Suétone

tenant une palme de victoire[25]. Cléopâtre seule souveraine[modifier] Imaginer que la présence de Cléopâtre à Rome s'explique par le rôle actif qu'elle y aurait joué et prêter à César l'intention de transporter à Alexandrie sa capitale (selon Suétone) est très excessif. Il parait difficile d'imaginer César gouvernant l'Italie depuis l'Égypte alors que la situation politique demeure trouble. Dans son testament, il ne fait aucune allusion à Césarion (dont la date précise de naissance reste sujette

traitent de tout sujets , allant des affaires publiques , aux histoires de fantômes / aux descriptions de villas ou paysage . Elles sont utiles pour comprendre , par exemple , le fonctionnement du province romaine pour ce qui est du livre X . Suétone : De son vrai nom Gaius Suetonius Tranquillus , né vers 70 d'une famille équestre , fût un grand biographe romain . Il commença d'abord à exercer une carrière d'avocat . Il devient ensuite , sous l'empereur Hadrien , secrétaire au palais de l'empereur

de Domitien *littéraires : Flavius Josèphe : la Guerre des Juifs, oeuvre de vulgarisation commandée par Titus, étaient assez amis; des portraits de contemporains Martial, Stace, Pline, Plutarque Sources secondaires : abondent. historiens comme Suétone, Dion Cassius, Tacite ds Agricola dressent portraits à l'inverse très noirs et acerbes de Domitien dont il conviendra de questionner la véracité, car on sait que les sources susceptibles de lui être favorables ont été détruites du fait de la damnatio

Commentaire Introduction Caligula, drame en quatre actes d'Albert Camus publié en 1944, s'inspire assez fidèlement du destin dément du jeune empereur romain assassiné en 41 après Jésus-Christ et d'anecdotes authentiques évoquées par l'historien latin Suétone. Mais l'auteur en fait un héros de l'absurde, aux côtés de Sisyphe, de Meursault, de l'Étranger et de Jan, victime du Malentendu, pour constituer ce qu'il a appelé « le cycle de l'absurde ». À la mort de sa sœur et maîtresse Drusilla, Caligula a pris

qui indique qu’Arsace vapartir et qu’Antiochus se retrouvera donc seul et pourra faire son monologue. Cette pièce est une tragédie classique avec un thème trouvé dans l’histoire romaine. « Invitus, invitam, dimisit » est une citation latine de Suétone (Malgré lui, malgré elle, il la renvoya). Bérénice est lapièce la plus classique qui pousse à son maximum l’application de la théorie racinienne telle que définie dans la préface. Les premières scènes mettent en place l’exposition contenant l’impératif

Publici, remplacés progressivement par des gradins en maçonnerie. Puis l'empereur Claude les rebattit en marbre. " Il orna le grand cirque de barrières de marbre et de bornes dorées, tandis qu'elles étaient autrefois de bois ou de mauvaise pierre. " Suétone, Claude, 21 Au centre du coté courbé méridional s’ouvrait une porte avec un arc triomphal de Setertino, en 196 aC. Arc appelé porta triumphalis. Au IIe siècle av JC., le cirque fut l'emplacement de jeux publics et de festivals influencés par les

Domitie, future épouse deDomitien (frère et successeur de l'empereur Titus), Racine a voulu conserver l'image idéalisée d'un Titus renonçant à l'amour pour obéir à la raison d'État, qui s'est installée dans l'imaginaire sous l'influence de l'historien Suétone. On peut voir ainsi dans cette tragédie comme un reflet de la monarchie absolue et de l'exemplarité de Louis XIV. La princesse Palatine [1], puis Voltaire [2] se feront l'écho de l'analogie qui était née dans l'esprit de certains contemporains entre

qui indique qu’Arsace va partir et qu’Antiochus se retrouvera donc seul et pourra faire son monologue. Cette pièce est une tragédie classique avec un thème trouvé dans l’histoire romaine. « Invitus, invitam, dimisit » est une citation latine de Suétone (Malgré lui, malgré elle, il la renvoya). Bérénice est la pièce la plus classique qui pousse à son maximum l’application de la théorie racinienne telle que définie dans la préface. Les premières scènes mettent en place l’exposition contenant l’impératif

son fils pour la succession, en le mariant à sa propre fille Octavie.Ces événements le font mépriser par les anciens auteurs. Les historiens les plus récents tendent à tempérer leur opinion. I .HANDICAP PHYSIQUE ET TEMPERAMENT DE CLAUDEL'historien Suétone fournit d'abondants détails sur le handicap et les faiblesses physiques de l'empereur. Il avait les yeux qui tremblaient ,il rapporte ainsi que les genoux de l'empereur étaient mous et se dérobaient sous lui, que sa tête chancelait. Il bégayait et

perpétuera dans les mémoires et le magnifiera comme un être d'exception, ce dont témoigne l'ouvrage de Suétone, Vies des douze Césars où il figure. Et la deuxième : « Je suis encore vivant ! » est une phrase particulièrement riche de sens et pleine de panache : ce cri est paradoxal puisque Caligula meurt en même temps sous les coups des conjurés, il interpelle donc. C'est un cri historique d'après Suétone : « Il ne cessait de crier qu'il vivait encore. » Mais ce n'est pas cela qui intéresse Camus. Ce cri