Strychnine

l'éviter, leur propension à pousser dans la direction contraire à l'attraction terrestre plutôt qu'à la suivre. Les mouvements qui résultent de l'excitation des nerfs et des muscles d'un animal par un courant galvanique ou par l'absorption de la strychnine peuvent être considérés comme un résultat accidentel, car ni les nerfs ni les muscles n'ont été rendus spécialement sensibles à ces stimulants. Il paraît également que les plantes, ayant une aptitude à des mouvements causés par certains stimulants

leur propension à pousser dans la – 326 – direction contraire à l’attraction terrestre plutôt qu’à la suivre. Les mouvements qui résultent de l’excitation des nerfs et des muscles d’un animal par un courant galvanique ou par l’absorption de la strychnine peuvent être considérés comme un résultat accidentel, car ni les nerfs ni les muscles n’ont été rendus spécialement sensibles à ces stimulants. Il paraît également que les plantes, ayant une aptitude à des mouvements causés par certains stimulants

l’éviter, leur propension à pousser dans la direction contraire à l’attraction terrestre plutôt qu’à la suivre. Les mouvements qui résultent de l’excitation des nerfs et des muscles d’un animal par un courant galvanique ou par l’absorption de la strychnine peuvent être considérés comme un résultat accidentel, car ni les nerfs ni les muscles n’ont été rendus spécialement sensibles à ces stimulants. Il paraît également que les plantes, ayant une aptitude à des mouvements causés par certains stimulants

percevoir du chlorure de sodium (sel de table), il suffit de 2 mM d'acide citrique ou même de 0,008 mM de quinine pour ressentir des sensations d'acidité ou d'amertume (Purves et alii, 1999). Il suffit même de 0,0001 mM seulement pour la détection de la strychnine, poison violent. Nous verrons plus loin dans le volet marketing de ce travail, que les associations couleurs traditionnelles dans l’alimentaire sont en passe d’être contournées. 1.3.6. Perception de chaleur apparente Mogensen & English (1926)

such cases a few persons believe the potion swallowed by the patient to be harmless, but the vast ma- PAGE 178 1 3 6 jority of mankind, though they know nothing of this particular case and this special person, believe the arsenic, the strychnine, or whatever the drug used, to be poisonous, for it is set down as a poison by mortal mind. Consequently, the result is controlled by the majority of opinions, not by the infinitesimal minority of opinions in the sick-chamber. 9 12