui qui donne à Primo Levi des conseils afin qu’il garde sa dignité pendant que les conditions de vie inhumaines du camp