Stendhal Le Père Sorel Et Julien

(lien social entre les générations)   PLAN DE COMMENTAIRE   qu'est-ce qu'une génération ? Définition (Emile LITTRE) une différence d'âge (Karl MANHEIM le problème des générations) une différence notable d'éducation (Guy FOISSY le discours d'un père) une identité (Beat Generation, OBAMA, Michaël JACKSON) un passé identitaire (BBLEGROS génération désenchantée, le monde des trentenaires)   Selon le dictionnaire de la langue française d'Emile LITTRE, une génération sépare les enfants des parents

STENDHAL, Le Rouge et le Noir (chap.6), 1830 Introduction : - Nature du texte : extrait du roman Le Rouge et le Noir de Stendhal => récit => topos littéraire : scène de la première rencontre - Tonalité donnée par le titre du chapitre : L’Ennui - Signe de l’affectivité (romantisme)          -> Julien : tristesse, contrariété         -> Mme de Rênal : seule, naturelle, puis angoissée - quiproquo et malentendu Problématique : le jeu des points de vue Nous verrons comment la focalisation

et dans les romans (Richardson, écrivain anglais). La sensibilité est conçue comme une expansion de l´individu, et à la fois, comme une souffrance. Une conséquence de cette sensibilité sont les larmes, les personnages pleurent dans les œuvres : Julien Sorel (Le rouge et le noir) # Le sentiment de la nature sera reflété dans les œuvres à travers les paysages. Il y a aussi des saisons privilégiées : l´automne, qui permet de refléter la mélancolie. # La nostalgie qu´implique un sentiment de perte

entraîne l'évolution du personnage et crée ainsi un intérêt particulier. Dans Le rouge et le noir, le personnage de Stendhal, Julien Sorel apparaît tout d'abord comme un personnage faible. Lors de sa rencontre avec Mme de Reynal, celle-ci le prend pour une jeune fille et le désigne comme "une pauvre créature". Cependant, souffrant de son amour impossible pour cette dernière, Julien Sorel gagne en courage, motivé par la conquête. Cette évolution apporte une profondeur au personnage que le lecteur découvre

question de Julien Sorel au chapitre III, le lecteur ne l'a pas encore «vu» lorsqu'intervient la scène qui le met en situation et permet une présentation efficace du personnage. En effet, l'extrait proposé met Julien en scène dans son contexte familial et fait de lui, immédiatement, un être à part. Le jeune homme oppose sa fragilité, son goût pour la lecture et pour la solitude à la brutalité bornée de ses frères et de son père. Le récit d'une scène violente au cours de laquelle le père rappelle durement

napoléonBonaparte gouverneur de la France => Empereur (le er emprise) Frise : 1789- 1793 -1errepublique-1795 : révolutionfrançaise fondamentale dans le romantisme (peuple). 1804-1815 :1erempire 1815-1820 : Restauration 1815-1830 : peupleguidée par Stendhal et Balzac 1840-1852 :2emerépublique 1850 : socialisme 1852-1870 :2ndempire règne bourgeoisie 1870-1871 :3emerépubliquechute française 2eme guerre mondiale 1939 1815 : revient le roi qui installe la monarchie restauration de la monarchie- aristocrate

redoublésSur la ville et les champs, sur les toits et les blés,Je vais m'exercer seul à ma fantasque escrime,Flairant dans tous les coins les hasards de la rime,Trébuchant sur les mots comme sur les pavés,Heurtant parfois des vers depuis longtemps rêvés.Ce père nourricier, ennemi des chloroses,Éveille dans les champs les vers comme les roses ;Il fait s'évaporer les soucis vers le ciel,Et remplit les cerveaux et les ruches de miel.C'est lui qui rajeunit les porteurs de béquillesEt les rend gais et doux comme

Chateaubriand exalte la beauté de la religion chrétienne· Avant on utilisait pas « je » car c’était interdit par la religion car c’était synonyme d’orgueil (1 des 7 péchés capitaux)· Révolte et désenchantement, ils ne sont pas bien dans leur siècle· Julien Sorel = Napoléon, il cache son amour pour Napoléon car c’était un prêtre, mais il faisait des églises à son nom (église Sainte-Napoléon)· La société est cupide et stupideXIX : la société, l’histoire et la science au cœur de la fiction· LE ROMAN SOCIAL :·

Henri Beyle connu sous le pseudonyme littéraire de Stendhal, né le 23 janvier 1783 à Grenoble et mort le 23 mars 1842 à Paris, est un écrivain français de la première moitié du XIXe siècle. Engagé dans l'armée en 1800, il occupa surtout des fonctions d'administration militaires comme durant la campagne de Russie en 1812. Amateur d'arts et passionné d'Italie où il effectua de nombreux séjours, il commence par écrire des essais esthétiques Histoire de la peinture en Italie (1817), Rome Naples et

Balzac, La Comédie Humaine. Le héros romanesque y est exception par son vice implacable. Dans Le Père Goriot, le personnage éponyme touche au sublime par son sacrifice et son agonie pathétique qui sont justement les conséquences de son aveuglement par la passion qu’il voue à ses filles. Le personnage du Père Goriot rejoint ici dans sa monomanie d’autres personnages de La Comédie Humaine, comme le Père Grandet ou l’usurier Gosbeck. C’est ici justement cette monomanie, cette particularité qui en fait