Still Life

du Vietnam, les émeutes raciales et la criminalité urbaine agitent le pays. Les artistes du Pop Art mettent en question les fausses promesses du rêve américain. Duane Hanson porte un regard critique sur la société américaine, sur« l’american way of life »..Il choisit de travailler de façon réaliste et d’exprimer ses préoccupations sociales à travers ses sculptures. 3-Technique : L’artiste travaille par moulage sur modèle vivant. Il moule le corps du modèle avec des bandes de plâtre. Il coule ensuite

produits alimentaires dans les magasins. C’est pour cela que la population va acheter en masse et même des choses futiles, parfois d’une importance minime. Même si l’Amérique détient le plus haut niveau de vie dans les années 60, l'American Way of Life et son idéal ne concerne pas tout le monde. La pauvreté divise la société. Violences et contestations prennent des formes diverses. Les artistes dénoncent le conformisme ambiant et la société de consommation. Le Pop art remet en question les fausses

voir que dans le document 1 écrit par Jean Kempf, ayant pour tire « Les Mots des Etats-Unis », Presses universitaires du Mirail, paru en 2012 que de manière générale le rêve Américain existe pour les locaux comme pour les étrangers (American way of life), l’auteur nous parle même de la marque américaine et des possibilités qu’elle peut avoir sur la société actuelle. Dans le document 2 écrit par Anne Hurault-Paupe « Une utopie américaine: le road movie », CinemAction n°115 utopie et cinéma, Direction

l'Europe et le Japon au cours des années cinquante. Elle apporte de nombreuses valeurs de la société américaine, telles que le désir d'ascension sociale, la nécessité d'afficher sa réussite, le culte des stars,... on peut parler de l'« american way of life » (principalement après la Libération). Mais la consommation de masse devint de moins en moins synonyme « d’américanisation », car elle appartint à la fois au global et au local. Pendant la guerre froide, les entreprises américaines et les élites

densité moyenne est aux alentours de 30 habitants/ km2, la population américaine est très urbanisée (85 % de la population américaine vit dans les villes). Elle se caractérise par une forte qualification et un niveau de vie très élevé (American way of life). . Aujourd'hui, la mobilité des Américains se caractérise par une migration du Nord-Est vers la Sun Belt7 (vers l'Ouest et vers le Sud). C. Espace économique ouvert sur le monde et métropoles: . Les États-Unis disposent de 20 000 km de côtes réparties

associé à la société de consommation et à un mode de vie, l'« American way of life ». 2.Parallèlement à cela, les Américains développent l'idée qu'ils défendent le monde libre face au bloc soviétique. En 1947, le président Truman développe la doctrine de l'endiguement du communisme. L'aide Marshall proposée aux États de l'Europe en 1947 avait également pour but d'empêcher la diffusion du communisme. 3.L’American way of life, ou mode de vie américain1 en français, est une expression désignant une éthique nationale

évoluent : moins d’Européens, d’avantage de Latinos et d’asiatique. Grace a cette migrations la populations des Etats-Unis est la plus dynamique et la plus jeune de tout les pays développés. Les migrants cherchent à s’intégrer à l’Americaine Way of life , ils sont aussi sensible au mythe de la réussite incarné par le modèle du self-made man. B – Une économie dynamique et créative Les États-Unis on un territoire riche en ressource du sol (forêt, agriculture) et du sous-sol (hydrocarbures, charbon

début de la guerre froide. Dans les années 50 sous le Président Eisenhower puis Kennedy, les Etats-Unis continuent leur prospérité . L'«american way of life», fondé sur la consommation et le confort, fait des envieux dans le monde entier. le modèle culturel américain gagne l'Europe : films, musiques, mode de vie, le fameux « American way of life » qui apparait comme LA réussite. 2 En 1962, une grave crise oppose les deux camps (E .U/URSS) lors de la crise des fusées à Cuba, les Soviétiques cèdent

dessinateur américain. Dès sa plus jeune enfance il présente des prédispositions naturelles pour le dessin. Après des études en arts il illustre son premier livre à 16 ans et collabore avec le mouvement des boy-scouts, en illustrant leur revue Boys' life. Norman Rockwell et connu pour l’illustration de nombreux magasine en particulier le « Saturday Evening Post ». Il est aussi l’auteur de plusieurs affiches publicitaires (Coca-Cola, Kellogg’s), il a aussi illustré des romans de Mark Twain. Dans les

portrait peu flatteur de la ménagère étatsunienne moyenne de la fin des années 1960. Pourtant, cette œuvre n’est pas une caricature : un tel personnage fait partie du quotidien de l’époque. Dans cette scène, c’est la médiocrité de l’« American way of life » et plus généralement de la société de consommation occidentale qui est soulignée, dressant face à chacun de nous un miroir. Le consommateur apparaît comme un drogué ou un zombie errant dans les rayons d’un supermarché, seul. L’acte d’achat est présenté