Sun Bin

impèriale en république et renverse l’empereur mandchou. Le premier président s'appelle Sun Yat Sen (1866-1925); il gouverne à la tête du parti nationaliste. Une constitution fut adoptée et un parlement convoqué en 1912. Mais Yuan Tsé Kaï ne laissa pas ces institutions entraver sa mainmise sur le pouvoir et établit une dictature (1912-1916). Lorsque le Guomindang, un parti nationaliste fondé en 1911 par Sun Yat Sen, tenta de limiter ses pouvoirs, d’abord par des tactiques parlementaires, puis

mais la flotte coréenne, disposant des premiers navires cuirassés de l'histoire navale, les bateaux-tortues, et dirigée par l'amiral Yi Sun-sin, intercepte son ravitaillement et l'oblige à rembarquer en 1593, sous la pression du suzerain chinois. La guerre reprend en 1597, et tourne une nouvelle fois à l'avantage de la flotte coréenne, toujours dirigée par Yi Sun-sin, qui meurt lors de la dernière bataille. La conquête mandchoue Les tribus de nomades Jurchens (Djourchets, Mandchous) s'unissent sous

la séparation entre deux mondes : d'un côté, le monde libre, démocratique à l'ouest qu'il défend et de l'autre un monde communiste privant les populations de liberté. C'est pourquoi, en tant que président américain, il dit être un berlinois « ich bin ein berliner » comme tout citoyen appartenant au monde libre. Ce mur construit en 1961, par les communistes est le symbole mondial de cette division idéologique entre les deux blocs. Ensuite, a partir de la crise de cuba en 1962, les deux blocs entament

berühmte Rede, in der er an der Seite des damaligen Regierenden Bürgermeisters Willy Brandt seinen berühmten Satz sagte: „Ich bin ein Berliner“. Kennedy sagte auch zukünftig der Stadt und Deutschland die Unterstützung der USA als alliierte Schutzmacht zu. 26 juin : Kennedy visite Berlin Ouest et prononce un discours resté célèbre durant lequel il lancera la phrase Ich bin ein Berliner. Cette phrase avait pour but de montrer le soutien des États-Unis aux habitants de l'Allemagne de l'Ouest, et notamment

discours de Kennedy sur la place de l’Hôtel de Ville de Berlin Ouest, le 26 juin 1963 : Kennedy se rend en RDA pour montrer son soutien et sa solidarité avec les Berlinois, il dénonce “un mur de la honte” et prononce sa phrase bien connue de tous : « Ich bin ein Berliner ! » Avec le temps de la Détente, les quatre puissances de Berlin vont petit à petit collaborer et permettre une issue attendue pour la ville. En 1971, les anciens alliés de 1945, s'entendent pour définir le statut de Berlin, dans

Le Mur De Berlin [LE MUR DE LA HONTE] La construction du Mur de Berlin divisa un peuple, sa chute le réunifia mais qu’en est-il des traces laissées par 40 ans de son existence ? Table des matières 1 Introduction 1.1 Problématique 2 L’histoire du mur de Berlin 2.1 Naissance du mur 2.1.1 Situation de l’Allemagne d’après guerre 2.1.2 Occupation de l’Allemagne d’après guerre 2.1.3 Vers la rupture 2.1.4 Le blocus de Berlin 2.1.5 La division politique de l’Allemagne 2.1.6 Comparaison entre

et pression soviétique (Staline) => création de la RFA et de la RDA : renvoi sine die d’une signature d’un Traité de paix avec l’Allemagne avec ses vainqueurs 2- La construction du Mur (1961) De « la tumeur cancéreuse » (N. Khrouchtchev) à « Ich bin ein Berliner » (J-F. Kennedy) C- Rapprochements (1972-1990) 1- L’ostpolitik (Willy Brandt, chancelier ouest allemand) => « Traité fondamental » ou la reconnaissance mutuelle des 2 Allemagne (1972) => Entrée à l’ONU de la RFA et de la RDA (1973)

Vous traiterez l’un des six sujets présentés ci-dessous, au choix. a Sujet 1 : Analyser la mise en scène du discours d’un Président américain Rendez-vous sur le site de l’Ina à l’adresse http://www.ina.fr et tapez sur la barre de recherche : « Ich bin ein Berliner ». Vous pourrez visionner un extrait du discours prononcé par John Fitzgerald Kennedy dont nous vous donnons la traduction française ci-dessous. En tapant ces mêmes mots sur votre moteur de recherche, vous trouverez des vidéos vous permettant

de la séparation entre deux mondes: d'un côté, le monde libre, démocratique à l'ouest qu'il défend et de l'autre un monde communiste privant les populations de liberté. C'est pourquoi, en tant que président américain, il dit être un berlinois « ich bin ein berliner » comme tout citoyen appartenant au monde libre. Ce mur construit en 1961, par les communistes est le symbole mondial de cette division idéologique entre les deux blocs. Cependant, les relations entre les deux blocs évoluent, on lance

un déplacement à Berlin-Ouest. Il se rend au Mur de la honte en compagnie du très populaire bourgmestre social-démocrate, Willy Brandt, futur chancelier et prix Nobel de la paix. Il prononce alors un discours dans lequel il déclare en allemand: "Ich bin ein Berliner", "Je suis un Berlinois". Une citation, restée fameuse, qui fait savoir aux Soviétiques et au reste du monde que les Etats-Unis n'abandonneront pas la ville divisée. Il y aura plusieurs génération de murs.Pendant un an, les évasions