Subduction

(microlites) noyés dans un verre volcanique non cristallisé) expliquée par un refroidissement rapide du magma lors de son arrivée en surface. - laves : basaltes associés aux dorsales, andésite ou rhyolite (avec Q) associés au volcanisme de subduction. - Projections (cendres, lapilli, bombes….) Les RP : structure grenue : la R est entièrement cristallisées. Structure acquise par un refroidissement lent du magma en profondeur. Présence de gros cristaux (phénocristaux). -

est : a. une fosse océanique.b. une dorsale océaniquec. une chaine de montagne.5/ Au niveau d’une chaine de collision, il se produit : a. une convergence d’une lithosphère continentale et lithosphère océaniques.b. une subduction océanique.c. Une convergence de 2 lithosphères continentales.Exercice 2 : Lire et extraire les informations à partir de documentsDocument.1 Les Antilles et la plaque Caraïbe 1/ A partir du document ci-dessus, citer

dichotomie serait due aux couplages thermiques entre le manteau, le noyau liquide et la graine. À la base du manteau, sous l’Asie, se trouve une zone plus froide que la région environnante ; il s’agit probablement du vestige d’une ancienne plaque de subduction, ayant « coulé » jusqu’à la frontière entre le noyau et le manteau il y a 100 à 200 millions d’années. Cela implique un refroidissement supérieur sous cette zone. Ce phénomène structure les mouvements de convection turbulents du noyau liquide sur

entre tectoniques des plaques et gisements . Les dorsales océaniques et les zones de subduction entrainent un déplacement des continents. La reconstitution du déplacement des plaques lithosphériques permet de localiser des domaines sédimentaires au niveau des zones climatiques favorables aux dépôts des matières organiques. Aussi dans les marges continentales passives( non bordées par des zones de subduction, et les rifts intracontinentaux), l’étirement de la croûte continentale, possible par le

et de cendres pulvérisées, appelé nuée ardente. Ce nuage de plusieurs centaines de degrés fuse au-dessus du sol et flotte littéralement à la surface de la Terre dévastant tout sur son passage. Ces éruptions se trouvent dans les grandes zones de subduction, comme la "Ceinture de feu" du Pacifique, de l'Indonésie au Japon. Mais aussi dans les Antilles françaises où se trouvent la Soufrière de Guadeloupe et la Montagne Pelée de la Martinique. 3-Les nerveuses : Depuis plus de 2000 ans, le Stromboli

alors que les autres roches associées proviennent de la fusion partielle du manteau supérieur préalablement métasomatisé par des magmas acides de type adakitique lors d’une subduction L’évolution géodynamique alpine des Maghrébides par subduction (les adakites sont des roches qui n’affleurent que dans les zones de subduction) permet de prévoir des minéralisations de type Kuroko, porphyres cuprifères ou épithermales. Le premier type est à rechercher dans les roches calco-alcalines non adakitiques

présentent une activité volcanique au niveau du rift (zone d’effondrement) dans l’axe de la dorsale. Les dorsales sont le lieu de séismes et présentent de nombreuses failles dites normales qui témoignent de la distension de ces régions. Les zones de subduction/collision frontière de convergence où 2 plaques lithosphériques s’affrontent (programme de TS). Les failles transformantes où on observe un coulissage de 2 plaques lithosphériques (ex : la faille de San Andréas) Les limites des plaques sont

grandes masses rocheuses dont l'élévation est provoquée par des forces provenant de la tectonique des plaques, en particulier la rencontre frontale de plaques terrestres avec suture ou subduction d'une plaque de densité plus grande, le coulissement de plaques avec création de failles responsables de surélévation ou subduction/relèvement des différents bords en frottement. À ces premières montagnes en croissance ou activité permanentes, les géologues continuent d'inclure les formations anciennes des bassins

ainsi de montrer que la lithosphère s’enfonce dans le manteau au niveau des fosses dites de subduction. La limite inférieure de la lithosphère correspond généralement à l’isotherme 1300° C. Objectifs et mots clés. Distinction claire des notions de : lithosphère, asthénosphère, croûte, manteau, subduction. (Collège : lithosphère-asthénosphère) [Limites. On se contente de présenter la notion de subduction. Le mécanisme et les conséquences géologiques de ce phénomène seront abordés en terminale.]

entrent en collision. Un premier type de collision résulte de la convergence entre deux plaques océaniques. Dans ce genre de collision, une des deux plaques (la plus dense, généralement la plus vieille) s'enfonce sous l'autre pour former une zone de subduction (littéralement: conduire en-dessous). On enfonce du matériel moins dense (d~3,2) dans du matériel plus dense (d~3,3), du matériel moins chaud dans du matériel plus chaud. L'asthénosphère "digère" peu à peu la plaque lithosphérique. Il se produit