Suicide Silence

était jusque là "pris comme une conclusion", considéré dans cet essai comme "un point de départ" L'Absurde et le suicide selon Camus : 1) seul pb philo vraiment sérieux = le suicide 2) suicide = une forme de reconnaissance de l'absurde 3) la question que pose Camus = voir l'absurde doit-il conduire au suicide? Le suicide est-il une solution pour l'homme face à l'absurde? 4) Suicide et espoir = deux esquives face à l'absurde selon Camus Définitions de l'Absurde selon Camus : A) Première définition

l'espoir pour les deux clochards. Vladimir : est optimiste et patient, il s'obstine plus qu'Estragon a attendre. Il est le cerveau des deux clochards Estragon : très impulsif il a des sautes d'humeur et est très pessimiste. Il pense toujours au suicide et n'a pas une grande mémoire. Lui a l'inverse de Vladimir représente plutôt le corps. Pozzo: vaniteux. Il perd son nom et n'est plus le maître incontesté dans l'acte II. Pozzo veut dire « puits » en italien. Donc il peu représenter la perte de

souligne l’écoulement du poison - la 1re personne : « j’ai voulu, j’ai pris, j’ai fait couler » 2) L’ambiguïté de la déclaration de l’accusée et son châtiment a) un aveu bref et clair : - les 2 vers et demi (v.1617 à 1619) et l’ « injuste silence » / « exposant mes remords » - la double affirmation de l’innocence d’Hippolyte (positive : « son innocence » ; négative : « n’était point coupable ») - la tournure emphatique « C’est moi qui » + le verbe explicite « Osai » en tête de vers (v.1623-1624)

et les thèmes nous aident à y répondre. Si nous nous attardons sur la question du suicide d’Hanna, les thèmes peuvent-ils nous permettre de savoir si son suicide était inévitable? À mon avis oui, car si nous les analysons de plus près, il est possible de voir que le suicide d’Hanna aurait presque pu être évité. Le sentiment de culpabilité qui la rongeait de l’intérieur est la seule raison pour laquelle le suicide d’Hanna n’aurait pas pu être évité. Hanna s’est retrouvé devant une situation qui

la figure tragique. Elle a en effet une vie de souffrance, accentuée par la mort de sa mère, la recherche en vain (pourquoi « en vain » ?) de l'affection de son père, déception amoureuse avec Marin Marais, perte de son enfant mort-né, maladie et suicide pathétique. Elle est la fille la plus proche de son père, ils se ressemblent énormément, le fait qu'elle soit douée à la musique amène à penser que c'est une façon pour elle de communiquer avec son père. Elle est privilégiée. Symbole de la femme

Effets et conséquences du suicide sur l’entourage : modalités d’aide et de soutien » Question 1a : « Deuil normal, deuil difficile, deuil compliqué, deuil pathologique » Dr Christophe FAURÉ - Psychiatre Dr Christophe Fauré, psychiatre libéral – consultant extérieur à la Maison Médicale Jeanne Garnier (soins palliatifs) - auteur de « Vivre le deuil au jour le jour » Editions Albin Michel, « Vivre ensemble la maladie d’un proche » Editions Albin Michel, « Après le suicide d’un proche » Editions

L’absurde c’est l’homme qui est jeté dans un monde vide de sens et donc il ne peut pas espérer trouver de sens à sa vie. * Camus définit l’absurde dans le Mythe de Sisyphe. « L’absurde nait de cette confrontation entre l’appel humain et le silence déraisonnable du monde. ». * * L’absurde = Les choses n’ont pas de sens, elles laissent l’homme désorienté. Et le pire dans tout ça, c’est que l’homme en prend conscience (L’homme absurde). Ex : Dans l’étranger, c’est Meursault l’homme absurde

l’absurde » que Camus a soigneusement conçu. La pensée de Camus, présentant des traits communs avec l’existentialisme, est réellement distincte pour être attachée à la philosophie de l’absurde née « de cette confrontation entre l’appel humain et le silence déraisonnable du monde » . Dans le roman L’étranger, Meursault, le personnage principal, est un homme pour qui tout est indifférent, bien qu’il ne soit pas encore très conscient de l’absurdité du monde. Quand il va monter sur l’échafaud, il se révolte

absurde Dans cette première partie, Camus va essentiellement évoquer la question du suicide. De fait, c’est pour lui la seule question philosophique qui tienne. a. L’absurde et le suicide - «La vie vaut-elle la peine d’être vécue?» - Pourquoi se donne-t-on la mort? - Suicide: rapport à la pensée individuelle => phénomène social - Element déclencheur (goutte d’eau qui fait déborder le vase) => suicide - Suicide = constat d’échec - Refuser un sens à la vie ≠ La vie ne mérite pas d’être vécue b.

hérisson de Muriel Barbery  L’homme qui voulait être heureux de Laurent Gounelle (3 extraits)  Caligula (Acte I, SCÉNE IV) d’Albert Camus  LE VENT A DJÉMILA, Noces de Albert Camus  Le monde de Sophie de Jostein Gaarder, 1995  L’absurde et le suicide ,Un raisonnement absurde, Le mythe de Sisyphe, d’Albert Camus, Folio essais, 2010  La quête du bonheur permet-elle de réussir sa vie ? SEANCE 1 : Qu’est-ce qui nous empêche d’être heureux ? On demande aux élèves de créer pour cette séquence