Suite bureautique

Sujet A 1. Soit U la suite arithmétique de premier terme u 0 = 1 et de raison 3. (a) Donner la formule explicite ainsi que la formule de récurrence de U . (b) Calculer u 20 2. Calculer judicieusement 1 + 2 + 3 + ... + 50 Sujet B 1. Soit U la suite géométrique de premier terme u 0 = 1 et de raison 1 . 2 (a) Donner la formule explicite ainsi que la formule de récurrence de U . (b) Calculer u 20 2. Calculer judicieusement 1 + 2 + 3 + ... + 100 Sujet A Sujet B 1. Soit U la suite géométrique de premier

notations Définition On appelle suite numérique toute fonction numérique définie sur sur l’ensemble des entiers supérieurs à un certain entier naturel n0 . a  Notations » ou La suite est notée respectivement (un )n ∈» ou (un )n ≥ n ou plus simplement (un ). 0 Le terme de rang n est noté un . b) Vocabulaire Définition Soit (un ) une suite définie sur l’ensemble des entiers supérieurs à un certain entier naturel n0 . On dit que : z la suite (un ) est croissante si pour tout

Convergence d’une suite réelle Définition Une suite (un )n∈N de réels est convergente si et seulement s’il existe un réel l vérifiant ∀ ε > 0 ∃ Nε ∈ N ∀ n Nε |un − l | ε Le réel l est alors unique et on le note l = lim un . n→+∞ Théorèmes sur les limites Toute suite convergente est bornée. Le produit d’une suite bornée par une suite qui converge vers 0 est convergente vers 0. Si (un )n∈N et (vn )n∈N sont deux suites réelles convergentes et α ∈ R • La suite (un + αvn )n∈N

segment de synchronisation). Son numéro d'ordre est incrémenté et le numéro d'accusé de réception représente le numéro d'ordre initial du serveur incrémenté de 1 Djibril DIOP DUT2 TELECOM & RESEAUX 19 Classification des flux réseau de l’UCAD Suite à cette séquence comportant trois échanges les deux machines sont synchronisées et la communication peut commencer! 2.2.5) Fin d’une connexion Le client peut demander à mettre fin à une connexion au même titre que le serveur. La fin de la connexion

logarithmique. Chapitre 2 : Les suites. Définition d’une suite de nombre réel : Une suite de nombres réels (un)n∊N, parfois noté (un)n ou (un) est définie par la donnée pour tout entier naturel n d’un nombre réel un. Suite par récurrence : Soit un on se donne alors : - le premier terme u0 ; - et, pour tout entier naturel n une expression de un+1 en fonction du terme précédent un. On dit alors que la suite est définie par récurrence. Suite arithmétique : un+1 = un + r  un = u0 + nr Les suites

pour de la communication de un à un. Le protocole RADIUS : Est un protocole client – serveur permettant de centraliser des données d’authentification. Le protocole ICMP : il est utilisé pour véhiculer des messages de contrôle et d’erreur pour cette suite de protocoles, par exemple lorsqu’un service ou un hôte est inaccessible. Le protocole IGMP : Est un protocole qui permet à des routeurs IP de déterminer de façon dynamique, les groupes multicast qui disposent de clientsdans un sous réseau. Le protocole

est un langage de programmation orienté objet créé par la société Microsoft, très proche du Java dont il reprend la syntaxe générale.   2.2.2. Outils : Afin de développer notre application en langage c# nous utiliserons l’outil Visual Studio, une suite de logiciels de développement pour Windows conçue par Microsoft ; Afin de se connecter à l’annuaire LDAP on va utiliser la bibliothèque « System.diectoryServices » ; L'espace de noms System.DirectoryServices permet d'accéder aisément à Active Directory

machine, à l’indication des services non nécessaires installés sur la machine, etc. (figure 5). Il est généralement intéressant, dans le cas d’installation de nombreuses machines identiques (typiquement à partir d’une image disque pour des postes bureautiques), de lancer cet utilitaire sur une machine standard. L’analyse des résultats donnés pour cette machine typique permettra de vérifier que la politique de sécurité appliquée à la machine n’a rien laissé de côté. Lancer MBSA jusqu’à ce qu’il ne trouve

traitaient essentiellement des fonctions séquentielles. En simplifiant, les API : • géraient des demandes d’exécution et d’état de l’automatisme (image des entrées), • élaboraient des demandes d’exécution d’actions (positionnement des sorties). Par la suite, les API ont été amenés à gérer de nombreuses fonctions complémentaires comme des fonctions métier, des fonctions de diagnostic système et application, etc. Les automatismes centralisés géraient tout un ensemble de fonctions qui n’avaient pas forcement

dialogue et de présentation. § § § § Une couche du système 1 ne peut communiquer qu’avec le même couche du système 2. Cette communication ne peut pas se faire directement ; la couche en question doit demander un service à la couche inférieure et ainsi de suite. Quand les informations vont arriver au s ystème 2 , chaque couche va fournir un service à sa couche supérieure. Les règles d’échange entre 2 couches sont définies dans une interface qui décrira un point d’accès aux services « SAP » (Service Access