Stuc

de réaliser un projet à la Manufacture nationale de Sèvres a pris forme, je me suis posé la question du rôle de l’architecte à Sèvres… J’ai dessiné des éléments à caractère architectural tels que frise, lampe, cloison, dans un esprit de moulure, de stuc, à intégrer dans l’espace. Parallèlement, la consultation des archives m’a conduit jusqu’aux travaux réalisés à Sèvres selon les dessins de Pierre Patout pour l’exposition des Arts Décoratifs de 1925 ; vases monumentaux, cloisons. Le projet LACE s’est

maîtres artisanssont appelésà décorer un édifice en pays étranger.Ce cas s'est produit maintes fois; par exemple lorsque la grande mosquéede Dakar a été entièrementornéepar des maîtresmarocainsspécialisés dans I'art de la mosaïque (zelhj) et celui du stuc sculpté (guebs).Or, une "exportation" 'de cette nature ne peut avoir qu'une influence bénéfique sur I'artisanatmarocain.Remarquonsen passantque la vie des deux métiersd'art qui viennent d'être mentionnésdépend,au Maroc même, des commandesprovenant

techniques nouvelles Retour aux techniques artisanales, création d’oeuvres uniques Effervescence des constructions de verre et de métal, de la mosaïque et de la céramique Diversification des matériaux sur une même façade (pierre, fer, céramique, brique, stuc…) Renaissance du fer forgé en longues lianes nerveuses (balcons, portails, grilles …) Décorations, frises … Constructions agrémentées de jardins à la végétation luxuriante placés en retrait de la rue. Végétation naturelle dans les jardins reprise dans

que chaque escalier. Le nord de l'entrée principale était réservé à l'empereur et ses proches, alors que les trois autres entrées axiales étaient destinées à l'élite. Les quatre entrées axiales étaient richement décorées de peintures et de reliefs en stuc, dont des fragments nous sont parvenus. Bon nombre des entrées originales extérieures ont disparu avec l'effondrement du mur extérieur, mais les entrées XXIII à LIV survivent encore. Les spectateurs recevaient des billets sous forme de fragments

en plus d’exactitude. L’auteur nous montre la complexité et le raffinement de ce dessert impressionnant par ces quelques phrases : « A la base, d'abord, c'était un carré de carton bleu figurant un temple avec portiques, colonnades et statuettes de stuc tout autour, dans des niches constellées d'étoiles en papier doré ; puis se tenait au second étage un donjon en gâteau de Savoie, entouré de menues fortifications en angélique, amandes, raisins secs, quartiers d'oranges ; et enfin, sur la plate-forme

en statique, les nefs s'élargissent, et adoptent même des formes rondes. Les architectes n'hésitent pas à avoir recours à une ornementation « à outrance », en particulier en Espagne avec le style churrigueresque, et multiplient l’usage des faux marbres et du stuc, en particulier avec un usage généralisé des marbres polychromes ; les sculptures d’anges et de putti joufflus et moqueurs, souvent dorés, sont omniprésentes de même que les volutes, spirales, rocaille, cartouches, etc. ; les fresques couvrant l'intégralité

On retrouve une idée presque orientale avec le dôme.Versailles est fait en pierre est possède des ornementations directement taillé dans la pierre, là où le Belvédère lui est un palais en brique enduite de stuc ( calcaire = chaux ) pour créer des formes, le matériaux de prédilection était le staf = plâtre = gypse ( matière première ) qui est plus résistant mais arrivera plus tard.Le hall du Belvédère comporte une complexité excessive, avec un effet de grotte

L'architecture baroque est caractérisée par l'opulence.Les nefs s'élargissent, voire adoptent des formes rondes. Les architectes n'hésitent pas à avoir recours à une ornementation abusive, en particulier en Espagne, et multiplient l’usage des faux marbres et du stuc. Les sculptures d’anges joufflus et moqueurs, souvent dorés, sont omniprésentes de même que les volutes, spirales. Les fresques couvrant l'intégralité du plafond apportent une touche de couleur, elles ouvrent l'espace en y plaçant un ciel, donnant

d’abord une galerie, qui ne fut pas voutée mais reçut un plafond richement orné. Il fit exécuter ensuite vingt-quatre sujets tirés de l’histoire d’Alexandre le Grand. Il peignit encore une salle, appelée le pavillon, où il mit de riches ornements en stuc, il y peignit aussi à fresque toutes les divinités antiques. L’an 1540, lorsque Charles Quint vint en France, le Rosso et le Primatice furent chargés de la conduite de toutes les décorations qu’ordonna François 1er pour recevoir un si grand empereur

décoration du palais. Ainsi, le château de Fontainebleau porte la marque du Rosso : « Il fit exécuter ensuite… vingt-quatre sujets tirés de l’histoire d’Alexandre Le Grand… Il peignit encore une salle appelée le Pavillon, où il mit de riches ornements en stuc…il y peignit aussi à fresques toutes les divinités Antiques » (lignes 16 à 21). Ici, on peut déceler un certain engouement pour l’Antiquité, évoqué par le personnage d’« Alexandre le Grand » et par les « divinités Antiques » ; tout comme les humanistes