Sujet Amené

Résumé Plan détaillé de dissertation de Philosophie (bac +2) ayant pour sujet : "Peut-on penser par soi-même sans se soucier de ce que pensent les autres ?". Nous croyons penser par nous-mêmes, mais est-ce le cas ? Ne sommes-nous pas soucieux du regard des autres ? Dans ce cas, pensons-nous vraiment de façon indépendante, ou alors seulement en fonction de l'opinion des autres ? Extrait: Un homme qui pense est un homme qui réfléchit et qui cherche des réponses, qui se construit des opinions

immédiates », par exemple « je pense » ou, comme l’imaginait Schopenhauer, « je veux », comme si dans ce cas la connaissance parvenait à saisir son objet dans un état pur et nu, en tant que « chose en soi », sans nul gauchissement ni de la part du sujet ni de la part de l’objet. Mais je répéterai cent fois que des notions telles que « certitude immédiate », « connaissance absolue » ou « chose en soi » comportent une contradictio in adjecto, et que l’on ferait bien de ne plus se laisser abuser par

Développement de la dissertation de philosophie avec comme sujet « Qu'est-ce que perdre son temps ? » « Perdre son temps » est une expression couramment utilisé par l'homme, mais qui nous fait nous interroger sur les implications de cette formulation. Nous allons tout d'abord nous interroger sur le caractère de cette perte de temps, et comment peut-elle être caractérisé. Pouvons nous qualifier cette perte de temps de nécessaire ? Cette perte n'est-elle pas propre au présent ? Le présent étant

l’homme a à sa disposition est de transformer autrui, à son tour, en objet. Il faut se délivrer d’autrui, lui échapper pour se réapproprier soi-même et le monde qu’autrui lui vole. La conscience invente ce subterfuge pour continuer à exister en tant que sujet. Or autrui tente de résister à cette tentative de subordination. Ce qui ouvre une véritable lutte des consciences, dans laquelle je ne peux être reconnu par autrui que si je parviens à l’objectiver. Sartre a donc une vision conflictuelle des relations

peut pas raisonner en partant des hypothèses. A l’âge de 11-12 ans, apparaissent les opérations logiques hypothétiques. « La grande nouveauté du niveau dont il va être question est… que, par une différenciation de la forme et du contenu, le sujet devient capable de raisonner correctement sur des propositions auxquelles il ne croit pas ou pas encore, c'est-à-dire qu’il considère à titre de pures hypothèses : il devient donc capable de tirer les conséquences nécessaires de vérités simplement

l'animal, a des représentations. Mais l'homme est le sujet de ses représentations : il les identifie comme étant les siennes, ou plutôt il sait qu'elles sont les siennes, et qu'elles ne doivent donc pas être confondues avec le monde extérieur auquel elles renvoient. Le Je est « dans » la représentation : il assure l'unité (Kant parle de synthèse) de la diversité de ses composants (sensibles par exemple) en même temps qu'il fait de l'homme le sujet (le principe et l'agent) de cette unité. La lecture

après le nom, mais on constate alors une différence de sens : un homme grand / un grand homme un homme pauvre / un pauvre homme un enfant curieux / un curieux enfant • Un adjectif attribut du sujet On parle d'attribut du sujet lorsque l'adjectif est employé avec un verbe d'état. Il s'accorde alors avec le sujet. Pour vérifier, on peut toujours remplacer un verbe d'état par le verbe ''être'' ! Exemples : Les caravaniers semblent fatigués. -> Les caravaniers sont fatigués. / Cet enfant reste sage. ->

Sujet : Comment définir l’autorité de la conscience ? I. La description de la conscience laisse apparaître des défaillances, des défauts. On pourrait donc dire que la conscience n’est pas capable de nous indiquer notre devoir, c’est-à-dire d’appliquer dans les cas concrets la loi morale. Mais il n’y a qu’elle pour nous faire voir notre devoir. II. L’autorité absolue de la conscience, elle est la seule faculté qui dans l’esprit nous indique ce qu’il faut faire, on doit donc se fier à elle

associer la connaissance au savoir. En effet, c’est connaitre la nature d’une chose ainsi que de ses propriétés. C’est un savoir sur l’existence d’une chose. De ce fait, la connaissance de soi est la capacité à se prendre soi-même pour sujet de connaissance.Dans le sujet donné, on cherche à déterminer l’essence de la conscience de soi. On se demande si la conscience permet d’acquérir une connaissance. Mais le fait de se penser est-il suffisant pour se connaître réellement ? Pour répondre à cela, nous

reste, ce moi abstrait, simple support des traits de caractère et des aspects physiques de mon être, a-t-il seulement une réalité ?Voilà donc une première orientation pour notre interrogation ; mais avant d'aller plus loin, revenons sur les termes du sujet : « Suis je le même en des temps différents ? » Trois mots émergent de la question : le pronom personnel « je », le substantif « le même », et enfin « les temps ». Le thème central est celui de l'identité et de la permanence, marquées par l'expression