Stéphane Mallarmé

années 1888 il découvre la littérature, Le journal est un élément décisif dans sa vocation littéraire. Apres avoir obtenue son baccalauréat il fréquente des milieux littéraires ou il rencontre de nombreux poètes, auteurs comme Paul Valéry, Stéphane Mallarmé de la génération symboliste. En 1891 il publie son premier ouvrage Les cahiers d’André Walter. Par la suite, il se détachera de l’idéal zen, intellectuel d’André Walter mais continuera à écrire des livres. Au début du XXème siècle, Gide rencontre

qualifient son mal-être, son mal de vivre. En plus de ce dégoût du monde, le poète recherche parfois un idéal, un monde meilleur. Baudelaire, dans le poème Elevation, exprime ainsi son désir d'ascension vers un idéal qu'il ne peut trouver sur Terre. Stéphane Mallarmé, dans Poésies, ressent des tourments si profonds que seule la mort lui paraît libératrice : "j'ôterai la pierre et me pendrai". La poésie se fait alors plainte élégiaque. Cet art peut également être l'occasion de s'explorer, de se rechercher

son baccalauréat et abandonne ses études (1859). En 1862, il est rentré à la Librairie Hachette, jusqu'en 1866, époque où il s’est lancé dans le journalisme. -Relations, groupes d’amis : Jean-Baptistin Baille, Paul Cézanne ,Édouard Manet, Stéphane Mallarmé, Camille Pissarro, Auguste Renoir, Alfred Sisley et Johan Barthold Jongkind. IV- La maturité -Les circonstances qui le conduisent à l’écriture : En 1862 Il entre comme employé chez Hachette. Il y restera quatre ans et deviendra rapidement

Ex. : « Je demande à ton lit le lourd sommeil sans songes Planant sous les rideaux inconnus du remords, Et que tu peux goûter après tes noirs mensonges, Toi qui sur le néant en sais plus que les morts. » (Stéphane Mallarmé, « Angoisse », Poésies, 1887 et 1899.) Les rimes peuvent être disposées de trois façons : – en rimes plates (ou suivies) : aabb ; – en rimes croisées : abab ; – en rimes embrassées : abba. b. La richesse La richesse de la rime s'échelonne

dans la résolution des principaux problèmes de la vie [...] ». Dans la seconde moitié du XIXe siècle, le « supernaturalisme » de Gérard de Nerval, le « surnaturalisme » d'Emmanuel Swedenborg et de Charles Baudelaire et aussi le symbolisme de Stéphane Mallarmé et, enfin surtout, le romantisme allemand de Jean Paul (dont les rêves annoncent l'écriture automatique) et d'Hoffmann peuvent être considérés comme des mouvements précurseurs du surréalisme. Plus sûrement, les œuvres littéraires d'Alfred Jarry

», la « Beauté » est toujours inaccessible et cache souvent une certaine cruauté (une Passante, la Beauté.) ; de Victor Hugo qui déclarait vouloir « mettre le bonnet rouge au vieux dictionnaire » et ‘réhabiliter’ les « mots roturiers. » ; de Stéphane Mallarmé voulant « redonner un sens aux mots de la tribu. » Les surréalistes, quant à eux, exploraient l’inconscient en transcrivant directement leurs pensées, avec le minimum de travail de réécriture et en refusant toute influence extérieure.

considéré comme un précurseur à ce mouvement, nottament grâce à ses poèmes possédant beaucoup de synesthésies à la limite de l'abstrait, cependant les grands poètes symboliques restent Arthur Rimbaud (1854-1891) ,Guillaume Apollinaire (1880-1918) , Stéphane Mallarmé (1842-1898) , Paul Verlaine (1844-1896) , ou encore Camille Lemonnier (1844-1913) . Le Surréalisme : Le Surréalisme est un mouvement littéraire culturel et artistique de la première moitié du xxe siècle, comprenant l’ensemble des procédés

qualifient son mal-être, son mal de vivre. En plus de ce dégoût du monde, le poète recherche parfois un idéal, un monde meilleur. Baudelaire, dans le poème Elevation, exprime ainsi son désir d'ascension vers un idéal qu'il ne peut trouver sur Terre.  Stéphane Mallarmé, dans Poésies, ressent des tourments si profonds que seule la mort lui paraît libératrice : "j'ôterai la pierre et me pendrai". La poésie se fait alors plainte élégiaque. Cet art peut également être l'occasion de s'explorer, de se rechercher

Parallèlement (1888), d’une grande partie des poèmes du recueil mort-né. À sa sortie, il se rend à nouveau en Angleterre. En 1883, il publie dans la revue Lutèce la première série des « poètes maudits » (Stéphane Mallarmé, Tristan Corbière, Arthur Rimbaud) qui contribue à le faire connaître. Avec Mallarmé, il est traité comme un maître et un précurseur par les poètes du symbolisme et par les décadents. En 1884, il publie Jadis et Naguère qui marque son retour sur l’avant-scène littéraire, bien que le

l'élévation, mais demeure incompris du restant de l'humanité et ridiculisé par ses contemporains - aux Poètes maudits du Parnasse cités dans l' ouvrage de Paul Verlaine publié en 1888. On y trouve entre autres Tristan Corbière, Arthur Rimbaud et Stéphane Mallarmé - à Edgar Allan Poe, l'écrivain de génie dont Baudelaire a traduit une grande partie de l'œuvre et qu'il a contribué à faire connaître en France, accentuant son image de poète tragique, solitaire et dément. L'argument fort sur Les Fleurs