Still Life

peintre et dessinateur américain.  Dès l’enfance, il présente des prédispositions naturelles pour le dessin. Après des études en art, il illustre son premier livre à 16 ans et collabore avec le mouvement des boy-scouts, en illustrant leur revue Boys' life.  Il est connu pour ses nombreuses couvertures de magazines, en particulier pour le magazine Saturday Evening Post. Il est aussi l’auteur d’affiches publicitaires célèbres (pour Coca Cola, Kellog’s…). Il a aussi illustré les romans de Mark Twain.

complexe de la pauvreté. Je consomme pour exister. Je marque ma réussite par mon achat (marqueur social) même si cela se fait au détriment de mon bonheur et de ma santé.  C'est un regard critique sur la société de consommation et sur l'American Way Of Life (mode de vie américain). Cette femme qui veut se mettre en valeur (elle fait l'effort de faire des bigoudis pour se rendre plus belle) se met en danger (surpoids) pour noyer son désespoir par de la surconsommation (le caddie déborde de produit qui

un caddie qui déborde de produits. Son regard est vide, fatigué. Elle a une cigarette dans la bouche et des bigoudis dans les cheveux. Cette femme sculptée et habillée de réels vêtements traduit le miroir de la société américaine « American way of life ». Pour effectuer ses sculptures il fait appel à de réel modèle vivant pour faire des moulages de leur corps afin d’offrir aux spectateurs une réelle vision de la vie quotidienne américaine. Il se veut hyperréaliste. Les vêtements, les bigoudis, ou

et d’externalité et de consommation ostentatoire qui permet d’afficher son statut et son, mode de vie avec la notion « d’obligation de consommation ». En effet le refus de la consommation c’est adopter un autre modèle modèle de vie (American way of life reposant sur la consommation est un modèle de vie banalisé, ici il n’est pas accepté). L’anticonsommation reçoit du soutiens longtemps après sa création. En effet elle s’est développé depuis les années 60 notamment avec le mouvement hippie qui prône

illustré les romans de Marc Twain. Dans les années 50, il est considéré comme le plus populaire des artistes américains. Il représente dans la plupart de ses oeuvres, avec minutie, la vie des Américains moyens : « The American way of the life », qui veut dire « Le mode de vie à l'Américaine ». 2- Norman Rockwell est aussi l'auteur de beaucoup d'oeuvres très connues : « Boy with baby carriage or salutation » qui a été crée en 1916 également pour le magazine Saturday Evening Post

façades maritimes développées et hubsaériens. 2. Les fondements idéologiques - Capitalisme, liberté d'entreprise : valeurs portées par de puissantes FMN. - Liberté individuelle comme fondement d'un modèle : « rêve américain », « american way of life », esprit pionnier et mythe de la « frontière ».   B. Un pays qui pèse sur les relations internationales. En 1945, la victoire sur le nazisme permet aux EU de se poser en défenseur de la liberté et de la démocratie, rôle qu’ils endossent ensuite

pris soin de représenter son pays par les produits que l’on trouve dans le caddie : Coca Cola, cookies par exemple. Le sculpteur s’oppose ainsi à la version « parfaite » de la société de consommation, véhiculée par les publicités : l’« American way of life ». Les matériaux et techniques au service de cette représentation : 166 x 70 x 70 cm. En ce qui concerne les caractéristiques plastiques la femme est faite à partir d'un moulage sur une vraie personne. Ensuite les vêtements, les bijoux, le sac, les

du XXème siècle, il fréquente d’abord la  « New York School of Illustrating ». Puis en 1900, il s’inscrit à la « School of art », dirigé par William Merritt Chase. Edward Hopper exprime avec poésie la solitude de l’homme face à cet « American way of life » qui se développe dans les années 1920. Il s’inspire beaucoup du cinéma pour peindre ses toiles, par les prises de vues ou encore les attitudes des personnages. Ses peintures reflètent et dénoncent l’aliénation de la culture de masse. Avec ses toiles

   | Buts/Significations | On dresse un portrait peu flatteur de la ménagère occidentale moyenne de la fin des années 1960. Ce personnage fait partie du quotidien de l’époque. Dans cette scène, c’est la médiocrité de l’« American way of life » et plus généralement de la société de consommation occidentale qui est soulignée, dressant face à chacun de nous un miroir. Le consommateur apparaît comme un drogué ou un zombie errant dans les rayons d’un supermarché, seul. La consommation de masse

une caricature : un tel personnage fait partie du quotidien de l’époque aux Etats-Unis (y compris les bigoudis même si c’est difficilement imaginable pour des Européens !) .  Dans cette scène, c’est plutôt la médiocrité de l’« American way of life » et plus généralement de la société de consommation occidentale qui est soulignée.  Duane Hanson dresse un constat : la consommation de masse, qui se traduit par l’achat par tout le monde des mêmes choses au même endroit (et souvent au même