Steinlauf

: difficulté de rentrer en contact avec ses camarades : c'est une véritable tour de Babel. Le pain devient monnaie d'échange ; problèmes d'hygiène : à quoi bon se laver, sans 1 QUELQUES INFOS SUR PRIMO LEVI ET « SI C’EST UN HOMME » savon.... Steinlauf (déporté plus ancien) explique au narrateur que garder le rituel de la toilette, c'est continuer à se respecter et rester un homme. CHAPITRE 4 : K.B (infirmerie) Perte de la notion du temps : " J'ai oublié depuis combien de jours nous faisons la

narrateur apprend alors la principale règle du Lager, "Hier ist kein warum" (ici, il n'y a pas de pourquoi). Par la suite, il apprend au fur et à mesure à vivre au Lager, il apprend qu’il doit continuer à se respecter pour rester un homme comme lui dit Steinlauf (ex-sergent de l’armée austro-hongroise) en se lavant et en cirant ces chaussures par exemple, il apprends aussi que le pain est la principale monnaie d’échange et que tout peux se monnayer. La principale source d’approvisionnement étant le vol et

l’espoir, du réconfort. Un autre homme, Steinlauf, camarade dont il fait la connaissance aux douches, enseigne à l’écrivain une leçon de dignité à sa façon. Steinlauf lutte pour ne pas devenir une bête et c’est ce qu’il désire partager avec Levi pour que celui-ci puisse se protéger contre la machination concentrationnaire. Steinlauf lui inculque ses valeurs au camp. Il estime que le « Lager » est une monstrueuse usine à produire des hébétés. Pour Steinlauf, il est important d’y échapper, de survivre

à chaque page l’absurde de leur condition. Deux passages sont particulièrement édifiants dans Si c’est un homme. Le premier est le récit de sa rencontre avec Steinlauf, un autre prisonnier dans la salle des lavabos. Alors que Primo Levi nous explique qu’au bout d’une semaine « le sens de la propreté (l’a) complètement abandonné. », Steinlauf lui est « torse nu, occupé à frotter son cou et ses épaules de quinquagénaire sans grand résultat (il n’a pas de savon) mais avec une extrême énergie. » (p.56)

souvent délaissée et apparemment dérisoire compte tenu des maigres moyens mis à leur disposition. Mais c’est moins pour respecter les consignes allemandes, que pour ne pas céder aux mécanismes du camp qui veut les transformer en bêtes, comme le disait Steinlauf, son « initiateur » Chapitre4-K.B : Le titre du chapitre qui s’intitule « K.B » puique que les abréviations de K.B signifie Krankenbau, qui veut dire infirmerie et que ce chapitre se situ a l’infirmerie. La monotonie des journées fait perdre

de différents pays d’Europe et il leur est difficile de communiquer entre eux. Il y évoque sa première nuit dans le Block, le réveil, les problèmes d’hygiène, la distribution du pain qui devient une véritable monnaie d’échange. Sa rencontre avec Steinlauf, un détenu qui est déporté depuis plus longtemps que lui et qui va lui donner des conseils de survie : il est important de se laver, de cirer ses chaussures, de continuer à se respecter pour rester un homme. CHAPITRE 4 : K.B Levi perd la notion

illusion à nouveau : frustration. Incitations à l’hygiène. Se laver = inutile pdv santé, mais important car symptome vitalité, nécessaire pr survie morale. Au debut : le sens de la propreté l’avait abandonné. Il n’y voyait pas l’utilité. Discours de Steinlauf : parce que le Lager est une monstrueuse machine à fabriquer des bêtes, que nous ne devons pas devenir des bêtes, puisque même ici il est possible de survivre, ns devons vouloir survivre pr témoigner, et pour vivre il faut sauver la forme de civilisation

au bout d'une semaine de captivité, le sens de la propreté m'a complètement abandonné. Me voilà traînant les pieds en direction des robinets, lorsque je tombe sur l'ami Steinlauf, torse nu, occupé à frotter son cou et ses épaules de quinquagénaire sans grand résultat (il n'a pas de savon) mais avec une extrême énergie. Steinlauf m'aperçoit, me dit bonjour et de but en blanc me demande sévèrement pourquoi je ne me lave pas. Et pourquoi devrais-je me laver? Est-ce que par hasard je m'en trouverais

au bout d'une semaine de captivité, le sens de la propreté m'a complètement abandonné. Me voilà traînant les pieds en direction des robinets, lorsque je tombe sur l'ami Steinlauf, torse nu, occupé à frotter son cou et ses épaules de quinquagénaire sans grand résultat (il n'a pas de savon) mais avec une extrême énergie. Steinlauf m'aperçoit, me dit bonjour et de but en blanc me demande sévèrement pourquoi je ne me lave pas. Et pourquoi devrais-je me laver? Est-ce que par hasard je m'en trouverais

Antike Madonnenreligion, Aufstieg und Niedergang der Röischen Welt II. 17.3, de Gruyter, Berlin - New York, 1984, p. 1425-1499. 08, 10 christianisme, désse-mèe. [ 2831 STEINIGER (R.), Die weiblichen Haartrachten, 1909. 06, 15 coiffure. [ 2832 STEINLAUF (N.T.), «The kiss in Roman law», Cambridge Law Journal 41, 1945-1946, p. 24 sv. 01R, 04R baiser, donatio propter nuptias, lois constantiniennes. [ 2833 STEINWENTER (Arthur), « Lex Voconia », in Realencyclopäie der classischen Altertumswissenschaft