Subdivisions du Togo

d'« autonomie à 30 % », et n’est pas sans rappeler les autonomies d’Espagne avec leur propre gouvernement, en une version plus contrôlée par le pouvoir central bien sur. Au centre de la préfecture se trouvent les 26 villes, qui sont elles aussi des subdivisions directes de la préfecture et fonctionnent comme les arrondissements spéciaux. Enfin plus à l’ouest se trouve le seul et unique district de la préfecture de Tokyo, celui de Nishitama. Un district regroupe que les municipalités rurales, à savoir

identifiable à un journal : la subdivision en parties et chapitres, le point de vue classique d’un narrateur omniscient concourent à donner un sens à l’histoire et à dégager la signification globale que le vécu prend avec le recul du temps. De même Sardaigne et Méditerranée, de D. H. Lawrence, contrairement à Rome, Naples et Florence de Stendhal, écrit au jour le jour par un mélomane amoureux de l’Italie, apparaît comme un récit idéalisé et reconstruit: la subdivision en chapitres, le résumé thématique

économique qu’ils entendent réaliser de se doter d’un référentiel comptable commun pour remplacer les plans comptables jusque là existants. C’est ainsi que les pays comme : le Benin, le Burkina Faso, la Cote d’Ivoire, le Mali, le Sénégal et le Togo ont mis en place en Janvier 1998 le Système Comptable Ouest Africaine SYSCOA en référence à l’Acte Uniforme relatif au Droit Comptable de L’Organisation pour l’Harmonisation du Droit des Affaires OHADA. Le SYSCOA vise à : * Instaurer des

passe dès lors par une connaissance minimale des référentiels comptables appliqués dans les pays d’accueil. halshs-00460151, version 1 - 4 Mar 2010 6 En réalité, il s’agit d’une reforme comptable puisque les pays concernés (exception faite du Togo par exemple), disposaient déjà d’un référentiel unique, le Plan OCAM (Organisation Commune Africaine et Malgache). On lire à ce sujet Causse (1999). 7 Pour : Organisation pour l’Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires. De fait, l’entrée en vigueur

SYSCOA (Système Comptable Ouest Africain) applicable depuis 1998 dans 8 pays de la zone UEMOA (Union économique et monétaire ouest africaine) que sont : le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, la Guinée Bissau, le Mali, le Niger, le Sénégal et le Togo. De l’applicabilité des normes comptables supranationales en République Démocratique du Congo: cas du Système Comptable OHADA 11 Ce plan comptable a été étendu aux pays de la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC) comprenant

souffre de son enclavement. Ne possédant aucune façade maritime, il est dépendant des ports des pays de la sous-région, Abidjan était le principal port utilisé jusqu’au déclenchement de la Guerre civile de Côte d'Ivoire. Depuis, les ports de Lomé au Togo et Nouakchott en Mauritanie, ainsi que Dakar au Sénégal ont pris la relève. Mais les infrastructures routières insuffisantes sont un frein. L’économie du Mali est avant tout agricole. 80 % de la population active travaille dans ce secteur qui représentait

être suffisamment détaillé pour permettre l’enregistrement des opérations. Lorsque les comptes prévus par le Système comptable OHADA ne suffisent pas à l’entreprise pour enregistrer distinctement toutes ses opérations, elle peut ouvrir toutes subdivisions nécessaires. Inversement, si des comptes prévus par le Système comptable OHADA sont trop détaillés par rapport aux besoins de l’entreprise, elle peut les regrouper dans un compte global de même niveau, plus contracté, conformément aux possibilités

vers la droite, les niveaux d'affinement plus développés relatifs aux comptes principaux, sous-comptes et comptes divisionnaires. Le numéro d'un compte divisionnaire commence toujours par celui du compte ou souscompte dont il constitue une subdivision. Rôle de toute terminaison sauf le 9 dans les comptes à deux chiffres Dans les comptes à deux chiffres, les terminaisons autres que le 9 servent au regroupement en fonction des catégories d'opérations. Rôle de la terminaison 9 dans les comptes

être suffisamment détaillé pour permettre l’enregistrement des opérations. Lorsque les comptes prévus par le Système comptable OHADA ne suffisent pas à l’entreprise pour enregistrer distinctement toutes ses opérations, elle peut ouvrir toutes subdivisions nécessaires. Inversement, si des comptes prévus par le Système comptable OHADA sont trop détaillés par rapport aux besoins de l’entreprise, elle peut les regrouper dans un compte global de même niveau, plus contracté, conformément aux possibilités

être suffisamment détaillé pour permettre l’enregistrement des opérations. Lorsque les comptes prévus par le Système comptable OHADA ne suffisent pas à l’entreprise pour enregistrer distinctement toutes ses opérations, elle peut ouvrir toutes subdivisions nécessaires. Inversement, si des comptes prévus par le Système comptable OHADA sont trop détaillés par rapport aux besoins de l’entreprise, elle peut les regrouper dans un compte global de même niveau, plus contracté, conformément aux possibilités