Stéthoscope

tactile : pression du brassard › à la pression artérielle = pouls disparait, pression du brassard diminue et devient inférieur à la pression artérielle = pouls réapparait. Positionner le stéthoscope et gonfler le brassard au-delà de 14 de maxima, dégonfler et identifier les produits - Mesure à l’aide d’un stéthoscope

l’éviter ? Mode de transmission Porte d’entréeMatériel de bas niveau de risque infectieux : DM en contact avec la peau intacte et saine du résident ou sans contact avec le résident. • Exemples : bassins de lit, urinaux, appareil tension artérielle, stéthoscope, chaise de pesée.... 3 niveaux de risque infectieux Matériel critique : DM pénétrant dans les tissus ou cavités stériles ou dans le système vasculaire : risque infectieux élevé. • Utilisés stériles, à usage unique • Exemples : aiguilles, cathéters

elle n'était pas considérée comme La médecine et était au même titre que toutes les autres. Cependant, de nombreuses innovations majeures furent apportées à la médecine : l'anesthésie, la vaccination, le développement d'antibiotiques, invention du stéthoscope, l'asepsie, le développement des « chirurgies propres » ou encore l'électrocardiographie. C'est ainsi que la médecine scientifique occidentale est devenue le modèle unique de médecine mondiale, les autres médecines devinrent alors les « médecines

début du 19e s est considéré comme le principal successeur de Bichat, celui qui recueil, qui reçoit de la manière la plus fidèle possible les expériences de Bichat et qui les pousse même plus loin par l’invention d’un cylindre qui va devenir le stéthoscope : instrument privilégié de l’auscultation immédiate. C’est une sorte d’amplificateur des bruits produit par le mouvement des organes lors de la respiration et qui est très utile pour repérer des signes objectifs pouvant renvoyer à des pathologies

résultats. René Laennec (1781-1826) René Laennec inventa l’auscultation et le stéthoscope en 1816. En effet, il y a deux méthodes : l'auscultation immédiate et l'auscultation médiate. L'auscultation immédiate consiste tout simplement à poser l'oreille sur la poitrine du patient et d'écouter les divers bruits. La seconde méthode consiste à écouter les bruits produits par les organes du corps à l'aide du stéthoscope. Le stéthoscope utilisé était une feuille de papier à lettre qui était enroulé en cylindre

d'obtention du rythme cardiaque D'autres méthodes que la perception de l'onde de pouls peuvent être utilisées pour le calcul du rythme cardiaque : • Par le médecin ou l’infirmière ou l’aide soignante / méthode auscultatoire (écoute du cœur par un stéthoscope, aussi fiable mais ne permet par une surveillance continue dans le temps ; • Par le médecin ou l’infirmière / méthode électrocardiographique : la contraction cyclique du muscle cardiaque est secondaire à une dépolarisation des membranes cellulaires

pression artérielle s'effectue avec un sphygmomanomètre (sphygmos : pouls ; manomètre : mesure de pression) et un stéthoscope. Le sphygmomanomètre est constitué d'un brassard gonflable relié à une poire et à un manomètre gradué en mm de mercure qui mesure la pression dans le brassard. La poire de gonflage est munie d'une valve permettant à l'air du brassard de s'évacuer. Le stéthoscope sert à détecter le pouls artériel ce qui peut aussi être fait avec le bout des doigts. Doc.2 : Méthode non invasive

Matériel Les yeux, les oreilles Tensiomètre ou appareil à tension Stéthoscope Technique Brassard au niveau du bras (artère humérale) Taille du brassard adaptée (Obèse) Aiguille en face du zéro Repère du brassard au niveau de l'artère (face interne) Gonfler le brassard au dessus de la valeur estimée de la maximale Dégonfler le brassard jusqu'à la reprise du battement au bruit avec le stéthoscope au pouls Noter cette valeur maximale ou pression systolique

puis procède au(x) vaccination(s). Le pédiatre peut aussi effectuer des points chirurgicaux mineurs (point de suture...). Pour savoir de quelle maladie il s'agit, le pédiatre, lorsque le patient est malade, vérifie son rythme cardiaque à l'aide du stéthoscope, il lui masse le ventre pour vérifier s'il n'y a pas de coliques ou de gastros. Il observe la gorge du patient afin de déterminer s'il a une angine (gonflement des ganglions lymphatiques), une trachéite. La bouche avec une spatule en bois. Il regarde

italien Scipione Riva Rocci, en 1896. En 1905, Nikolaï Korotkov est le premier à permettre une mesure assez précise pour que l’on puisse diagnostiquer l’hypertension. Il reprend le sphygmomanomètre de Riva Rocci, auquel il ajoute l’utilisation d’un stéthoscope sur l’artère brachiale qui permet d’entendre des bruits beaucoup plus précis. Le premier bruit entendu correspond à la mesure de la pression systolique, le plus gros des deux chiffres de la mesure de la pression artérielle. Plusieurs bruits sont