Subduction

océanique. Ces volcans ont émis un grand volume de lave fluide ce qui provoque une large étendue de rhyolites. D’après la théorie de la tectonique des plaques, si les laves sont des points hauts du paysage actuel, cela signifie qu’il y a eut une subduction des volcans. Le second phénomène qui a dû intervenir pour modeler ce paysage est l’érosion car les matériaux qui composent la lave sont plus résistants à l’érosion que celles qui composent le volcan. On peut observer une faille normale entre

dorsales océaniques ; les « volcans gris » aux éruptions explosives et émettant des laves pâteuses et des cendres sous la forme de nuées ardentes ou coulées pyroclastiques et de panaches volcaniques. Ils sont principalement associés au phénomène de subduction comme les volcans de la « ceinture de feu du Pacifique ». On compte environ 1 500 volcans terrestres actifs dont une soixantaine en éruption par an[2]. Les volcans sous-marins sont bien plus nombreux. Le « volcanisme » est l'ensemble des phénomènes

point. Sinon elle compte pour 0 point. Question 1 : Cocher uniquement la réponse exacte Le flux géothermique :  a une répartition homogène à la surface de la Terre  est plus important à l'équateur qu'aux pôles  est fort au niveau des zones de subduction du fait du plongement de la lithosphère océanique  est dû au transfert vers la surface de l'énergie libérée en profondeur au cours de la désintégration d'isotopes radioactifs Question 2 : Cocher uniquement la réponse exacte L'énergie géothermique

L'éruption volcanique Le volcanisme représente, avec les séismes, une des manifestations de la tectonique des plaques. On distingue le volcanisme qui prend naissance aux frontières des plaques tectoniques (rifts et zones de subduction), du volcanisme dit de point chaud, indépendant des mouvements de plaques. Le volcanisme est toujours le résultat d’une remontée en surface d’un magma profond, mais ses manifestations peuvent différer d’une éruption à une autre. Conséquences humaines : Pour l’homme

confirme que l'âge des sédiements en contact des basaltes s'éloignent au fur et à mesure qu'on s'éloigne de la dorsale 1970 – Dewey & Bird – Synthétise le lien entre tectonique des plaques et formation des chaines de montagnes tant de collision que de subduction ainsi que des arcs volcaniques. 1975 – Forsyth & Uyeda – La force motrice du mouvement des plaques est la force de traction de la plaque plongeante, le slab-pull. 1985 – Woodhouse & Dziewonski – Première tomographie sismique permettant d'imager

La subduction La subduction est le phénomène géodynamique d’enfoncement de la lithosphère océanique au sein du manteau sous-jacent. Ce processus, qui caractérise les frontières de convergence entre deux lithosphères océaniques ou entre une lithosphère océanique et une lithosphère continentale, entraîne des conséquences géologiques spectaculaires concentrées le long de zones très étroites. I – Un processus inexorable aux manifestations spectaculaires 1) Des marqueurs caractéristiques

plusieurs failles, est bloqué durant les périodes inter-sismiques (entre les séismes), et l'énergie s'accumule par la déformation élastique des roches4. Cette énergie et le glissement sont brusquement relâchés lors des séismes. Dans les zones de subduction, les séismes représentent en nombre la moitié de ceux qui sont destructeurs sur la Terre5, et dissipent 75 % de l'énergie sismique de la planète. C'est le seul endroit où on trouve des séismes profonds (de 300 à 645 kilomètres). Au niveau des dorsales

extension. Convergence → Blanc = compression Centre = vertical Le bord = horizontal 2.c. Profondeur et risques Dorsale : profondeur, failles ; séisme en faille profondeur. profondeur variable à faible profondeur +++ convergence avec subduction / faible/ risque +++ collision faible moyen / ++ transformante faible / +++ dorsale faible / ++ La magnitude en baisse selon la profondeur du foyer selon la durtée des roches autour du foyer. 2.d. Distance à la faille

plusieurs failles, est bloqué durant les périodes inter-sismiques (entre les séismes), et l'énergie s'accumule par la déformation élastique des roches [3]. Cette énergie et le glissement sont brusquement relâchés lors des séismes. Dans les zones de subduction, les séismes représentent la moitié des séismes destructeurs de la Terre, et ils dissipent 75 % de l'énergie sismique de la planète. C'est le seul endroit où on trouve des séismes profonds (de 300 à 645 kilomètres). Au niveau des dorsales médio-océaniques

relief en fossé (rift). b- Frontières en convergence entre une plaque océanique et une autre : montrent un rapprochement relatif entre les plaques avec enfoncement de l’une (plus lourde) dans l’asthénosphère sous l’autre. Ce sont des zones de subduction caractérisées par des fosses océaniques, une intense activité sismique plus ou moins profonde, et un volcanisme actif. c- Frontières en convergence entre deux plaques continentales : caractérisé par la formation de chaînes de montagnes et accompagnée